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Michel1664
19 abonnés
735 critiques
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2,0
Publiée le 24 octobre 2016
Je n'ai pas été séduit par ce film. Le déroulé de l'histoire n'est pas particulièrement convaincant même si l'idée d'un pistolero qui va profiter de la rivalité de deux familles pour s'en mettre plein les poches est plutôt originale. L'histoire tiens la route par une succession de "coup de chance", de timing bien heureux, ..., c'est un peu facile et il reste pourtant encore des "incohérences". Très moyen. A noter : La scène finale réutilisé dans retour vers le futur 2 (Le riche Biff qui regarde ce film dans son jacuzzi et qui l'apprécie beaucoup plus que moi).
Un classique emblématique du western malgré son scénario dont on a vite fait le tour ! Entre le charisme sauvage du héros (Clint Eastwood), les décors espagnols qui bluffe tout de suite le spectateur, les duels stimulants et ce ton aventureux et excitant qui nous prend tout de suite aux tripes, ce western est royalement plus efficace que les vieux de John Ford sans leur être supérieur pour autant ! Un western qui n'a pas pris une ride en 50 ans : on est aussi séduit aujourd'hui qu'en 1964 !
50 ans. C'est difficile quand on n'est pas de cette génération : les bruitages absurdes (et doublages, même en anglais), les cascades qui apparaissent burelesques (grands gestes théâtraux pour porter la main au coeur ou à la tête sans aucune trace de balle), des gestes stylés inutiles (renfoncer son chapeau de quelques millimètres). Même l'image du Blu-Ray reste pâlotte. En positif : les fameux cadrages de Sergio Leone, et Clint Eastwood. Et puis niveau histoire, méchants contre méchants avec des femmes en silhouette. Vu pour la culture, mais vraiment pas mon style.
Revoir un film culte de son adolescence présente un intérêt nouveau lorsque on a découvert que le scénario est une copie conforme de Yojimbo de Kurosawa présenté au Festival Lumière. Un chasseur de primes solitaire est à la place d'un samouraï pour manœuvrer astucieusement deux clans ennemis et les amener à s'entre-tuer. S.Leone, dont le nombre de films est peu élevé, se fait ici la main dans ce qui fera sa réputation dans le genre spaghetti. Clint Eastwood est encore plus inconnu et débutant, les deux s’exercent avant de monter en puissance et de révéler l'immense talent qui sera le leur plus tard. On connait les ficelles et les limites du genre, il en reste néanmoins une attraction fatale à revoir le duel final, ou le passage à tabac dont le héros se remet en quelques jours. Le blondinet sauve la belle brune et son gamin, préfiguration de Pale rider, le vent soulève la poussière avant de dévoiler le héros capable de combattre à armes inégales! Cela reste un petit régal! Et une révision musicale de Morricone ne se refuse pas. juillet 16
Une révolution, véritablement. Par sa musique, ses gros plans prolongés, ses gueules sales, Sergio créé le fameux western Spaghetti avec ce "Pour une poignée de dollars" qui s'imposera comme une référence du genre. Eastwood épate, Moricone nous régale et les duels sont d'une intensité rare. L'histoire, par contre, n'est pas exceptionnelle. Très bon western.
Le western italien par excellence qui plonge ses racines dans "Django". Ici Clint Eastwood nous fait un numéro de flingueur poilant malgré son air impassible et son manque totale d'empathie : "Vous avez fait peur à ma mule ..." et paf ! trois morts. Les brutes tombent comme des grêlons pendant un orage dû au réchauffement climatique et si cela ne porte pas le scénario au pinacle, cela repose et même "cela soulage". A voir et à revoir sans lassitude.
