AlloCiné
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Votre avis sur Les Naufragés de l'ile de la Tortue ?
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Plaisirs et voyages! On reconnaît entre mille le style de Jacques Rozier sur l'originalitè, le dèpaysement et la prèparation d'un tournage! En Robinson Crusoè somnolant auquel le cinèaste a su rendre rèel l’imaginaire de ce curieux personnage, Pierre Richard y joue un employè dans une agence de voyages avec cette nostalgie des voyages qu'il ne peut rèaliser! Un jour, il invente une drôle de croisière: celle des naufragès volontaires! Même si toute la partie parisienne peut paraître languissante, voilà un film particulièrement audacieux qui engage à larguer les amarres pour partir vers l'aventure, l'èvasion et la libertè, loin du train-train quotidien de la capitale! Dans une photographie très soignèe, ce film qui invite au rêve bènèficie de l'interprètation remarquable de Pierre Richard (sans doute son plus grand rôle au cinèma) mais aussi d'acteurs de qualitè qui apparaissent dans des seconds rôles solidement campès tels que la regretèe Caroline Cartier (dont la voix off dans la seconde partie prend une importance considèrable) et surtout Jacques Villeret dit Petit Nono qui reste d'une maîtrise et d'un calme peu communs . « Un observateur privilègiè aurait pu lire dans son regard une froide dètermination » . Un scènario très intèressant, une camèra qui enchante le quotidien, des acteurs parfaits : une oeuvre qui repose totalement sur l'imprèvu entre la Guadeloupe et la Rèpublique dominicaine! Du beau et grand cinèma! Ni plus ni moins...
gimliamideselfes
Je suis assez déçu, plus encore que du côté d'Orouët m'avait déçu après avoir vu et adoré Adieu Philippine. Je suis déçu et pourtant c'est le cinéma que j'aime, de longues séquences où les gens parlent, vivent. En plus le sujet m'intéresse beaucoup étant donné qu'il est question d'aller passer des vacances sur une île déserte et de survivre par ses propres moyens et que toute cette histoire part de la jalousie d'une femme !
Mais voilà, si l'introduction du film m'a fait sourire, j'ai eu du mal avec le reste, certes il y a quelques fulgurances, notamment sur le bateau lorsqu'ils arrivent sur l'île et que Pierre Richard dit "allez, on nage" et que personne n'a envie de nager les 100m qui séparent de la plage. Parce que là les situations, les discours me semblaient crédibles, vrais, or le reste me semble traîner en longueur pour pas grand chose et surtout ne pas dire grand chose de vrai.
Je veux dire que dans les situations proposées et bien je ne m'y reconnais absolument pas, alors que je suis sûr que j'aurai pu m'identifier au personnage de Pierre Richard si tout simplement le film mettant tout le temps qu'il passe à se mettre réellement en route à faire vivre les personnages. Parce que là j'ai vraiment l'impression d'avoir regardé du vide, un truc où il ne s'est rien passé... et que je vais oublier très vite parce que à aucun moment je ne me suis senti impliqué là-dedans...
Et forcément ça me déçoit, sans doute que d'autres pourront adorer s'ils parviennent à rentrer dans le film, mais pour ma part j'y suis resté totalement hermétique sur pas mal de séquences parce que je ne comprenais pas ce qu'elles venaient faire là et surtout pourquoi Rozier ne s'intéresse pas à ce qui est réellement intéressant : la relation entre le petit gros et la fille par exemple. C'est d'ailleurs les meilleurs moments du film, lorsque tout à coup, il se met à parler de relations homme-femme à travers une narratrice, un regard féminin.
Le film a ses fulgurances, mais bon... disons que ça dure 2h18 et qu'après 1h40 de film j'attendais toujours que ça démarre vraiment.
En fait, c'est pas le film que j'aurai voulu voir, il ne s'intéresse pas à ce qui m'aurait intéressé et s'intéresse à des trucs dont je me fous tellement que je les ai déjà oublié.
