Braveheart est un film splendide, que l’on peut qualifier sans soucis de chef d’œuvre du cinéma, tant cette œuvre ou Mel Gibson endosse le rôle d’acteur et de réalisateur est palpitante.
Nous sommes plongés dans l’histoire de William Walace, chevalier écossai ayant réellement exister a l'époque du XIII siècle. Dans une Écosse occupé par l’Angleterre, nous suivrons son aventure ayant pour but, « la liberté ».
Dans le casting, Mel Gibson est donc au centre de l’histoire avec William Wallace, un chevalier déterminé dans le but de vaincre son ennemie a tout prix. Rôle parfaitement bien interprété par l’acteur. Il fait ressentir le courage que dégage ce personnage.
Isabelle de France, joué par la française Sophie Marceau n’est certes pas au centre du film mais a tout de même une forte importance de par sa place en temps qu’épouse du roi et admiratrice de la bravoure de Wallace.
Et bien évidement Patrick McGoohan jouant Edouard I d’Angleterre, le rival du chevalier. Personnage sans pitié, cruel qui souhaite à n’importe quelle pris la tête de William Wallace.
Le film nous confronte à deux hommes aussi têtus l’un que l’autre, et qui ne lâcherons rien avant d’en avoir fini.
Ce dénouement va apporter une violence extrême rarement vu au cinéma. Le choix de tout montré de cette violence est loin d’être une erreur, même si parfois elle reste difficile à regarder.
Braveheart apporte ce sentiment de haine et de douleur, intense et rarement ressenti auparavant.
En témoigne les scènes de combat qui sont spectaculaire, il y a jusqu'à 1600 figurant pour certaines scènes, les rendant iconique et intense en émotion. Comme dit auparavant, rien n'est cacher,
masse explosant une tête, épée tranchant des membres…
le film montre tout au spectateur, nous sommes comme plongé plusieurs siècles dans le passé assistant réellement a ce qui a pu se produire, cela a de quoi laisser bouche bée.
La violence se trouve également dans le sort réserver aux femmes écossaises.
Le plus marquant étant celle de Murron, épouse de William Walace, égorgé sans pitié et sans jugement par un anglais.
C’est le point de départ du combat pour la liberté, du chevalier.
Toute cette action se déroule en parti en Écosse et en Irlande, dans des paysages montagneux grandiose et des décors très soigné extérieur comme intérieur. Reproduit le plus fidèlement de l’époque comme les village Ecossais, ou dans des lieux historiques comme les châteaux.
Parmi les scènes les plus réussi,
celle qui se démarque de tout es probablement celle ou William Walace est debout au sommet d’une montagne avec la caméra tournant autour de lui. Epoustouflant, présent pour montrer que la détermination du héro écossais est sans limite.
La musique composé et dirigé par James Horner est grandiose, s’intègrent parfaitement à tout type de scène, que ce soit l’amour, la guerre et la mort.
Une mort qui est d’ailleurs pénible à regarder lorsque William Wallace fu cruellement capturé puis torturé par les anglais. Scène éprouvante d'une mort qui semble sans fin. Ce moment est probablement le plus émouvant du film, avec le chevalier se faisant torturer aux yeux de deux de ses amis impuissants, dans une foule remplie d’anglais. Le fait que son dernier mot fu « Liberté » permet une fin haute en émotion, a ce combat mené par le chevalier.
Bien évidemment il ne faut pas comparer Braveheart en tout point avec ce qu’il s'est réellement passé, cela reste un film. Il est normal que le scénario es pris quelque liberté.
Cela n’enlève en rien la beauté qu’est ce film dont certaine scène resterons à jamais mythique. Braveheart, un chef d'œuvre absolue à voir et à revoir.