Alors que les westerns américains s'essoufflent largement dans les années 1960, un nouveau genre plus dynamique et moins manichéen naît en Europe sous l'égide de Sergio Leone, réalisateur de renom à qui l'on doit les trilogies du dollar et "il était une fois". Le western spaghetti est ainsi caractérisé par des personnages marquants car plus complexes et divers tels des chasseurs de primes sans éthique, une violence explicite et graphique via des scènes de torture ou encore de massacre. Les prises de vue sont souvent axées sur des gros plans sur les regards, parfois caricaturaux, et s'accompagnent de magnifiques musiques devenues cultes notamment grâce à l'oeuvre d'Ennio Morricone. Les westerns spaghettis ont principalement été tournés dans le désert de Tabernas en Espagne, doté d'espaces vierges de présence humaine et ressemblant aux paysages de l'Arizona ou du Nevada.
La trilogie du dollar commence avec Pour une poignée de dollars (A Fistful of dollars), mettant en scène Clint Eastwood dans son premier grand rôle de cavalier solitaire cherchant à gagner des billets tout en aidant les civils en se débarrassant des hors-la-loi, tirant ainsi profit des deux bandes rivales, les Baxter et les Rodos, qui se disputent la domination d'une petite ville juste au sud de la frontière entre le Texas et le Mexique. Le principal opposant de Joe est Ramon Rodos, incarné par le charismatique Gian Maria Volonte, qui atteindra les sommets dans le prochain film. On trouve également son redoutable frère, un tavernier désarmé, la jeune femme Marisol et le vieux fabricant de cercueils.
La trame du film est calme et posée (avec en parallèle un thème principal fort qui annonce le dynamisme), avec des dialogues munis de quelques réflexions intéressantes, des scènes d'action avec des tirs et des morts, les musiques intenses accompagnant les moments forts. Joe sympathise avec tout le monde de manière maligne et obtient de l'argent en échange de servicesspoiler: jusqu'à se faire percer à jour avant une scène de torture assez violente pour l'époque. L'action a beau avoir vieilli avec ses morts à l'ancienne, ses bruitages assez kitsch et ses balles parfois simulées, le dynamisme fonctionne et procure au film un certain cachet. On retrouve les armes classiques de l'époque comme les revolvers et les winchesters, mais aussi les plaques de tôle, sur lesquelles s'entraîne Ramon en cherchant trop à viser le cœur, Joe s'en servira à ses dépens.
Avec Pour une poignée de dollars, Sergio Leone signe le début d'une courte mais fort prestigieuse filmographie dans laquelle il retrouvera Clint Eastwood, Ennio Morricone et bien plus encore pour des œuvres d'anthologie. Un classique !
Un très bon Western avec Clint Eastwood. Deux familles se déchirent, un étranger arrive. La musique est excellente, les prises de vues également. Un duel de légende dont la scène sera reprise dans la fameuse trilogie "Retour vers le futur".
Les premiers pas du mythe Leone dans la poussière de l'Ouest Américain. Si le canevas scénaristique est plutôt simple, tous les ingrédients des futurs films du maître sont déjà là: mise en scène précise, usage des lenteurs avec calcul, humour, explosions de violence subites, et la musique sublime d'Ennio Morricone. Ce seul film suffisait déjà à fracasser tous les codes du western imposés par Hollywood, donnant un aspect crasseux et véridique aux moindres détails, costumes, regards et décors. Un coup d'essai qui vaut tous les coups de maître.
"Pour une poignée de dollars" est le premier opus de la fameuse trilogie du dollar. Ce ne sera pas du très grand Sergio Leone, mais le film aura le mérite de contribuer à la naissance d'un nouveau genre en matière de western, celui que l'on surnommera "western spaghetti". Malgré cette réalisation nouvelle dans le registre et ce héros à la gueule qui vaut un sacré paquet de dollars, ce premier volet restera le moins mémorable de la trilogie...le réalisme, le rythme et le scénario n'étant pas encore à leur paroxysme. Le western spaghetti fait son entrée dans le cinéma !
J'ai presque préféré Pour une poignée de dollars à Et pour quelques dollars de plus. En effet, ce film vient entamer de la plus belle manière la trilogie. La mise en scène de Sergio Leone est superbe, la musique d'Ennio Morricone est magnifique et Clint Eastwood est au top de sa forme pour son premier grand rôle. L'histoire est simple mais efficace, on prend plaisir à voir Clint manipuler les familles pour les faire s'entretuer, bien que je trouve que certains personnages comme les Baxter ou les deux frère Rodos moins importants sont peu développés. Mais ce sont les seuls défauts du film car je ne me suis pas ennuyé une seconde et les fusillades sont bien filmées (et rendues épiques par la musique de Morricone). Un très bon film qui ouvre en beauté la trilogie du dollar.
