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    Pour une poignée de dollars
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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2018
    Avec Sergio Corbucci, Sergio Leone est celui qui démarre en 1964 la décennie glorieuse du western-spaghetti dont ressortent aujourd'hui environ vingt classiques issus d'une production en chaine qui finira par épuiser rapidement le filon comme cela fut le cas juste avant pour le péplum. Mais c'est bien Sergio Leone qui en fixe les règles avec son adaptation du "Yojimbo" de Kurosawa (1961). Sorti en septembre 1964, "Pour une poignée de dollars" débarque sur les écrans français en mars 1966. Ce sera une volée de bois vert de la part d'une critique qui supporte mal que Leone se soit jeté sur la carcasse à peine refroidie d'un genre typiquement hollywoodien pour n'en retenir que les aspects les plus brutaux et cyniques qu'il pousse jusqu'à la caricature. Vision un peu réductrice qui n'ébranle guère le public qui fait un triomphe au film et plus généralement à ses successeurs qu'ils soient de Leone ou de ses disciples jusqu'à ce que l'effet de surprise se tarisse définitivement au bout de quelques 400 longs métrages. Les innovations de Leone sont bien sûr à rechercher sur la forme, les thèmes qu'il développe n'étant guère différents de la production classique hollywoodienne du genre, notamment de série B. Le personnage de l'homme sans nom (un artifice utilisé pour la promotion aux Etats-Unis, le héros se prénommant Joe) interprété par Clint Eastwood est en réalité une abstraction fédérant derrière son poncho et son cigarillo tous ceux nombreux qui ont débarqué à cheval un petit matin pour remettre de l'ordre dans un village en proie à une lutte fratricide entre propriétaires terriens ou bandes rivales. Leone renforce encore le caractère solitaire de son héros en le privant de la romance habituelle qui venait comme une récompense finale à la bravoure des John Wayne, Gary Cooper et autre Clark Gable. Idem pour les bandits ou escrocs dont la cupidité et le cynisme sont poussés à un tel paroxysme qu'ils les amènent à des comportements dénués de toute rationalité qui confinent souvent à la bêtise. C'est ainsi que "L'homme sans nom" use sans vergogne de la rivalité entre les deux clans pour leur proposer alternativement ses services de tireur d'élite afin de faire gonfler le cuir de sa bourse. Leone use avec une telle délectation de cette trouvaille qu'on l'imagine alors plus en disciple de Tex Avery qu'en émule d'Akira Kurosawa. Toute sa mise en scène décline cette exacerbation des situations et des caractères. Les gros plans à courte focale qui ont fait sa célébrité sont utilisés à dessein pour saisir les regards qui avant l'action elle-même nous renseignent sur les émotions des personnages. Mine de rien, en proposant une petite série B maligne et plutôt humoristique quant à sa morale, Sergio Leone est en train de révolutionner les codes esthétiques du western et du cinéma plus généralement. Ennio Morricone qui accompagnera Leone jusqu'au bout de sa courte filmographie doit bien sûr être associé à cette démarche tant sa partition semble retranscrire au plus près l'humeur voulue par le réalisateur. A plus de cinquante ans de distance de sa sortie, le premier opus de la fameuse trilogie des dollars n'a rien perdu de son charme et du parfum si particulier de l'ambiance qu'il dégage. Clint Eastwood un peu goguenard par instants n'est pas encore définitivement le personnage hiératique qu'il deviendra dès "Pour quelques dollars de plus" (1965) et qu'il déclinera ensuite dans les films de Don Siegel et dans les westerns qu'il mettra lui-même en scène, mais il est évident qu'une star est née. Enfin l'immense Gian Maria Volonté nous démontre que rien de ce qui fait le genre humain ne lui était inconnu.
    mx13
    mx13

