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    Pour une poignée de dollars
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    ChauvelCinema
    ChauvelCinema

    18 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2011
    Le premier film de la trilogie de "L'Homme sans nom" est un bon petit cru, avec déjà un grand Clint Eastwood, même si le style et l'intrigue auraient gagné à être affutés. Heureusement, ils le seront dans les opus suivants...
    Benjamin A
    Benjamin A

    712 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2018
    Sergio Leone :

    Ce mot de "spaghetti-western", c'est un des plus cons
    que j'ai jamais entendus de ma vie.

    Sergio Leone, qui hérita de la passion du cinéma par un père metteur en scène et une mère actrice, commença comme assistant-réalisateur, notamment pour Ben-Hur, avant de prendre son envol derrière la caméra en remplaçant Mario Bonnard pour Les Derniers Jours de Pompéi. Un péplum plus tard, il se lança dans Pour une poignée de dollars.

    Après avoir adoré le génial Yojimbo d’Akira Kurosawa, il décide alors d'en faire une transposition dans le western, ce qui lui coûtera d'ailleurs un procès au vu du succès non prévu de ce qui sera l'une des bases du western-spaghetti. Il avouera que son autre inspiration était une pièce de Goldoni, Arlequin serviteur de deux maîtres et le manque de budget le poussa à s'offrir une tête d'affiche méconnue, une jeune vedette de série télévisée du nom de Clint Eastwood, au lieu de comédiens de renoms qu'il voulait comme Henry Fonda ou James Coburn.

    Dès les premières séquences, le style du metteur en scène italien est posé et reconnaissable, avec une bande-originale importante, géniale et fortement présente signée Ennio Morricone ainsi que des plans au plus près des visages des personnages, pour mieux que l'on ressente leurs peurs et tensions. Assez vite, on est transposé dans l'univers de Leone, et on ressent tout ce qui transpire, littéralement parlant, des protagonistes.

    Il laisse planer un certain voile mystérieux sur le personnage de Clint Eastwood, on ne sait rien de lui, que ce soit son passé ou ses intentions, si ce n'est qu'il agit surtout pour l'argent. Il le rend intéressant, notamment par les liens qu'il va entretenir avec les deux familles rivales et on se prend à son jeu, Leone nous tenant en haleine jusqu'au remarquable et inoubliable dénouement final, finissant de donner de nouvelles lettres de noblesses à un genre qui commençait à s’essouffler.

    Au-delà de son scénario, c'est vraiment par son ambiance que Pour une poignée de dollars est marquant, on est happé par la chaleur ambiante, c'est lourd, moite et Leone n'oublie pas de placer une dose de suspicion sur les personnages et enjeux. Il n'en oublie pas une pincée d'humour noir qui s'insère parfaitement au récit, ainsi qu'une intensité presque permanente, sublimée par la bande-originale ainsi qu'un magnifique visuel, nous permettant de ressentir toute la poussière de ces villes désertiques.

    La description des personnages, que Leone n'oublie jamais de sublimer avec sa caméra, est simple, mais ô combien géniale, où l'opposition des deux familles se place sous le signe de la cupidité et de la méchanceté. Et face à eux, le cinéaste italien met en scène un remarquable tireur, assassin et guidé par sa simple volonté et son instinct de survie, ce qui marque une nette rupture avec l'idéal du héros cow-boy que l'on trouvait très souvent dans les films américains. Ce triangle bénéficie d'un traitement simple mais vrai, on y croit, et Leone n'oublie pas d'y inclure une sacrée dose d'intensité, notamment lorsqu'ils seront en face à face, pour des moments inoubliables, et parfois même d'une rare violence.

    La force du cinéma de Leone, c'est de créer une vraie alchimie entre tous les éléments, avec ici une belle et réaliste reconstitution, où l'italien fait aussi preuve d'un certain sens du détail, ainsi qu'une musique omniprésente participant activement à l'ambiance et la réussite du film. Ennio Morricone signe une bande-originale entêtante, parfois glaçante et devenant presque un personnage à part entière. Comme il le fera par la suite, le cinéaste sublime aussi les comédiens, avec un magnétique Clint Eastwood créant magnifiquement et violemment son mythe, face à un surprenant Gian Maria Volonte en tireur d'élite buveur, sournois, cynique et violent.