Après ce n'est pas non plus mauvais, car quelques situations, quelques dialogues, quelques passages fonctionnent vraiment très bien. Mais je reste très déçu.
Mais voilà, si l'introduction du film m'a fait sourire, j'ai eu du mal avec le reste, certes il y a quelques fulgurances, notamment sur le bateau lorsqu'ils arrivent sur l'île et que Pierre Richard dit "allez, on nage" et que personne n'a envie de nager les 100m qui séparent de la plage. Parce que là les situations, les discours me semblaient crédibles, vrais, or le reste me semble traîner en longueur pour pas grand chose et surtout ne pas dire grand chose de vrai.
Je veux dire que dans les situations proposées et bien je ne m'y reconnais absolument pas, alors que je suis sûr que j'aurai pu m'identifier au personnage de Pierre Richard si tout simplement le film mettant tout le temps qu'il passe à se mettre réellement en route à faire vivre les personnages. Parce que là j'ai vraiment l'impression d'avoir regardé du vide, un truc où il ne s'est rien passé... et que je vais oublier très vite parce que à aucun moment je ne me suis senti impliqué là-dedans...
Et forcément ça me déçoit, sans doute que d'autres pourront adorer s'ils parviennent à rentrer dans le film, mais pour ma part j'y suis resté totalement hermétique sur pas mal de séquences parce que je ne comprenais pas ce qu'elles venaient faire là et surtout pourquoi Rozier ne s'intéresse pas à ce qui est réellement intéressant : la relation entre le petit gros et la fille par exemple. C'est d'ailleurs les meilleurs moments du film, lorsque tout à coup, il se met à parler de relations homme-femme à travers une narratrice, un regard féminin.
Le film a ses fulgurances, mais bon... disons que ça dure 2h18 et qu'après 1h40 de film j'attendais toujours que ça démarre vraiment.
En fait, c'est pas le film que j'aurai voulu voir, il ne s'intéresse pas à ce qui m'aurait intéressé et s'intéresse à des trucs dont je me fous tellement que je les ai déjà oublié.
Après ce n'est pas non plus mauvais, car quelques situations, quelques dialogues, quelques passages fonctionnent vraiment très bien. Mais je reste très déçu.
Cette loufoquerie de 2h20 (!) ne mérite pas vraiment qu'on s'y attarde; véritable ovni dans la carrière de Pierre Richard, pas vraiment une comédie car aucune situation comique, plutôt une chronique sur l'idée saugrenue de deux employés d'une agence de vacances de créer un koh lanta avant l'heure, un séjour où les estivants doivent se débrouiller par eux même. Plutôt sympathique comme idée de base pour le film, sauf que le réalisateur/ scénariste/ producteur (qui fit faillite après le tournage) empile des scènes inutiles filmées de manière amateure en plans fixes ( la nuit d'amour de P. Richard avec la jeune fille, un quart d'heure pas drôle et inutile à l'histoire). Signalons également que le titre est mensonger: aucun naufrage dans le film mais un débarquement paisible du bateau, et le temps où les vacanciers sont isolés sur l'île tels des naufragés dure environ quinze minutes sur les 140 totales du navet. Un film à éviter donc, ou à considérer comme une curiosité pour les intrépides qui seraient tentés de s'y aventurer.
