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    French Cancan
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    evariste75
    evariste75

    151 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2024
    Juste après Quai des brumes, le contraste est saisissant !Je mets quand même 2 étoiles parce c'est du Renoir ! Film superficiel et grossier...
    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2017
    Petite déception, en effet venant du duo Gabin/ Renoir j'espérais mieux. L'ensemble est plaisant, mais manque de puissance et de folie.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    236 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2008
    Retour en France après l’avoir laissé avec son chef-d’œuvre «La règle du jeu», Jean Renoir met en scène une période historique, celle de la Belle Epoque, dans «French Cancan» (France, 1954). Au devant de l’évidence impressionniste, qui évoque davantage Sisley que Renoir père, à laquelle se plie la photographie de Michel Kelber, Renoir conserve le succès de son esthétique : le privilège de la profondeur de champ et son application comme étalage du mouvement sur plusieurs couches de plans au sein d’un même cadre. Dans cette histoire d’artiste, où la culture populaire s’arme d’une noblesse dans la plus belle tradition renoirienne –qui vise à donner ses lettres de beauté à la culture du Peuple-, Danglard (Gabin deuxième période encore dans le corps de ses personnages de l’entre-deux-guerre) se prend d’idylle pour une jeune première, délaissant la diva de son spectacle. Dans ces histoires d’amour, au motif si futile qu’il brise le cœur naïf de la jeune Nini, seul prime la réussite du spectacle. Pas tant une réussite publique, mais avant tout la réussite de la représenation comme enchantement. Les nombreuses parties dansées tendent à dresser le portrait d’un spectacle vivant (celui du théâtre qui obsède chacun des films de Renoir) comme terrain de vitalité et d’espoir. Lorsque le nouveau théâtre, futur Moulin Rouge, est détruit et que Danglard, dans une scène à la confusion si bien organisée qu’elle témoigne du savoir-faire intact de Renoir, s’est blessé la jambe, l’enthousiasme du film et son inextinguible foie demeure patent. Les couleurs chatoyantes des décors et des costumes se brouillent et s’animent dans le flux des danses, donnant à l’ensemble une teinte énergique et enjouée. Le passage de Renoir dans les contrées stérilisés du système américain a éludé la part politique et social du film. Si bien qu’il ne reste plus que l’ode à un spectacle qui, devers le mouvement de l’Histoire, perdure.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 168 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 avril 2024
    Quand démarre le tournage de « French Cancan » en octobre 1954, Jean Renoir est de retour en France depuis seulement deux ans après onze passés à Hollywood. Après l’échec public reçu par « Le Carrosse d’or » inspiré de Prosper Mérimée, il se trouve sollicité pour une commande tout d’abord destinée à Yves Allégret dont on peut se demander avec le recul si le réalisateur de « Dédé d’Anvers », « Manèges » et « Une si jolie petite plage » aurait été tout-à-fait l’homme idoine pour emballer ce film musical. De son côté Jean Gabin rentré plus tôt d’Hollywood vient tout juste de se remettre en selle avec « Touchez-pas au grisbi » de Jacques Becker qui le voit enfin trouver un rôle plus en rapport avec l’homme qu’il est devenu.
    Cette nouvelle rencontre entre les deux hommes qui ont déjà tourné ensemble à trois reprises pour des films entrés dans le patrimoine cinématographique français commence sous de mauvais auspices, Jean Renoir ayant tout d’abord contacté Charles Boyer pour incarner Henri Danglard, directeur de cabaret et futur fondateur du fameux Moulin-Rouge à la fin du XIXème siècle. Charles Boyer arrivé très tôt à Hollywood (dès le début des années 1930) a tenu le rôle vedette dans « Casbah » (John Cromwell en 1938), le remake américain de « Pépé le Moko », ce qui visiblement n’a pas enchanté Jean Gabin qui lui voue une solide inimitié. Sa rancœur ravalée, Gabin est bien sûr ravi de retrouver Jean Renoir et surtout d’incarner un rôle qui le replonge dans une atmosphère qu’il a bien connue à ses débuts dans le monde du spectacle des années 1920.