    En signant Pour une poignée de dollars, Sergio Leone pose vraiment les premières pierres de son cinéma avec une oeuvre âpre, violente et unique, sublimée par son intensité, la bande-originale d'Ennio Morricone et de géniaux comédiens, lui permettant ainsi de donner de nouvelles lettres de noblesses à un genre qui prenait la poussière.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2013
    Un western spaghetti du maître Leone, véritable père du genre, qui plus est l'un du tiercé gagnant de sa cultissime "trilogie du dollar" : il était temps que j'accroche Pour une poignée de dollars à mon tableau de chasse. Eh bien voilà qui est fait, avec une grande satisfaction. Celle de la découverte d'un réal culte d'abord, et de sa collaboration avec le géant Clint Eastwood, ici pour sa première apparition sous les traits et le poncho de l'homme sans nom. Ennio Morricone n'est pas en reste, et sa participation aux projets de son ami d'enfance révolutionnera l'approche de l'utilisation de la musique au cinéma. Bref, j'ai autant assisté ce soir à un cours d'Histoire ciné qu'à un film, bien que de ce point de vue là aussi je sois amplement satisfait. Leone sert en effet un western populaire et badass, qui va droit au but en ménageant quelques scènes cultes et de jolis moments de mise en scène, alternant sans cesse entre gros plans extrêmes et travellings arrière avec une grande profondeur de champ qui donne une évidente impression d'ampleur et de souplesse à l'ensemble. Sans oublier un scénario qu'il est difficile de bouder, je crois bien pouvoir dire avoir réussi ma soirée ciné. Indémodable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    L'un des westerns incontournables, qui lança les inoubliables chef d’œuvres de Sergio Leone. Clint Eastwood signe son premier grand rôle au cinéma et la musique d'Ennio Morricone est juste génial..
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 décembre 2013
    Entamons la célèbre trilogie du dollar de Sergio Leone, considérée comme faisant partie du haut du classement des westerns spaghettis. "Pour une poignée de dollars" est le premier opus mettant en vedette l'Homme sans nom, interprété par un Clint Eastwood classe et badass en pistolero aguerri. Remake du "Yojimbo" de Akira Kurosawa, dans lequel un samouraï errant venait remettre de l'ordre dans une petite ville, le film de Leone reprend la même structure narrative, à savoir celle d'un étranger qui vient libérer les villageois d'une petite ville du joug de deux familles de hors-là-loi. Le scénario, en ce sens, est simple et efficace. Il divertit et garde l'oeil du spectateur ouvert jusqu'à la clôture du long-métrage. Pourtant, des Leone qu'il m'ait été donné de voir, "Pour une poignée de dollars" n'est pas son meilleur. Si le film procure du plaisir de par son aspect fun et jouissif, il manque cette profondeur psychologique et esthétique qui est présente dans la trilogie des "Il était une fois..." notamment. Leone se montre incisif dans "Pour une poignée de dollars", mettant bien en avant les gentils et les méchants, et se contentant de résoudre le conflit sans réelle surprise. C'est bien pour ça que ce premier opus de la trilogie du dollar ne se contente que de satisfaire le spectateur de par un divertissement de qualité. La mise en scène, même si elle sera d'autant plus poussée dans les futurs films du grand Sergio, est bonne et met bien en avant l'essentiel des émotions, sans toutefois aller au-delà, et l'interprétation des acteurs, Eastwood et Gian Maria Volontè en tête, magnifient cette histoire. Reste que, pour moi, il manque un meilleur traitement des personnages ainsi qu'un scénario beaucoup plus inspiré pour me faire monter au septième ciel cinématographique. Mais, je devrais arrêter de bouder mon plaisir car c'est bel et bien ce qu'apporte "Pour une poignée de dollars". Un réel plaisir, vif et sincère. Après cette première cuvée, il me tarde de voir les opus suivants, en espérant qu'ils soient tout aussi réussi, si ce n'est mieux encore!
    Estonius
    Estonius