    243 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2018
    Bon western plein de charme mythique par l'interprétation d'Eastwood mais simpliste par sa lenteur, pas mal. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2017
    Premier volet de ce qui deviendra "La trilogie du dollar", "Pour une poignée de dollars" est un film à la fois révolutionnaire et jouissif. Tout est réuni pour en faire de ce long-métrage un western spaghetti d'anthologie. La mise en scène magistrale de Léone avec ses gros plans reconnaissables au premier coup d’œil, la performance mythique d'un Clint Eastwood de gala et surtout, la musique de celui que je considère comme le plus grand compositeur du septième art, j'ai nommé l'immense Ennio Morricone. Le film enchaine les scènes et les répliques cultes et propose un divertissement de grande classe. La scène du gilet par balle est entrée dans l'histoire du cinéma et des répliques tels que "t'as pas une tête à attirer l'argent" sont restées graver dans les mémoires. Même si on sent que Léone tâtonne encore un peu, en témoigne une importante baisse de rythme à mi-parcours, j'ai pris un plaisir fou devant ce film. Le réalisateur de génie qu'est Sergio Léone y pose les bases de son cinéma qui nous offrira des chefs d'oeuvre intemporels tels que "Il était une fois dans l'Ouest" ou "Il était une fois en Amérique" pour ne citer qu'eux. Mais il serait injuste de résumer "Pour une poignée de dollars" à un simple brouillon de l'impérissable "Le bon, la brute et le truand" comme on peut l'entendre parfois. Ce film n'est pas l'oeuvre la plus marquante de la filmographie de Léone mais il reste un petit bijou de cinéma et un plaisir assuré pour tous les admirateurs du cinéaste.
    Romain C.
    Romain C.

    80 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2017
    Un très bon western de Sergio Leone mais je ne suis pas fan du genre .
    Le sujet est souvent dans les westerns .
    L'histoire a des rebondissements et quelques inattendus en restant claire et cohérent.
    Un bon scénario logique.
    Un dialogue en retrait (mais c'est mieux car la musique fait l'absence du dialogue).
    Clint Eastwood excelle comme le reste du casting mais se démarque tout de même. Les morts ne sont absolument pas crédibles (quand ils meurent).
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 novembre 2017
    Pour une poignée de dollars (Référence à fan de coach) Western spaghettis de génie !!!! En plus j'adore les spaghettis à à la sauce tomate !!!! mmmhhhh Par contre j'ai pas compris : qu'est ce que les italiens on avoir avec les film western ???

    Que dire d'autre ? RIEN ! Juste un grand coucou à toute l'équipe de 2 Heures de perdues qui vont lire ce commentaire !!!
    Les gars vous êtes géniaux !!!! Continuer à faire vos podcast, écoutez les podcast de 2 Heures de perdues !!!

    Sinon mon choix de film pour votre prochain podcast : NORBIT !!!

    CIAO l'équipe 2HDP :-)
    Chaill
    Chaill

    19 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2017
    Le plus faible de la trilogie des "Dollars", une ébauche des deux suivants pourrait on dire. Pourtant le niveau du film est supérieur aux autres westerns qui sortaient à la même époque, de la qualité d'un épisode de Zorro pour la plupart... Ici le scénario est fouillé, complexe et tellement plein de rebondissement qu'il en devient presque foutraque et le spectateur décroche forcément à un moment donné. La mise en scène est belle et nerveuse, et apporte beaucoup au métrage qui hélas pêche par ses excès de violence et ses scènes de torture et de lynchage à répétition, à réserver aux amateurs du genre. Leone nous proposera beaucoup mieux par la suite!
    Le Loubar
    Le Loubar

    41 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2018
    Avec "Pour une poignée de dollars", le réalisateur italien Sergio Leone a redéfini les codes du western et fait entrer dans la légende l'acteur Clint Eastwood ! Un cavalier solitaire arrive dans la petite ville mexicaine de San Miguel, qui a des allures de ville-fantôme. En effet, 2 clans rivaux s'y chamaillent depuis quelques temps : les Baxter, trafiquants d'armes, et les Rojo, trafiquants d'alcool. L'étranger va alors vouloir tirer profit de cette rivalité en proposant ses services tour à tour aux 2 bandes pour les amener à se neutraliser l'une l'autre.. Considéré comme le précurseur majeur d'un sous-genre, le "western spaghetti" (surnommé ainsi à cause de ces origines européennes), ce film nous dépeint un Far West rongé par la cupidité et l'individualisme. Les habitants de San Miguel semblent se terrer chez eux par peur de se faire descendre, voire même de se faire lyncher comme en témoigne le nœud coulant accroché à un arbre.. Ici, soit on devient riche, soit on meurt ; les 2 clans qui se disputent la suprématie de la ville font preuve d'une réelle violence, n'hésitant ni à tuer froidement, ni à torturer lentement, ni à prendre en traître. Le manichéisme est totalement absent, chacun n'étant ni tout blanc ni tout noir (même l'Étranger qui semble pourtant être le héros du film semble agir plus pour ses propres intérêts que pour le bien, spoiler: c'est d'ailleurs paradoxalement lorsqu'il permettra à une famille d'échapper à un destin tragique qu'il se fera sévèrement passer à tabac
    ). Si le scénario peut sembler un peu léger, il ne pénalise pas vraiment le film car il permet de réinventer des icônes de l'Ouest américain surtout sur le plan visuel.. Leone multiplie les décadrages (nombreux sont les plans où l'on ne verra qu'un colt ou des jambes), les inserts sur les yeux des protagonistes, les contre-plongées et l'étirement des plans pour faire de ses personnages de véritables icônes de brutalité et de son film un vrai objet de tension sublimé par l'incroyable musique d'Ennio Morricone. Les décors et les costumes rendent ici le Far West plus vrai que nature, comme la superbe photographie qui retranscrit brillamment la chaleur et la tension. Au final, on ne ressort pas de ce film sans avoir été marqué par le charisme des personnages (surtout l'Étranger qui révèlera Clint Eastwood comme l'une des plus grandes icônes du western moderne), par sa brutalité et sa tension, bref un film culte.
    Benjamin A
    Benjamin A