Kurosawa
Aux spectateurs qui aiment être rassurés par un scénario solide, qui pensent que les actions d'un film doivent s'enchaîner de manière logique, passez votre chemin ! Vous entrez ici dans le cinéma de Jacques Rozier, où règne l'improvisation et une liberté de tons que l'on ne retrouve nulle part ailleurs. Si "Les naufragés de l'île de la tortue" ne ressemble à rien de connu, sa structure est loin d'être incohérente; on reconnaît de grandes étapes narratives mais les différents segments sont éclatés de l'intérieur par une gestion de la durée hors du commun. Entrer dans une séquence sans pouvoir prédire son déroulement – les acteurs le connaissent-ils seulement ? – exige du spectateur une disponibilité totale dont on peut accéder aisément tant le film est affolant de légèreté et frappant d'authenticité. Il est en effet difficile de résister à la drôlerie de certains dialogues et des situations incongrues rendant parfaitement compte de l'esprit chaotique qui règne dans cette véritable aventure – mot à prendre dans son sens littéral, soit une suite d'événements imprévisibles. Dans son enregistrement d'un parcours atypique, Rozier propose une mise en scène naturaliste qui intègre toutefois quelques éléments échappant à une forme documentaire, à l'instar du jeu tantôt réaliste tantôt théâtral de Pierre Richard ou d'une voix-off qui fait irruption dans un dernier mouvement plus poétique, dans lequel intervient à travers les mots d'un personnage secondaire un bel hommage au roman d'aventures ("L'île au trésor" de Stevenson). Accepter de se perdre, au même titre que ces clients séduits par l'offre Robinson Crusoé, et s'embarquer dans un périple où se côtoient le vertige et le dérisoire, c'est la grande et belle proposition d'un film qui rend heureux et qui nous met même par instants dans un état de plénitude rarement ressenti au cinéma. Découvrez "Les naufragés de l'île de la tortue", expérience sidérante d'un cinéaste génial et injustement oublié !
Avec des acteurs dans des rôles un peu inhabituels surtout Pierre Richard dans une prestation étonnante. Beaucoup d'improvisations le gros problème c'est évidemment la longueur du film (il n'ont rien jeté ) donc par moment il ne se passe pas grand chose mais l'atmosphère est bien sympa. Un gros malin a repris l'idée de base pour la télé en créant Koh lanta avec juste 30 ans de retard mais il s'en ai mis plein les fouilles.
Alors là, je ne comprends pas. Avec des acteurs comme Pierre Richard, Jacques Villeret ou
Maurice Risch, il y avait manière de faire un film explosif, plein d’action d’humour et de rebondissements. Surtout que l’idée de départ était originale et alléchante, à savoir créer un produit touristique dont le client paierait l’absence de garanties et le dénuement – comme le dit un slogan dans le film «3000 frans rien compris »
Mais mille fois hélas, au lieu de cela, nous est présenté un film mollasson, aux scènes qu s’éternisent, lorsqu’elles ne sont pas totalement inutiles (comme les séquences de la chambre et de la discothèque en début de film). Ca palabre énormément pour pas grand chose, histoire de la jouer « Koh-Lantah » avant l’heure probablement. Et bizarrement les scènes clefs qui pourraient donner un semblant d’explication sont bâclées en quelques secondes. Exemple frappant lorsque Jacques Villeret et sa « compagne » trouvent une maison sur l’île dite déserte, Le plan d’après on les retrouve en centre ville dans un autobus. Le réalisme aussi en
prend un coup, lorsque nos compères licenciés décident d’ouvrir leur propre agence de voyage, les premiers clients arrivent que les locaux ne sont pas terminés et les cartons même pas déballés. Bref 2H18 (quand même !) de gaspillées en pure perte.
Maurice Risch, il y avait manière de faire un film explosif, plein d’action d’humour et de rebondissements. Surtout que l’idée de départ était originale et alléchante, à savoir créer un produit touristique dont le client paierait l’absence de garanties et le dénuement – comme le dit un slogan dans le film «3000 frans rien compris »
Mais mille fois hélas, au lieu de cela, nous est présenté un film mollasson, aux scènes qu s’éternisent, lorsqu’elles ne sont pas totalement inutiles (comme les séquences de la chambre et de la discothèque en début de film). Ca palabre énormément pour pas grand chose, histoire de la jouer « Koh-Lantah » avant l’heure probablement. Et bizarrement les scènes clefs qui pourraient donner un semblant d’explication sont bâclées en quelques secondes. Exemple frappant lorsque Jacques Villeret et sa « compagne » trouvent une maison sur l’île dite déserte, Le plan d’après on les retrouve en centre ville dans un autobus. Le réalisme aussi en
prend un coup, lorsque nos compères licenciés décident d’ouvrir leur propre agence de voyage, les premiers clients arrivent que les locaux ne sont pas terminés et les cartons même pas déballés. Bref 2H18 (quand même !) de gaspillées en pure perte.
