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    La Reine Margot
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    176 critiques spectateurs

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    Roub E.
    Roub E.

    968 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2019
    Ça c’est du grand cinéma français. La reine Margot est une fresque rouge sang sur fond de massacre de la Saint Barthélémy. La première partie du film est même exceptionnelle, prenante, soutenue par une musique extraordinaire. Le casting est grandiose Isabelle Adjani en tête qui trouve ici ce qui est probablement son meilleur rôle (et ce n’est pas rien). Mais ce n’est pas la seule, Daniel Auteuil remarquable en Henri De Navarre personnage en sursis, Virna Lisi en Catherine de Médicis ressemblant à un oiseau de mauvaise augure. Pascal Gregory, Vincent Perez et j’en passe jusqu’au moindre petit personnage c’est brillant. Le film montre un pouvoir malade de replis sur soi même jusqu’à la consanguinité, un pouvoir fou qui sent sa fin proche et prend des décisions qui ne font qu’empirer les problèmes. La mise en scène de Chereau est admirable, grandiose à la hauteur de son sujet. Dommage que le film n’arrive pas dans son final à être aussi grandiose quand dans sa première partie avec un ou deux temps morts, c’eût été parfait.
    Lyes
    Lyes

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2019
    Pour ma part, j'ai passé un bon moment devant ce film, j'ai beaucoup aimé les scènes théâtralement réalisées,
    Le film est très sensuel et violent sans tomber dans la vulgarité, en tout cas bon moment de cinéma.
    Alasky
    Alasky

    354 abonnés 3 427 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 décembre 2018
    Il n'y a que Virna Lisi qui sort du lot grâce à sa performance très juste. Les autres acteurs surjouent et c'est très agaçant lorsque que c'est un film qui dure 2h20. C'est hyper long et morne, sans relief aucun...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    695 abonnés 3 021 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2018
    Fresque grandiose pleine de passions et de souillures, La Reine Margot restitue à merveille l’atmosphère poisseuse d’un XVIe siècle finissant que Dumas contribua d’ailleurs à ternir dans son roman. Patrice Chéreau n’a guère l’ambition de rapporter l’histoire dans sa véracité mais d’adapter une œuvre romanesque elle-même adaptée des faits historiques : nous avons sous les yeux un mythe populaire mis en scène avec génie où les passions se purgent dans un vaste théâtre cathartique à découvert. Spectacle de trognes, de sueur et de corps meurtris, le film saisit le spectateur à la gorge par une esthétique solennelle froide et collée aux personnages ; choix qui contribue à diffuser un climat paranoïaque, que la musique d’ailleurs, signée Goran Bregovic, accentue par des sonorités mariant chants funèbres et synthétiseurs pour un effet des plus déconcertants. Chéreau livre ici une reconstitution minutieuse et très inspirée, s’entoure pour cela d’acteurs méconnaissables ; on a l’impression de voyager dans une galerie dont les murs porteraient des toiles de Rembrandt, de Goya et la fameuse peinture de François Dubois, Le Massacre de la Saint-Barthélemy. Massacre qui, avec l’ouverture et la scène de chasse, constituent les morceaux de bravoure d’un long-métrage qui ne souffre que d’un seul défaut : sa légère tendance à se répéter à la longue (on connaît certes la densité de l’œuvre de Dumas), ce qui amoindrit l’impact émotionnel des scènes intermédiaires. Peut-être aurait-il fallu amender l’œuvre de sorte à n’en tirer que la substantifique moelle... Il n’empêche que l’impression de chaos immobile qui se détache de ces deux heures trente fascine. Une révolte esthétique flamboyante.
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    2,5 étoiles - La reine Margot

    Pour les cinéphiles et les amateurs d'oeuvres d'art, ce film est à voir absolument. Il y a des images et des scènes d'une grande beauté plastique. Autre mérite de ce film : Chéreau a su donner à chacun de ses personnages une densité physique (j'ajouterai psychique) qui fait si souvent défaut dans les films « en costume ». Mais il est à regretter deux défauts majeurs ; d'abord, un choix musical totalement inaproprié, qui disqualifie parfois l'action dramatique ; enfin, de terribles longueurs lors de la seconde moitié du film (des mises en scène pauvres et ennuyeuses). Quel dommage ! Car il y avait vraiment les ingrédients pour faire un très très grand film. Il y a donc un mélange d'admiration et de profonde déception.
    Jrk N
    Jrk N