    Une atmosphère ou évoluait aussi son père Ferdinand Moncorgé dit Ferdinand Gabin. Idem pour Jean Renoir qui va pouvoir immerger sa caméra dans l’époque où son père Auguste était en activité pinceaux à la main pour en magnifier les couleurs et l’exubérance. Il recentre donc l’idée proposée par André-Paul Antoine sur le personnage de Danglars, homme de spectacle dont la vie sentimentale comme sa vie tout court sont indissociables de la passion qui l’anime, pleinement ancrée dans les cabarets qu’il dirige à l’aide de généreux mécènes dont il doit sans relâche ménager la susceptibilité et tempérer les lubies. Le réalisateur et son acteur parvenus tous deux à l’âge mûr se retournent avec nostalgie mais aussi bonheur sur leur passé, communiquant leur enthousiasme à toute l’équipe.
    Jean Gabin dans le rôle du directeur demiurge transpose sur l’écran une représentation allégorique de Renoir au travail. Entouré de toute une pléiade d’acteurs débutants (Françoise Arnoul, Gianni Esposito, Anna Amandola, Michel Piccoli) ou confirmés (Maria Félix, Dora Doll, Valentine Tessier, Gaston Modot, Pâquerette), d’artistes de la chanson ou du music-hall (Philippe Clay, Jean-Roger Caussimon, Patachou, Edith Piaf), le réalisateur livre un film éclatant, véritable ode à la joie de vivre et à la ferveur qui unit les troupes du spectacle. Sous ses allures légendaires de dilettante qu’il entretenait soigneusement, Renoir ne laisse rien au hasard. Tout d’abord les décors de Max Douy qui restituent un Montmartre certes fantasmée mais particulièrement émouvant puis les costumes de Rosine Delamare aux mille couleurs, la chorégraphie de Claude Grandjean particulièrement efficiente notamment dans un final à couper le souffle où les danseuses de Cancan tant attendues envahissent la salle comme un nuage de sauterelles en jupons blancs et enfin la partition de George Van Parys au diapason de l’allégresse voulue par Renoir.
    Pour savourer pleinement cette coupe de Champagne grand cru servie par un réalisateur à son sommet, il faut bien sûr se délester de toute exigence historique. Le Montmartre de cette époque n’avait sans doute pas grand-chose à voir avec cette illusion d’une mixité sociale parfaitement fluide présentée par un Renoir quelquefois en dehors de la réalité et qui souvent se plaisait à prendre des vessies pour des lanternes. Sans doute conscient de son emballement qui pourrait être mal compris, il introduit avec tendresse le personnage de Mimi Prunelle, ancienne étoile du cancan déchue, faisant la manche aux abords des salles où elle brilla autrefois de mille feux. Une manière peut-être pour Renoir de se dédouaner de son tempérament un peu rêveur qui l’a vu embrasser dans sa vie des causes diverses sans toujours faire montre d’une cohérence et d’une continuité clairement établies.
    Quant à Gabin, il fait encore une fois mentir ceux qui n’ont eu cesse de remettre en cause sa capacité à se renouveler. Il fallait tout de même un peu de cran pour jouer les vieux beaux invétérés parfois même un peu ridicules après avoir été le froid et calculateur Max le menteur chez Jacques Becker. Saluons enfin la performance de la toute jeune Françoise Arnoul faisant face avec brio au monstre sacré qu’était Gabin qu’elle retrouvera un an plus tard sous la direction d’Henri Verneuil pour cette fois-ci y interpréter un véritable drame.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 1 994 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    En romançant l'histoire de la création du Moulin-Rouge, le récit se pare de ses atours chatoyants et virevoltants afin d'en conserver l'esprit, léger, divertissant, théâtral! Cependant, l'adaptation d'un registre de music-hall au cinéma manque (ici du moins) de dynamisme, autant que l'humour farcesque d'efficacité et la bluette de crédibilité. Restent des comédiens qui se prennent gaiement au jeu et un parti pris assumé. Oubliable.
    Ricco92
    Ricco92

    221 abonnés 2 147 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2020
    Premier film de Jean Renoir tourné en français depuis 15 ans (Le Carrosse d’or, bien qu’étant une coproduction franco-italienne, a été tourné en anglais), French cancan est une représentation de la naissance d’un symbole français (le Moulin rouge) qui correspond un peu au type de films symbolisant l’Hexagone du XIXème siècle à l’étranger. En effet, nous sommes dans un Paris de cartes postales aux couleurs chatoyantes et à l’ambiance assez légère (il n’est donc pas étonnant de voir les séquences avec Philippe Clay glisser vers la comédie musicale). Même si le tout peut sembler daté (notamment dans le traitement des personnages féminins), le film bénéficie de la qualité de mise en scène de Jean Renoir, d’excellents dialogues (écrits par le réalisateur), du talent des comédiens (Jean Gabin en tête d’affiche quand même) et d’une bonne musique (La Complainte de la butte, écrite spécialement pour le film, est désormais rentrée dans la patrimoine national). French cancan est une vision un peu enjolivée du monde du spectacle spoiler: (le discours final de Danglard à Nini est la définition de l’état d’esprit idéal à avoir dans ce milieu)
    qui reste agréable à suivre autant d’un point de vue narratif que visuel.