    712 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2018
    Sergio Leone :

    Ce mot de "spaghetti-western", c'est un des plus cons
    que j'ai jamais entendus de ma vie.

    Sergio Leone, qui hérita de la passion du cinéma par un père metteur en scène et une mère actrice, commença comme assistant-réalisateur, notamment pour Ben-Hur, avant de prendre son envol derrière la caméra en remplaçant Mario Bonnard pour Les Derniers Jours de Pompéi. Un péplum plus tard, il se lança dans Pour une poignée de dollars.

    Après avoir adoré le génial Yojimbo d’Akira Kurosawa, il décide alors d'en faire une transposition dans le western, ce qui lui coûtera d'ailleurs un procès au vu du succès non prévu de ce qui sera l'une des bases du western-spaghetti. Il avouera que son autre inspiration était une pièce de Goldoni, Arlequin serviteur de deux maîtres et le manque de budget le poussa à s'offrir une tête d'affiche méconnue, une jeune vedette de série télévisée du nom de Clint Eastwood, au lieu de comédiens de renoms qu'il voulait comme Henry Fonda ou James Coburn.

    Dès les premières séquences, le style du metteur en scène italien est posé et reconnaissable, avec une bande-originale importante, géniale et fortement présente signée Ennio Morricone ainsi que des plans au plus près des visages des personnages, pour mieux que l'on ressente leurs peurs et tensions. Assez vite, on est transposé dans l'univers de Leone, et on ressent tout ce qui transpire, littéralement parlant, des protagonistes.

    Il laisse planer un certain voile mystérieux sur le personnage de Clint Eastwood, on ne sait rien de lui, que ce soit son passé ou ses intentions, si ce n'est qu'il agit surtout pour l'argent. Il le rend intéressant, notamment par les liens qu'il va entretenir avec les deux familles rivales et on se prend à son jeu, Leone nous tenant en haleine jusqu'au remarquable et inoubliable dénouement final, finissant de donner de nouvelles lettres de noblesses à un genre qui commençait à s’essouffler.

    Au-delà de son scénario, c'est vraiment par son ambiance que Pour une poignée de dollars est marquant, on est happé par la chaleur ambiante, c'est lourd, moite et Leone n'oublie pas de placer une dose de suspicion sur les personnages et enjeux. Il n'en oublie pas une pincée d'humour noir qui s'insère parfaitement au récit, ainsi qu'une intensité presque permanente, sublimée par la bande-originale ainsi qu'un magnifique visuel, nous permettant de ressentir toute la poussière de ces villes désertiques.

    La description des personnages, que Leone n'oublie jamais de sublimer avec sa caméra, est simple, mais ô combien géniale, où l'opposition des deux familles se place sous le signe de la cupidité et de la méchanceté. Et face à eux, le cinéaste italien met en scène un remarquable tireur, assassin et guidé par sa simple volonté et son instinct de survie, ce qui marque une nette rupture avec l'idéal du héros cow-boy que l'on trouvait très souvent dans les films américains. Ce triangle bénéficie d'un traitement simple mais vrai, on y croit, et Leone n'oublie pas d'y inclure une sacrée dose d'intensité, notamment lorsqu'ils seront en face à face, pour des moments inoubliables, et parfois même d'une rare violence.

    La force du cinéma de Leone, c'est de créer une vraie alchimie entre tous les éléments, avec ici une belle et réaliste reconstitution, où l'italien fait aussi preuve d'un certain sens du détail, ainsi qu'une musique omniprésente participant activement à l'ambiance et la réussite du film. Ennio Morricone signe une bande-originale entêtante, parfois glaçante et devenant presque un personnage à part entière. Comme il le fera par la suite, le cinéaste sublime aussi les comédiens, avec un magnétique Clint Eastwood créant magnifiquement et violemment son mythe, face à un surprenant Gian Maria Volonte en tireur d'élite buveur, sournois, cynique et violent.