    39 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 août 2018
    Une superbe photographie coïncide avec une mise en scène incompréhensible (on ne sait même pas où sont les personnages).
    Des acteurs tous exceptionnels, habillés parfaitement dans des décors excellents, sont en général mal dirigés et dans l’excitation permanent tombent complément dans un sur-jeu dérisoire. La pire étant hélas Adjani (que j’aime beaucoup) qui se contente d’avoir eles yeux écarquillés d’un bout à l’autre du film alors que Margot est un personnage complexe, épris de philosophie et pas du tout nymphomane (tout au contraire).
    La Reine Margot (Chéreau 93) est le premier film français où l’on n’entend pas les dialogues volontairement. Ça s’est propagé ensuite hélas. Ici, les dialogues qu’on entend sonnent faux, sont mal dits, mal écrits et surtout mal prononcés. On ne les accepterait pas dans Plus Belle La Vie.
    Plus grave : aucun des faits historiques n'est clairement compréhensible: ni les massacres, ni les attentats, ni les guerres.
    Il y avait pourtant beaucoup à dire et à expliquer en rétablissant un peu de vérité historique sur les guerres de religion, l’importance toujours tue du protestantisme dans les élites et le peuple français, la volonté de rapprochement constante et la vie intellectuelle de l’époque. Mais tous les personnages sont des caricatures qui dépassent en ridicule -et ce n’est pas peu dire – les marionnettes débiles de Dumas dans son plus mauvais roman.
    Un véritable gâchis.
    Lolomc
    Lolomc

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 août 2018
    Isabelle Adjani est encore plus magistrale qu’á son habitude. Casting, décors, costumes tout est parfait.
    Mysterfool
    Mysterfool

    10 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2018
    Un pur chef d’œuvre, mais à qui en attribuer la paternité ? A tous, Alexandre Dumas, Patrick Chéreau et Danielle Thompson. Et puis à tous les acteurs parmi lesquels je n’ai pas pu en sortir un meilleur car ils le sont tous. Dirigé comme un opéra c’est une succession de tableaux avec les belles natures mortes des corps ensanglantés des victimes de la St Barthélémy. Les erreurs historiques n'ont pas d'importance sauf à m'obliger à lire des livres d'historiens pour connaître le fin mot de cette Histoire de France.Ce film vaut bien plus qu’une messe !
    pierrre s.
    pierrre s.

    436 abonnés 3 309 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2018
    Chéreau ne voulait pas faire un film historique, donné la leçon aux spectateurs, il voulait au contraire une oeuvre contemporaine. On retrouve cette volonté dans les dialogues, dans les "libertés " historiques que s'accorde le scénario et enfin dans le sujet en lui-même. En effet à la sortie du film, les guerres de religion sont encore terriblement d'actualité. Accompagné d'un gros casting, Chéreau réalise un opéra qui a marqué le cinéma français.
    7eme critique
    7eme critique

    537 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2017
    Une grosse production, une scène d'introduction très prometteuse, un scénario intéressant, mais aussi des acteurs aux prestations douteuses (Isabelle Adjani viendra contrebalancer tout ça en étant la seule à proposer un jeu digne de ce nom, et en apportant un minimum de fraîcheur par la même occasion), une réalisation assez caractéristique du genre, pas vraiment originale ni surprenante, et qui ne viendra donc pas sublimer le récit, "La reine Margot" reste un film historique très (trop) classique, laissant intervenir le marchand de sable à plusieurs reprises. Une fois de plus, un gros budget ne fait pas tout !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 août 2017
    Patrice Chéreau part du postulat très "godardien" que son public dispose déjà du bagage historique et culturel pour décoder son film. Ceux qui connaissent parfaitement le contexte de la France de cette fin du XVIème siècle seront flattés d'assister à un catalogue d’anecdotes, de références et de caméos conçus comme autant d'appels du pied de la part du réalisateur.

    Pour les autres, le film s’apparentera à une séance de torture alternant moments de confusion et d'ennui.

    Car en dehors des prétentions élitistes, il règne dans cette œuvre une absence totale de maîtrise du langage cinématographique le plus élémentaire. La narration y est confuse, les dialogues tantôt abscons, souvent somnifères. Les enjeux, les personnages manquent de clarté et paraissent brouillons. L'ensemble souffre d'une trop grande densité. C'est là l'erreur classique des adaptations littéraires au Cinéma : le pouvoir de l'image manque d'espace pour respirer et ainsi déployer son propre langage. Chéreau raisonne ici comme le metteur en scène de théâtre qu'il est. Erreur fatale car il en résulte des incohérences narratives et d'espace-temps qu'un second couteau du 7ème Art ne pourrait pas se permettre.