Premier film de la trilogie "Dollars" de Leone, celui-ci donne une vraie ébauche de ce que concrétisera quelques années plus tard Le Bon, la Brute et le Truand du même réalisateur de génie. Un scénario un peu léger et conventionnel, malgré tout, l'ambiance sonore et visuelle ainsi que des acteurs de qualité donnent une vraie dimension au film.
Très bon western de Sergio Leone! Le scénario est écrit intelligemment, les acteurs sont très bons. Et que dire de la classe qu'incarne Clint Eastwood! Et qui n'a jamais vu le moment où Clint se fait tirer dessus et enlève son gillet par balles?( Retour vers le futur 2 ). De plus, le rythme est assez bien mené, ce qui fait que l'on ne s'ennuie pas une seconde. Bref un très bon film!
" pour une poignée de dollars " western culte de Sergio leone . L'histoire se déroule à l'époque du far west au sud de la frontière americano-mexicaine dans la petite ville de San Miguel ou deux bandes rivales les baxter qui sont des trafiquants d'armes et les rojo qui font de la contrebande d'alcool se disputent la suprématie et la domination de la ville . Un jour un étranger vêtu d'un poncho ( Clint Eastwood ) arrive à dos de mulet dans la petite ville et s'immisce entre les deux bandes . Proposant d'abord ses services aux rojo l'étranger va tres vite tirer profit des deux camps a la fois ... " pour une poignée de dollars " est un bon western signé Sergio leone et le premier volet de la fameuse trilogie du dollar qui comprend trois western culte ( pour une poignée de dollars , et pour quelques dollars de plus , le bon la brute et le truand ) faisant apparaitre le personnage mythique de l'homme sans nom . L'histoire est prenante et originale celle d'un étranger qui arrive dans une petite ville et qui va s'immiscer entre deux bandes rivales et accentuer leur conflit en les manipulant pour tirer de gros profits . Une histoire prenante meme si j'aurait aimer que le personnage de l'étranger manipule un peu plus les deux bandes et pousse un peu plus le conflit entre les deux bandes. Clint Eastwood incarne a merveillle le rôle de l'étranger ( surnommer l'homme sans nom ) ce cow boys solitaire et mysterieux vêtu d'un poncho , fumant des cigario et grand adepte de la gâchette . Un personnage devenu culte au look mémorable . Le reste du casting tient également très bien la route . Sergio leone renouvelle avec ce film le western et crée par la meme occasion un nouveau genre cinématographique a savoir "le western spaghetti" qui deviendra sa marque de fabrique . Les ingredients d'un bon western spaghetti creer par Serge leone c' est un bon melange d'humour noir , de suspense , de violence et d'action . On retrouve avec brio tout ses éléments dans ce film . Les paysages ou se déroulent l'action sont assez beau et assez dépaysant .on s'y évade avec plaisir . La reconstitution du far west est bonne grace a des décors réussit . La musique de ennio morricone est excellente et colle à merveille a l'ambiance du film . Un bon western a découvrir ou redécouvrir .
L'un des tous premiers westerns spaghettis, et on peut dire que ça déménage et tant pis si ça dérange les ayatollahs de la vraisemblance. Un héros dont la seule motivation est dans le titre, une violence qui va crescendo (teintée d'un évident sadisme), un méchant très réussi (Gian Maria Volonté), des plans sublimes, une musique superbe… Mais ce n'est pas parfait non plus et on regrettera que le rôle de Marianne Koch soit si peu développé, le côté quelque peu giratoire du scénario, et la théâtralité incongrue de certaines scènes spoiler: (pendant l'assaut contre les Baxter, ce sont les personnages importants qui sortent en dernier !) Quoiqu'il en soit ce film est jouissif !