    selenie
    selenie

    6 209 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2008
    Sans doute pas le meilleur de Jean Renoir loin s'en faut !
    Cependant cette histoire du french cancan et les débuts du Moulin Rouge est coloré (dans tous les sens du terme), enjoué comme une cours de récré.
    La fidélité historique est laissé sur le côté pour en garder que le sucré, la joie et une histoire futile mais plein de danse chant et bonheur.
    Gabin en nabab plsu oumoins fauché mais qui croit en ce qu'il fat est excellent et Farnçoise Arnoul est coquine et charmante.
    Philippe Cley superbe et vrai bonus du film.
    La fin d'anthologie où toutes les danseuses offrent un bouquet final splendide.
    On peut être déçu par le manque d'accroche historique et une mise en scène trop récréative qui sied sans doute au film mais pas à Renoir.
    Mais ces petits détails n'enlève rien au plaisir que procure ce film.
    cinono1
    cinono1

    298 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2015
    Surement suranné mais un classique sur la facon dont pouvait être percu le spectacle et le cinéma d'antan. Jean Renoir est le cinéaste de la convivialité par cette facon de ne pas se servir de la dramaturgie comme moteur à son récit,.. Ca le rend assez rare. Les couleurs sont vives, éclatantes, il y a de la mélancolie, la jeune femme est épatante, Gabin devient patriarche. Final inoubliable
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    271 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2019
    Le style Renoir est bien là: on retrouve dans les développements de l'intrigue certaines réminiscences remontant au moins à la Règle du Jeu (notamment les scènes collectives pleines de vacarme). Au-delà de ces considérations, la reconstitution est plutôt soignée (vu les moyens de l'époque), les acteurs impeccables (mention spéciale aux numéros musicaux, et surtout à Philippe Clay), et le scénario déroule un fil sans surprises mais avec beaucoup de rythme et d'entrain. Bien que daté, l'ensemble reste assez frais et agréable.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2017
    Jean Renoir est un raconteur d'histoire. Jean Gabin dans son rang de charmeur, et c'est un Montmartre en carton-patte qu'il nous présente dans French Cancan. Un film franco-français, bien rustre dans sa forme, qui nous convainc que l'histoire d'un monument français est fait de pacotille et d'un beau prince dont l'argent ne manque pas. Pour la féerie du cinéma, je veux bien y croire. Un Paris by night aussi, avec une éblouissante scène finale et un cabaret en folie. On s'y croirait.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2015
    Henri Danglard est un homme qui compte dans le music hall parisien du début du XXème siècle. Après avoir monté « Le paravent chinois » et « La Reine blanche » ; il se lance dans un grand projet qui deviendra « Le Moulin Rouge ».
    Très romancé et destiné à faire un film grand public ; Jean Renoir célèbre son retour en France après 15 ans d’exil outre atlantique par un film haut en couleur. Fils de son père, il met à l’honneur tout au long du film les impressionnistes (Toulouse Lautrec / Degas / et son père) via des affiches et des tableaux mis en scène comme des toiles. Grand technicien de la profondeur de champ et de la ruche de personnage sortant et entrant dans le cadre ; il exploite ici à fond le technicolor. « La belle époque » est un support rêvé pour ce nouveau procédé. Il rivalise ici, à la française, avec les grandes comédies musicales US. Nombreux sont les artistes de music hall à venir faire une apparition ; à commencer par Gabin et s’en suivront Piaf, Patachou, Philippe Clay et Cora Vaucaire pour entonner une célèbre chanson qui entrera dans notre patrimoine, « La complainte de la butte ».