    Les acteurs gèrent le chaos ambiant de manière inégale. Si Jean-Claude Brialy rayonne en Gaspard de Coligny (son agonie rejoint ceci-dit le Palmarès des morts les plus absurdes du Cinéma), Isabelle Adjani semble insipide. Virna Lisa en Catherine de Medicis, par un accent italien à couper au couteau, est tout simplement incompréhensible.

    Malgré tout, Chéreau et son équipe font preuve d'un sens rare de l'esthétique. Les plans et la gestion de la lumière dégagent une beauté mortifère qui n'a rien à envier aux tableau de Goya. Il flotte dans ce film une ambiance glauque de fin du monde tragique très réussie.

    Dommage car ces images brutes auraient besoin d'être desservies par quelqu'un qui sait conter des histoires. C'est-à-dire un réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 janvier 2017
    ça démarre plutôt bien avec cette retranscription assez réjouissante du massacre de la Saint-Barthélemy : une infâme boucherie qui fait partie de notre patrimoine, celui des fanatismes religieux et de la guerre sauvage entre eux. Je le mentionne, car il est me semble-t-il très rare de voir cet odieux et honteux morceau d'histoire au cinéma et rien que pour cela, le film vaut au moins un coup d'oeil.

    Isabelle Adjani, lumineuse, vaut également le coup même si -et tout le reste de la distribution est dans le même cas- sa prestation est outrée et ridiculement théâtrale. Jean-Hugues Anglade, pour sa part, tire son épingle du jeu dans ses élans de roi décadent abruti et infantile : il en fait des tonnes !

    A l'inverse, le repoussoir Daniel Auteuil -tocard irrécupérable de son état- nous fait donner des coups de pied au téléviseur à chacune de ses apparitions. Le Vincent Perez est presque aussi énervant d'ailleurs. Quant à la vieille chouette Virna Lisi, elle me fait peur.

    Hélas, en dehors du massacre et malgré tous les efforts que l'on est prêt à consentir, on décroche assez vite de cette intrigue compliquée, tortueuse et confuse. Le film se répand de plus en plus, se délite et s'étale plus que de raison, nous abreuvant d'ennui jusqu'à la lie.

    Cela est un gâchis regrettable, car certains moyens ont été déployés et la mise en scène malgré quelques errements est assez avisée. Il eut fallu bien plus de rigueur dans l'écriture et bien moins de prétention : le film historique y est par définition très sensible, entraînant nombre de projets dans de pitoyables naufrages.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 septembre 2016
    Déjà, pour commencer, le titre est trompeur. La reine Margot n'est jamais reine dans le film. On n'aborde qu'une partie infime de sa vie et je trouve que le titre pour le coup "vend" une période qui n'est pas celle du film. Non pas qu'il s'agisse de la partie la moins intéressante. Mais il se passe énormément de choses avant qu'elle soit reine, et ici on aborde uniquement les événements qui suivent son mariage jusqu'à la mort de Charles 9. Ça fait court et elle est loin d'être reine !
    Du coup, peut être influencé par le titre, j'ai trouvé le début du film très long. C'est lent, un peu brouillon dans la narration. Pourtant il se passe plein de choses. Mais c'est tellement mal amené qu'on a du mal à suivre, on reste un peu confus devant l’enchaînement des scènes.
    Si vous ne connaissez pas l'Histoire, je veux dire au moins les personnages et ce qu'ils sont censés avoir fait, vous pourriez être vite perdus. Avant de voir ce film, je vous conseille de réviser un peu.
    Même les histoires d'amour sont survolées et semblent un peu surfaites. C'est dommage car ça me semblait le coeur du film. Il y a des choses qui sont tout à fait inutiles dans ce film et qui dénotent.
    C'est vraiment dommage, car on sent vite qu'il s'agit d'un film réalisé avec attention, avec le soucis de respecter le contexte.
    J'ai trouvé que le son n'était pas terrible. Les bruits de fond sont trop présents à mon goût et parfois on ne comprend pas ce que disent les personnages.
    Le casting est bon, mais parfois je trouve que les acteurs ne sont pas crédibles. A part Adjani qui est plutôt constante dans sa prestation et qui mérite à mon avis son César.
    La dernière heure est plutôt bonne et de bonne facture. La narration retrouve un peu de fluidité et je pense honnêtement que ça sauve le film (tenu jusque là par Adjani). On reste du coup sur une bonne note et une bonne impression. Mais il lui manque un fil directeur clair. Je reste sur ma faim.
    Le bilan est plutôt mitigé, mais reste positif malgré tout, sans plus.
    Ricco92
    Ricco92

