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_Royal_
128 abonnés
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1,5
Publiée le 2 septembre 2011
Quel gâchis, mais quel gâchis ! C'est pourtant pas le potentiel qui manquait pour faire un chez d'oeuvre, mais non, parce que monsieur Leone n'a jamais compris ce que c'était, un chef d'oeuvre. Ho non ! Monsieur Leone il veut faire des films comme bon lui plait, il veut transformer de bons dialogues en citations niaises à vomir, il veut tout exagérer jusqu'à l'over-dose, les émotions, les sentiments, toutes les actions, parce qu'il se croit encore en 1911, et qu'au cinéma, il faut bien montrer au gens un peu bébêtes, qu'est ce qu'on veut leur montrer, ne pas hésiter à faire d'un détail une montagne, surtout pas. Et pour couronner le tout, il arrive à nous faire détester de magnifiques compositions de Morricone, en utilisant la même sans interruption pendant 45 minutes, jusqu'à la péremption du disque, avant d'en passer un autre. Et puis ne parlons pas du montage, le pauvre vieux devait être sourd... mais à 37 ans, c'est ballot.
Le premier film de la trilogie du dollar par el maestro Sergio Leone, un petit budget (200 000 dollars) et pourtant avec un excellent avec un Clint Eastwood toujours dans la peau du justicier sans nom. Une très bonne histoire et un grand film. Petit Chef-d'oeuvre de Sergio Leone qui en réalisera des immenses par la suite.
C’est l’un des films de Sergio Leone que j’ai le moins aimé. La maîtrise de la mise en scène est toujours là mais le scénario n’est pas d’une grande qualité.
Sergio Leone pose les bases de ses western spaghettis dans ce film qui comporte de grande scène de tension avec une maîtrise impeccable de la mise en scène. Si le récit n'est pas forcément des plus approfondis, ceci est largement compensé par un rythme parfait, une galerie de personnages magnifiquement travaillés et bien sûr par la présence écrasante du grand Clint Eastwood dans un rôle de héros mystérieux, parfois presque ammoral et pourtant qui fait preuve d'une étonnante empathie envers ses semblables, un caractère que l'on retrouve souvent chez Leone.
Un film culte, ouais, bof ! Original certes, mais sinon : histoire simpliste, humour inexistant, rythme essoufflé, acteurs affligeants (G.-M. Volonte et Clint Eastwood encore loin de leur apogée), bref, un succès immérité. Mieux qu'une poignée de navets, mais du dollar au plus bas !
Considérer comme le premier grand succès du genre western spaghetti, Pour Un Poignée De Dollar est en quelque sorte une adaptation du film japonais Yojimbo (le garde du corps), Clint Eastwood parfait dans le rôle d'un mercenaire opportuniste vendant ses services aux plus offrant, mais lorsqu’il arrive dans une petite ville déchirée par une guerre opposant deux familles rivales, ce dernier va faire en sorte de soutirer le maximum d'argent en provoquant la discorde chez les 2 gangs, en jouant un double jeu. Le premier film d'une longue liste de classique de Sergio Leone, et surement l'un des meilleurs.
Tout simplement vilain... De la même manière qu'il y a ceux qui aiment Kubrick, et qui jugent un film au nombre de faux raccords, et les autres, il y a ceux qui aime Leone et ceux qui sont un peu mort avec lui. On ne sera jamais si le film parodie les clichés du genre ou s'il en invente de nouveau, qu'importe ici l'important c'est le cynisme , seul vrai vainqueur par K.O. Une demi-étoile pour Eastwood, ou plutôt sa doublure pour la V.F.
Toutes les bases du western sont posées dans ce film et le rendent incontournable. Impossible de ne pas y faire référence dans tous les westerns qui ont été tournés par la suite.
Début d'une saga qui a gravé a jamais le mythe de Sergio Leone et qui marque la base du western spaghetti, "Pour une poignée de dollars" est un pur chef-d'oeuvre. Fluide et tranchant comme une lame de rasoir, le film joue habilement avec nos nerfs, jusqu'à un final d'anthologie. Clint Eastwood est charismatique, Gian Maria Volonte impeccable, et pour couronner le tout, la musique de Morricone reste dans nos têtes.
"Pour une poignée de dollars" marque les prémices d'une saga rendue cultissime par l'interpretation infaillible des acteurs variés qui habitent des personnages originaux de maniére brillantissime. La soif de l'or, au coeur des conflits de l'ouest, orchestrée par quelques tirs bien placés et idéallement utilisés, vous séduira de long en large, en travers etc. Sergio Leone fait preuve d'une incroyable maitrise avec un plan superbe (notament), prouvant grâce à son imparable talent que filmer une paire de bottes peut relever du mythe.. Clint Eastwood, formidable, évolue de façon intriguante -due à son personnage dont on ne sait rien- dans un de sublimes décors aux paysages fantastiques. Le tout mis en musique par l'illustre et irremplacable Ennio Morricone, qui signe une partition exemplaire et exaltante. En outre, au final on aurait bien sisigner "pour une poignée de minutes" supplémentaires. Du cinéma pur jus, où le western est superbement transcrit au premier plan.
Le premier film de la trilogie de "L'Homme sans nom" est un bon petit cru, avec déjà un grand Clint Eastwood, même si le style et l'intrigue auraient gagné à être affutés. Heureusement, ils le seront dans les opus suivants...
Nous voilà devant un western qui démolit littéralement les codes habituels du genre pour créer un "sous genre", le western-spaghettis. Résultat ? Dérangeant mais excellent. Sergio Leone signe un film à l'ambiance unique et au scénario bien foutu. Drôlement bien foutu même, car l'histoire fait parfois rire, ou encore instaure un mystère ou de l'attente. Et surtout, elle met en scène un parfait anti-héros, incarné à merveille par Clint Eastwood : il ne se bat que pour l'argent, trompe son monde d'un bout à l'autre et se place souvent en tant que spectateur. En effet, cela dérange les codes du western mais c'est fascinant. On aime quand même Jo, on est forcément intéréssé par la nouvelle entourloupe qu'il va confectionner. A part ça , Tous les personnages ont un caractère bien trempé et soigné afin que l'ensemble (le village) soit un univers cohérent et logique. Le film est parfois un peu long, certes ( surtout le début), mais dès que Jo commence à "travailler" et qu'en plus des intrigues secondaires en tout genre viennent s'ajouter ( la mystérieuse femme aimée de Ramon, le coffre), on s'amuse follement. Puis vers la fin ça tourne en images barbares pleine de furie, notament lors de l'incendie ou on nous envoie un bon lot de plans rouges, violent et excessifs. Dans ce western, on a aussi droit a quelques scènes sombres avec un bon humour noir (le voyage dans le cercueil, "préparez-en deux", etc). Et le final est dur, magistral et très intelligent : il nous tient vraiment en haleine. Le tout porté par la musique d'Ennio Morricone qui tient du génie, belle, magnifique, sublime, et inoubliable. Bref, c'est franchement e meilleur film pour s'initier au western spaghettis dans le joie et la bonne humeur !
Absolument génial dans son développement, dans son comique, et dans ses acteurs, ce western spaghetti s'affirme comme un classique du genre, un chef d’œuvre intemporel qu'on oubliera jamais, et qui balise déjà de très bonnes bases pour la suite, qu'on connait. Eastwood est superbe. La musique de Morricone, aussi.