    3 351 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    L'un des tous premiers westerns spaghettis, et on peut dire que ça déménage et tant pis si ça dérange les ayatollahs de la vraisemblance. Un héros dont la seule motivation est dans le titre, une violence qui va crescendo (teintée d'un évident sadisme), un méchant très réussi (Gian Maria Volonté), des plans sublimes, une musique superbe… Mais ce n'est pas parfait non plus et on regrettera que le rôle de Marianne Koch soit si peu développé, le côté quelque peu giratoire du scénario, et la théâtralité incongrue de certaines scènes spoiler: (pendant l'assaut contre les Baxter, ce sont les personnages importants qui sortent en dernier !)
    Quoiqu'il en soit ce film est jouissif !
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2015
    Alors que les westerns américains s'essoufflent largement dans les années 1960, un nouveau genre plus dynamique et moins manichéen naît en Europe sous l'égide de Sergio Leone, réalisateur de renom à qui l'on doit les trilogies du dollar et "il était une fois". Le western spaghetti est ainsi caractérisé par des personnages marquants car plus complexes et divers tels des chasseurs de primes sans éthique, une violence explicite et graphique via des scènes de torture ou encore de massacre. Les prises de vue sont souvent axées sur des gros plans sur les regards, parfois caricaturaux, et s'accompagnent de magnifiques musiques devenues cultes notamment grâce à l'oeuvre d'Ennio Morricone. Les westerns spaghettis ont principalement été tournés dans le désert de Tabernas en Espagne, doté d'espaces vierges de présence humaine et ressemblant aux paysages de l'Arizona ou du Nevada.

    La trilogie du dollar commence avec Pour une poignée de dollars (A Fistful of dollars), mettant en scène Clint Eastwood dans son premier grand rôle de cavalier solitaire cherchant à gagner des billets tout en aidant les civils en se débarrassant des hors-la-loi, tirant ainsi profit des deux bandes rivales, les Baxter et les Rodos, qui se disputent la domination d'une petite ville juste au sud de la frontière entre le Texas et le Mexique. Le principal opposant de Joe est Ramon Rodos, incarné par le charismatique Gian Maria Volonte, qui atteindra les sommets dans le prochain film. On trouve également son redoutable frère, un tavernier désarmé, la jeune femme Marisol et le vieux fabricant de cercueils.

    La trame du film est calme et posée (avec en parallèle un thème principal fort qui annonce le dynamisme), avec des dialogues munis de quelques réflexions intéressantes, des scènes d'action avec des tirs et des morts, les musiques intenses accompagnant les moments forts. Joe sympathise avec tout le monde de manière maligne et obtient de l'argent en échange de services spoiler: jusqu'à se faire percer à jour avant une scène de torture assez violente pour l'époque.
    L'action a beau avoir vieilli avec ses morts à l'ancienne, ses bruitages assez kitsch et ses balles parfois simulées, le dynamisme fonctionne et procure au film un certain cachet. On retrouve les armes classiques de l'époque comme les revolvers et les winchesters, mais aussi les plaques de tôle, sur lesquelles s'entraîne Ramon en cherchant trop à viser le cœur, Joe s'en servira à ses dépens.