    En signant Pour une poignée de dollars, Sergio Leone pose vraiment les premières pierres de son cinéma avec une oeuvre âpre, violente et unique, sublimée par son intensité, la bande-originale d'Ennio Morricone et de géniaux comédiens, lui permettant ainsi de donner de nouvelles lettres de noblesses à un genre qui prenait la poussière.
    Antoine D.
    Antoine D.

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 août 2017
    Le premier western spaghetti de la trilogie du dollar. On en est pas encore au chef d'oeuvre du dernier volet. Un seul acteur crève l'écran c'est évidemment Clint Eastwood dans son meilleur rôle, l'homme sans nom. Ses tirs et son ingéniosité font déjà de l'effet quant à Ennio Morricone, qui est selon moi le deuxième personnage principal, nous compose une bande originale déjà superbe.
    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    29 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2017
    Pour une poignée de dollars réalisé par Sergio Leone en 1964.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • Le charisme de Clint Eastwood
    • L'histoire intéressante
    • La musique (même si je m'attendais à mieux

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • Le manque de scènes de fusillades (de duels

    *Conclusion →
    J'ai aimé, c'est un très bon western. 8/10.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2017
    Le film laisse peu de place au lyrisme qui était pour moi un élément magistral dans "le bon, la brute...". Ici la violence des clans est au coeur du film et on assiste davantage à une véritable guerre qu'à une réflexion sur la justice ou autre chose....
    Niveau action on est servi.
    Tietie008
    Tietie008

    24 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2017
    Pas le meilleur Leone, mais le début d'une révolution cinématographique, avec une grammaire narrative nouvelle qui va renvoyer le western américain au rencart ! Des gros plans et une musique superbe, avec les beaux yeux de Marianne Koch en prime.
    CH1218
    CH1218

    201 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2017
    Un poncho sur les épaules, le cigarillo au coin des lèvres, la barbe naissante, un homme sans nom débarque dans un bled perdu du Mexique, proche de la frontière étasunienne où deux familles se livrent leur petite guerre. Alors que le genre se meure petit à petit au pays de l’Oncle Sam, Sergio Leone, caché sous le nom d’emprunt de Rob Robertson, tord les paramètres établis et réinvente le western en réalisant le premier film d’un nouveau style communément appelé "spaghetti". Malgré une histoire pas terrible, la violence froide de « Pour un Poignée de Dollars », ses gros plans et l'utilisation d'une musique atypique ont fait sensations lors de la sortie en salles et lança définitivement l'incroyable carrière de Clint Eastwood.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 511 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 novembre 2016
    Pour une poignée de dollars est un très bon western, avec un duo Sergio Leone – Clint Eastwood qui fonctionne toujours aussi bien.
    Le seul vrai reproche que l'on peut faire à ce film est qu'il pousse la logique du remake un peu loin. Le film est un remake de Yojimbo d'Akira Kurosawa et j'imagine que Sergio Leone voulait rendre hommage au film d'origine en le transposant dans l'univers du far west. Mais là, la copie est un peu trop exagérée. Tout est copié jusqu'aux lignes de dialogues. Le scénario est exactement le même, que ce soit la trame principale, mais également les intrigues secondaires, les rebondissements et les différentes scènes. Au final, il y a très peu de changement par rapport à l'original. Certaines lignes de dialogues sont identiques. Cela peut se comprendre, certaines répliques de Yojimbo étaient très classes, et les faire prononcer par Clint Eastwood, ça a quand même de la gueule.
    Clint Eastwood est impeccable, son jeu d'acteur est empreint d'un tel charisme, surtout lorsqu'on le fait incarner des rôles aussi cools. Je n'ai pas noté de défaut de la part des autres acteurs, même s'ils sont transparents à côté d'Eastwood.
    La musique d'Ennio Morricone est toujours aussi impeccable.
    Les scènes de fusillade sont très bien réalisées. La tension qu'inspire Sergio Leone avec des plans serrés sur le regard des personnages est palpable (et je dis ça alors que je suis en général assez insensible à cet aspect-là d'un film).
    Ce film est un quai-parfait.
    The Claw
    The Claw

    62 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2016
    Clint Eastwood joue les agents doubles du far-west dans ce western spaghetti de qualité, où il ne se gêne pas, une fois de plus, pour faire parler la poudre. Une ou deux fusillades nocturnes un peu confuses, mais rien de bien méchant côté défauts. Le film se tient d'un bout à l'autre. Ajoutez à ça un thème musical qui posait déjà les bases des films de Sergio Leone. Un western plaisant.
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