    227 abonnés 2 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2016
    Quarante ans après Jean Dréville, Patrice Chéreau décide de porter à l’écran le roman historique d’Alexandre Dumas père, La Reine Margot.
    De l’appellation "roman historique", il vaut mieux conserver le terme "roman" que le terme "historique". En effet, il ne faut pas aller voir La Reine Margot en pensant voir un film fidèle à la réalité car Chéreau, dans la tradition de Dumas, est loin d’être historiquement exact : le film débute par le mariage de Margot et d’Henri de Navarre à l’intérieur d’une église alors que, dans la réalité, il a eu lieu sur le parvis de Notre-Dame-de-Paris afin de permettre aux nombreux protestants présents d’y assister ; Charlotte de Sauve n’est pas morte lors d’une tentative d’empoisonnement contre Henri de Navarre en 1572 mais de mort naturelle en 1617 (soit 7 ans après Henri de Navarre, devenu entre-temps Henri IV) ; cette même personne était de plus totalement française, chose que le fort accent italien d’Asia Argento empêche de croire ; Charles IX et Henri, duc d’Anjou (futur Henri III) ont des allures de hard-rockers très éloignées des portraits de l’époque ; dans la réalité, Catherine de Médicis n’est pas involontairement responsable de la mort de Charles IX…
    Chéreau lui-même reconnu d’ailleurs qu’il n’avait pas voulu faire un véritable film historique mais filmer une histoire assez contemporaine. Ainsi, malgré une reconstitution assez impressionnante au niveau des décors et dans la représentation des massacres de la Saint-Barthélemy (Chéreau filme des monceaux de cadavres jonchant dans les rues de Paris), le film peut évoquer certains évènements contemporains à sa réalisation. En effet, le film montre un génocide alors qu’un mois avant sa sortie débuta le génocide des Tutsis par les Hutus au Rwanda et parle d’une guerre de religion alors que depuis 1991 régnait en Algérie une guerre civile à forte connotation religieuse également…
    Toutefois, cette volonté de ne pas vouloir faire un film historique peut jouer un peu contre lui car il n’est pas obligatoirement facile pour un spectateur contemporain de réellement comprendre les motivations qui poussèrent à la nuit de la Saint-Barthélemy surtout quand on voit que Charles IX est assez proche de Coligny avant de décider qu’il fallait exterminer tous les protestants. Chéreau semble surtout vouloir filmer la folie ! Le monde dans lequel les personnages évoluent est d’ailleurs assez fou et est un mélange de violence (le film est très sanguinolent) et de sexe (les personnages font des orgies et peuvent avoir des relations incestueuses : Margot, femme très libérée, a visiblement été la maitresse de ses frères, ce qui est probablement historiquement vrai). Cette folie jouent sur la personnalité des personnages : Charles IX semble psychologiquement instable et dépressif, le duc d’Anjou et Catherine de Médicis sont près à tout pour le pouvoir…
    Si ces personnages sont aussi crédibles, c’est d’ailleurs en grande partie grâce à l’interprétation de comédiens totalement investis dans leurs rôles. D’ailleurs, ceux-ci furent salués à l’époque puisque Virna Lisi (effrayante Catherine de Médicis) remporta le Prix d’interprétation féminine à Cannes (qui donna d’ailleurs au film le Prix du Jury) et que les Césars récompensèrent, outre les costumes et la photographie, les interprètes à trois reprises : Meilleure actrice pour Isabelle Adjani, Meilleur second rôle masculin pour Jean-Hugues Anglade et Meilleur second rôle féminin à nouveau pour Virna Lisi.
    Chéreau réussit ainsi un beau film d’acteurs avec des costumes et des décors magnifiques mais peut, par la folie permanente qu’il fait régner sur l’univers qu’il filme (mais cela est-il surprenant quand on parle la Saint-Barthélemy ?) et l’aspect théâtral de certains dialogues (Chéreau était également un metteur en scène de théâtre et d’opéra très prolifique), empêcher le spectateur de totalement s’immerger dans le film.
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2016
    Ce film est une vraie fresque historique sur la vie de chateau et la cour au 16e siècle.
    C'est l'histoire de cette aristocratie qui ne vit que par l'argent, les coups-bas, le meurtre, les tensions familiales, et les relations tourmentées. Cela nous donne un tableau très vivant mais aussi très affligeant.
    Le fond c'est les guerres de religion, les protestants, et les catholiques de l'autre côté.
    Les personnages ont une personalité très fortes servis par de très bons acteurs, avec Adjani, Anglade en premier. Ce qui rend cette histoire encore plus noire.
    Le film peut être un peu lent mais il y a un certain rythme agrémenté d'une musique très entraînante.
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