Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Figaro
par Claude Baignères
(…) avec un scénario en acier, un dialogue étincelant, (…) Quentin Tarantino fait (…) de l’excellent cinéma. Le Figaro, 27 octobre 94
Libération
par Laurent Rigoulet & Philippe Vecchi
La classe Tarentino. (…) Des dialogues à grimper aux rideaux et une manière d'agencer le récit à réveiller les morts. 23/05/1994
Positif
par Philippe Rouyer
Une leçon de cinéma pour rappeler qu'action et rythme survolté n'excluent pas sobriété. N°405, novembre 1994
Positif
par Philippe Rouyer
Une leçon de cinéma pour rappeler qu’action et rythme survolté n’excluent pas sobriété. Positif 405, novembre 94
Télérama
par Vincent Rémy
(…) en narrateur hilare, Tarantino travaille le temps, le malaxe, comme une pâte molle, et le plie à sa volonté. 26/10/1994
Cahiers du Cinéma
par Vincent Ostria
Le ludique Tarantino nous épargne heureusement l'impression d'assister à une simple suite d'épisodes par un agencement un peu anarchique. Cahiers du cinéma 485, novembre 94
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les grands auteurs de pulp fiction se conformaient aux règles commerciales de leur métier, mais savaient faire passer, comme en contrebande, une vision (Hammett), une morale (Chandler), un désespoir au moins (Thompson). Tarantino est à la fois trop malin et pas assez courageux pour se lancer dans l'aventure. Le Monde, 27 octobre 94
Le Figaro
(…) avec un scénario en acier, un dialogue étincelant, (…) Quentin Tarantino fait (…) de l’excellent cinéma. Le Figaro, 27 octobre 94
Libération
La classe Tarentino. (…) Des dialogues à grimper aux rideaux et une manière d'agencer le récit à réveiller les morts. 23/05/1994
Positif
Une leçon de cinéma pour rappeler qu'action et rythme survolté n'excluent pas sobriété. N°405, novembre 1994
Positif
Une leçon de cinéma pour rappeler qu’action et rythme survolté n’excluent pas sobriété. Positif 405, novembre 94
Télérama
(…) en narrateur hilare, Tarantino travaille le temps, le malaxe, comme une pâte molle, et le plie à sa volonté. 26/10/1994
Cahiers du Cinéma
Le ludique Tarantino nous épargne heureusement l'impression d'assister à une simple suite d'épisodes par un agencement un peu anarchique. Cahiers du cinéma 485, novembre 94
Le Monde
Les grands auteurs de pulp fiction se conformaient aux règles commerciales de leur métier, mais savaient faire passer, comme en contrebande, une vision (Hammett), une morale (Chandler), un désespoir au moins (Thompson). Tarantino est à la fois trop malin et pas assez courageux pour se lancer dans l'aventure. Le Monde, 27 octobre 94