    Nostalgique de son enfance, il recréé aussi un Montmartre populaire et temple du music hall comme les moins de 100 ans ne l’ont jamais vu. Cinéaste aussi dur avec la bourgeoisie, il oppose ici les bourgeois parlant de placement financier dans le domaine artistique aux vrais saltimbanques (Gabin ici) ne pensant qu’à leur prochain projet. Gabin, ici, est un homme tourné à 100% vers le spectacle ; ils passent de relation amoureuse en relation amoureuse au gré de ses projets et des potentiels qu’ils dénichent chez quelques jeunes femmes. Et celles-ci doivent suivre ; il ne sera jamais un homme en charentaise. Le final montre bien à travers la dernière salve de dialogue et le feu d’artifice final que le spectacle passe avant tout.
    Renoir aussi renoue ici avec une intrigue qui lui est chère et qui a fait son international succès de « La règle du jeu » : la femme hésitant entre trois hommes.
    Il ne s’agit pas du film le plus écrit de Renoir, mais techniquement c’est irréprochable ; un tantinet désuet, mais du grand spectacle.
    A voir impérativement
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    66 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    Même si le film part sur les chapeaux de roue, il faut bien avouer que le début de ce "French Cancan" n'est pas franchement séduisant. Jean Renoir n'est pas habitué à ce type de film et cela peut en rebuter certains. Et puis on se laisse petit à petit gagner par la bonne humeur et surtout la folie qui caractérisent la belle époque. Époque bien reconstituée avec des décors, des costumes et des maquillages de toute beauté, qui achèvent de faire du dernier vrai bon film de Renoir un spectacle saisissant, très plaisant et divertissant, musicalement parfait et avec deux scènes mémorables ( spoiler: la visite du chantier du Moulin Rouge qui tourne à la foire d'empoigne et LE french cancan de la scène de fin, jusqu'au-boutiste dans sa grandeur et son extravagance
    ). Le casting solide avec des acteurs tous en forme (en particulier le trio de comédiens principaux) conclut en beauté une des rares comédies musicales que le cinéaste ait jamais tourné, ode à la liberté, aux artistes et au divertissement. A voir !
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    193 abonnés 2 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2020
    French Cancan n'est peut-être pas le long-métrage le plus remarquable de la filmographie de Jean Renoir (mon préféré reste à ce jour la Grande Illusion) mais il est plutôt convaincant.
    Le film se déroule comme son nom l'indique au sein du Moulin Rouge (au moment où il s'appelait le Paravent Chinois) où nous suivons les relations entre son dirigeant, Henri Danglard (incarné par Jean Gabin) et ses artistes, les spectacles sur scène et ce qu'il se passe en coulisse, ainsi que les difficultés auxquelles le cabaret est confronté.
    Si l'intrigue n'est peut-être pas le fort du film, elle a le mérite d'être un prétexte pour nous présenter l'univers du cabaret et son double-visage entre ce qu'il se passe devant et derrière les rideaux.
    Jean Gabin est toujours impeccable en franchouillard charismatique et bon vivant (un rôle qu'il connaît puisqu'on le lui fait jouer tout de même très souvent). Les seconds rôles sont plutôt bien desservis (Françoise Arnoul, Maria Félix).
    Ce n'est peut-être pas un chef-d’œuvre mais ça se regarde plutôt bien.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2011
    Les films de Renoir sont toujours de qualité. Celui-ci ne déroge pas à la règle mais plaira plus ou moins étant donné le côté opérette. Gabin tient un rôle sur mesure où tout son énorme talent se dévoile.
    Critik D
    Critik D

    152 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Ce film nous démontre une partie de l'histoire du quartier de Montmartre tel qu'on la connaît aujourd'hui. La montée d'un quartier en vogue et de la montée des artistes. Malgré son âge, le film est très plaisant à regarder et nous démontre une fois de plus le savoir faire français. Les décors sont superbes et magnifiquement travaillés, tout comme les costumes. L'histoire est intéressante, et on peut difficilement parler de ce quartier sans y mettre une pointe de romance. Cela dit entre certain personnage et certain point de l'histoire, je n'ai pu m'empêcher de faire le lien avec le film "Moulin rouge" comme-ci l'en était la suite direct de "French Cancan". Un film vraiment plaisant, qui souffre cependant de quelques longueurs. On y retrouve un Jean Gabin qui excelle dans son rôle d'acteurs accompagné de Françoise Arnoul et Maria Félix qui sont tout aussi excellentes. J'ai vraiment passé un très bon moment devant ce film, j'ai attendu la scène du cancan tout du long et je n'ai pas été déçue. Un film à découvrir si ce n'est pas déjà fait.
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