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New Rose Hotel est une spirale, un serpent qui s'enroule sur lui-même pour mieux se déployer plus tard, et nous hanter dans toute sa splendeur fauchée et entêtante.
Superbe et mal fichu, sinueux, bégayant, New Rose Hotel est à égale distance du foutage de gueule et du grand art. C'est-à-dire tout près du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Asia n'est pas la créature magnétique de cinéma annoncée par New Rose hotel - capable d'emporter n'importe quel navet avec elle - mais un produit de marketing malgré elle, surface-écran qui n'en finit pas de se dissoudre dans le grand bain fumant d'une nullité stérile et racoleuse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Abel Ferrara signe une de ses plus belles réussites.
Les Inrockuptibles
New Rose Hotel est une spirale, un serpent qui s'enroule sur lui-même pour mieux se déployer plus tard, et nous hanter dans toute sa splendeur fauchée et entêtante.
Libération
On se rend vite compte que ce film n'est qu'un prétexte pour nous prendre par la main, et nous amener là, dans son plaisir de cinéaste chercheur.
Télérama
Superbe et mal fichu, sinueux, bégayant, New Rose Hotel est à égale distance du foutage de gueule et du grand art. C'est-à-dire tout près du grand art.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Les deux protagonistes masculins parviennent à porter sur leurs épaules un récit assez confus qui abuse de flash-back et de séquences vidéo.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Première
(...) il y a des gens pour dire que Ferrara se fout de la gueule du monde, que tout son chiqué visuel ne remplace pas un bon scénario.
Urbuz
Asia n'est pas la créature magnétique de cinéma annoncée par New Rose hotel - capable d'emporter n'importe quel navet avec elle - mais un produit de marketing malgré elle, surface-écran qui n'en finit pas de se dissoudre dans le grand bain fumant d'une nullité stérile et racoleuse.