C'est long, les dialogues ne sont pas toujours audibles et la caméra pas toujours bien placée. Et pourtant, quelle liberté, quelle audace, quelle fraîcheur dans ce film, comme dans tout le cinéma de Jacques Rozier.
Pierre Richard, déjà une énorme vedette au moment du tournage, et Jacques Villeret, alors inconnu, qui deviendra lui aussi un comédien de premier plan, n'ont sans doute jamais joui d'autant d'espace, de latitude, pour développer leur jeu cosmique, admirablement capté par le cinéaste. De nombreuses séquences d'anthologie parcourent cet ovni, ma préférée restant celle où les 2 personnages qui ont atteint la supposée île déserte de la Tortue, après y avoir passé la nuit, partent à sa découverte, machette à la main, pour atterrir dans un véhicule qui les dépose dans un village bien habité. Se dégagent un doux parfum d'insouciance et une formidable envie de rejoindre cette nature luxuriante et, également, la conscience que - malheureusement - ce cinéma n'est peut-être plus possible...
Pierre Richard, déjà une énorme vedette au moment du tournage, et Jacques Villeret, alors inconnu, qui deviendra lui aussi un comédien de premier plan, n'ont sans doute jamais joui d'autant d'espace, de latitude, pour développer leur jeu cosmique, admirablement capté par le cinéaste. De nombreuses séquences d'anthologie parcourent cet ovni, ma préférée restant celle où les 2 personnages qui ont atteint la supposée île déserte de la Tortue, après y avoir passé la nuit, partent à sa découverte, machette à la main, pour atterrir dans un véhicule qui les dépose dans un village bien habité. Se dégagent un doux parfum d'insouciance et une formidable envie de rejoindre cette nature luxuriante et, également, la conscience que - malheureusement - ce cinéma n'est peut-être plus possible...
traversay1
Qu'est-ce qui marque quand on revoit pour la première fois Les naufragés de l'île de la tortue, qui plus est sur un grand écran de cinéma, dans une salle bondée et acquise au film (festival de La Rochelle 2023) ? En premier lieu, la liberté de ton de son réalisateur, Jacques Rozier, dans une comédie qui ressemble parfois à un essai expérimental. Avec ses moments jubilatoires mais aussi ses très longs creux qui envahissent un film de près de 2 heures et 20 minutes. La déception vient principalement d'un manque d'approfondissement certain des personnages, y compris les deux principaux, qui passent toujours après des situations absurdes et des bribes de dialogues parfois très amusants, quand même. Plus que Pierre Richard, assez contraint, c'est du côté de Jacques Villeret et de quelques seconds rôles croustillants (Patrick Chesnais, Jran-François Balmer) que l'on ira chercher des motifs de satisfaction dans cette épopée hardie et pathétique à la fois. Après cela, c'est le tournage du tournage que l'on aimerait bien découvrir, qui serait sans doute encore plus drôle et plus baroque que le film lui-même.
Vinz1
Malgré un très bon casting (premiers comme seconds rôles avec Pierre Richard et Patrick Chesnais, par exemple) et une idée de scénario qui préfigure la future émission télévisée « Koh Lanta », ce film s’étire malheureusement trop en longueurs interminables et scènes inutiles (notamment toutes celles du début avec Lisette…), si bien que sur ses 2h18 de durée, on aura droit au « naufrage » (qui d’ailleurs n’en est pas vraiment un…) sur un quart d’heure seulement et à la fin du métrage en plus ! Il aura fallu avant visionner pas mal de vaines scénettes, entrecoupées par de trop rares séquences fulgurantes (cf. le voyage en bateau) et sans se marrer une seule fois. Ce qui est tout de même un comble pour un film avec Jacques Villeret et Pierre Richard réunis ! Bref, c’est une grosse déception pour ma part !