    Avec Pour une poignée de dollars, Sergio Leone signe le début d'une courte mais fort prestigieuse filmographie dans laquelle il retrouvera Clint Eastwood, Ennio Morricone et bien plus encore pour des œuvres d'anthologie. Un classique !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mars 2016
    Le western italien par excellence qui plonge ses racines dans "Django". Ici Clint Eastwood nous fait un numéro de flingueur poilant malgré son air impassible et son manque totale d'empathie : "Vous avez fait peur à ma mule ..." et paf ! trois morts. Les brutes tombent comme des grêlons pendant un orage dû au réchauffement climatique et si cela ne porte pas le scénario au pinacle, cela repose et même "cela soulage". A voir et à revoir sans lassitude.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 février 2013
    Premier volet de la mythique trilogie du dollar, Pour une poignée de dollars est un grand western spaghetti.
    Tout part d'un conflit qui sépare une ville en deux, jusqu'à l'arrivée d'un homme sans nom mystérieux et à la morale douteuse, l'excellent Clint Eastwood. Car si cet homme semble au premier abord piégè dans cette ville, il retourne la situation à son avantage. Mais là où l'on aurait pu attendre qu'il prenne part à l'un des deux groupes ou qu'il tente d'arrêter, Sergio Leone reste cet amoralité qui caractérise le western spaghetti. Clint se révèle alors d'avantage comme un opportuniste avide d'argent qui monnaie ses services aux deux clans. Cet angle de vue déroute pendant un long moment du film, nous forçant à nous faire notre propre opinion sur cet homme. Mais le scénario, en plus de mettre en lumière les travers de cet époque, jouit aussi de rebondissements incroyables qui en font un film très abouti sur ce plan.
    Abouti, c'est aussi de cette manière que l'on pourrait qualifier la mise en scène de Sergio Leone, devenu culte. On y retrouve ces zoom sur les regards intenses, renforcés par le talent du compositeur Ennio Morricone qui nous offre un thème magnifique.
    On peut aussi noter une certaine constance dans le rythme du film, à la fois lent et tendu qui permet un meilleur déroulement du scénario. Ainsi, Pour une poignée de dollar est une très bonne entrée en matière pour une trilogie culte.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2022
    Pour son premier western, Sergio Leone adapte un film de samouraï sorti quelques années plus tôt, lui-même inspiré d'œuvres littéraire et théâtrale européennes. Avant que je vois l'original, je ne peux dire de Pour une poignee de dollars qu'il est parfait. Dès ce film, Leone creuse la tombe du western classique, trop manichéen, trop romantique et pas assez réaliste. Le film ouvre un renouveau d'un genre western et inaugure son apogée en terme de qualité, représenté par ses trois plus grands artistes dans leur catégorie, réunis pour la 1ère fois dans ce film: Sergio Leone (le réalisateur), Ennio Morricone (le compositeur) et Clint Eastwood (l'acteur). Si la mise en scène de Leone se précisera davantage par la suite, elle est déjà excellente et offre des séquences marquantes. Surtout, le film est selon moi encore meilleur que sa suite car d'une durée idéale, permettant de ne jamais trouver le temps long. Il s'accompagne d'un scénario efficace et riche en émotions. Deux parties distinctes se dégagent. Après 1h, l'ambiance devient alors oppressante et plus tragique tandis que le personnage principal change de position. Cet antihéros taciturne et ultra charismatique est d'ailleurs bien plus vulnérable que dans les films qui suivront, et aussi plus attachant. Pour une poignée de dollar est un des westerns qui m'a le plus touché et le revoir reste un immense plaisir.
    Artriste
    Artriste

    117 abonnés 2 007 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juillet 2012
    Très bon western doté d'une histoire accrocheuse, des dialogues parfois succulent et de beaux paysages. Clint Eastwood quand à lui est excellent et les autres acteurs sont convaincants. La b.o. de Ennio Morricone pour sa part est magnifique Un très bon western à voir.
    sword-man
    sword-man

    85 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juillet 2011
    Dés les premières notes du générique d'introduction, le ton est lancé. Dés les premières images, le ton ne fait que se confirmer: Le temps des fables de John Ford, Howard Hawks et tous les plus grands réalisateurs de western est terminé, le renouveau du genre se situe en italie, celui qui a boulversé tous les codes se nomme Sergio Leone.
    Dans "Pour une poignée de dollars", il n'y a pas de héros, mais des anti héros sans foi ni loi, l'homme sans nom incarné par Clint Eastwood n'est interessé que par l'argent. Mais le renouveau se situe aussi dans la réalisation de Sergio Leone, gros plan sur des tronches sales, lenteur des gestes, montage au millimètre sur la célèbre musique de son comparse Ennio Morricone.
    Un mythe est né avec ce remake d'un film japonais, "un putain de bon film" comme il est dit dans "Retour vers le futur II".
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    46 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    En adaptant le "Yojimbo" de Kurosawa au western (c'est du copier-coller cela dit), avec sa galerie de gueule pas possible, des moyens fort limités, des acteurs alors quasi-inconnus et une violence crue, Leone inscrit son film dans la continuité du cinéma d'exploitation italien, grand fournisseur de péplums délirants et d'autres objets cinématographiques hallucinants qui font aujourd'hui encore le bonheur des bizarro-philes de tout ordre.
    Et pourtant, le génie est là car tout est déjà transcendé. Un style qui mélange réalisme et hiératisme, un rythme volontairement lancinant, un développement d'opéra...un maître est né.
    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    29 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2017
    Pour une poignée de dollars réalisé par Sergio Leone en 1964.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • Le charisme de Clint Eastwood
    • L'histoire intéressante
    • La musique (même si je m'attendais à mieux

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • Le manque de scènes de fusillades (de duels

    *Conclusion →
    J'ai aimé, c'est un très bon western. 8/10.
    MC4815162342
    MC4815162342

    398 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2013
    la catégorie Best Film of the world présente: Pour une poignée de dollars.
    Réalisé par l’énorme Sergio Leone et porté par l'immense Clint Eastwood, un très bon début de trilogie !
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