La frontière entre le génie et l'echec est souvent ténue chez Rozier. Une idée de mise en scène, des personnages un peu fous, voir Maine océan, réussite totale et celui ci, qui malgré un bon début devient vite un peu vain. Les aventures de ces passagers sont inconsistantes et incompréhensibles. J'ai eu l'impression que Rozier ne se sortait pas de cette histoire et à assemblé les scènes sans maîtriser son sujet. Même les plus grands peuvent perdre le fil.
Incapable d'attribuer une note à cet étonnant film, désireux toutefois de livrer un bref ressenti, je propose ces trois étoiles qui correspondent à la moyenne des critiques déjà rédigées par d'autres allocinautes.
C'est pour moi une découverte du cinéma de Jacques Rozier, et de son étonnant (non-)sens de la narration. Le scénario ne correspond ni à une intrigue classique, avec sa situation initiale, ses péripéties et son dénouement, ni à une tranche de vie. C'est plutôt une exploration, une tentative cinématographique d'étudier une alternative sociale, qui effleure nombre de question mais se refuse à les creuser. Ne vous attendez pas, comme on le lit ailleurs, à une préfiguration de Koh-Lanta, avec ses épreuves survivalistes et ses relations sociales conflictuelles. La vie des naufragés sur l'île ne constitue que la brève fin (un sixième si j'ai bien compté) de ce long film qui se concentre plutôt sur les tentatives apparemment dénuées de sens d'un employé parisien des années 70 pour échapper à la normalité, aidé en cela par un surprenant et placide acolyte (Jacques Villeret est d'une surprenante beauté dans ce film). Privilégiant une narration lente, le film pourrait ennuyer sans quelques astuces de mises en scène un peu artificielles, mais plutôt réussies, permettant un contrepoint à travers le personnage de Julie, ainsi que l'intervention d'un étrange narrateur omniscient. C'est néanmoins un peu trop court, ou trop long. Les trente premières minutes formeraient un délicieux court-métrage, hédoniste et absurde. L'ensemble aurait pu constituer les deux premiers épisodes d'une série. Cela reste un voyage assez envoûtant.
C'est pour moi une découverte du cinéma de Jacques Rozier, et de son étonnant (non-)sens de la narration. Le scénario ne correspond ni à une intrigue classique, avec sa situation initiale, ses péripéties et son dénouement, ni à une tranche de vie. C'est plutôt une exploration, une tentative cinématographique d'étudier une alternative sociale, qui effleure nombre de question mais se refuse à les creuser. Ne vous attendez pas, comme on le lit ailleurs, à une préfiguration de Koh-Lanta, avec ses épreuves survivalistes et ses relations sociales conflictuelles. La vie des naufragés sur l'île ne constitue que la brève fin (un sixième si j'ai bien compté) de ce long film qui se concentre plutôt sur les tentatives apparemment dénuées de sens d'un employé parisien des années 70 pour échapper à la normalité, aidé en cela par un surprenant et placide acolyte (Jacques Villeret est d'une surprenante beauté dans ce film). Privilégiant une narration lente, le film pourrait ennuyer sans quelques astuces de mises en scène un peu artificielles, mais plutôt réussies, permettant un contrepoint à travers le personnage de Julie, ainsi que l'intervention d'un étrange narrateur omniscient. C'est néanmoins un peu trop court, ou trop long. Les trente premières minutes formeraient un délicieux court-métrage, hédoniste et absurde. L'ensemble aurait pu constituer les deux premiers épisodes d'une série. Cela reste un voyage assez envoûtant.
Un ennui, film jamais mais drôle, interminable, dialogues et situations ridicules, surtout la première demi-heure, acteurs et actrices lâchées dans la nature sans fil conducteur, de nombreux films de vacances amateurs sont beaucoup plus intéressants car mieux filmés et avec un meilleur son , pas étonnant que ce pseudo réalisateur n'a filmé dans sa "très longue carrière " que dix films ! A éviter !
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