Note moyenne
3,7
26 titres de presse
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La Voix du Nord
Le format original du Garçon et la foi de ses créateurs en leur projet l’éloignent de l’anecdote, ouvrant des réflexions vastes et touchantes sur le temps qui passe, le souvenir qu’on laisse derrière soi, ce à quoi se résume une vie, ce qui mérite d’être raconté.
Télé 7 Jours
C'est là toute la grâce et le sel de ce merveilleux jeu de piste, dans lequel on aime se perdre et qui, mine de rien, parle de l'impermanence de nos vies, de la mémoire et de l'oubli, réveillant nos propres souvenirs.
20 Minutes
« Le Garçon » fascine tout en faisant réfléchir au temps qui passe.
L'Obs
Dialogue alerte entre fiction et documentaire, « le Garçon » donne lieu à un bouleversant crescendo émotionnel.
La Croix
Un film bouleversant, qui évoque à la fois l’universalité du passé et l’individualité d’un destin, jouant sur les allers-retours entre réel et imaginaire.
La Tribune Dimanche
Un objet cinématographique joyeusement non identifiable, entre documentaire, fiction et expérimentation. Un film sur le fil, un exercice d'équilibrisme entre des genres sinon opposés, du moins distants.
Le Figaro
Œuvre hybride, Le Garçon laisse aux pièces du puzzle le temps de s’assembler. Le film met subtilement en lumière des récits de vie, des rêves, et les regrets d’un héros du quotidien, dont le portrait contrasté se dévoile progressivement comme une photographie sortie des bains révélateurs d’une chambre noire...
Le Journal du Dimanche
À travers l'histoire de son héros ordinaire, cette émouvante aventure intime invite aussi une réflexion sur ce qui reste de nos existences si précieuses parce que fragiles.
Le Parisien
Tout en mêlant fiction et documentaire, « Le Garçon » questionne aussi l’objet photo, les traces qu’on laisse et le rôle des souvenirs. Si l’enquête est épatante, on est moins convaincus par l’intérêt de certaines scènes fictionnées. Mais celles-ci se raréfient au fil du film et apportent un peu de légèreté et de poésie à un long métrage globalement très marquant.
Les Echos
Cet objet de cinéma fascinant s'impose comme la découverte du moment.
Les Fiches du Cinéma
Un film-dispositif grand ouvert au réel, de bout en bout poignant.
Marianne
Entre documentaire et fiction, Le duo Zabou Breitman/Florent Vassault donne naissance à l’un des projets le plus originaux et audacieux de ce début d’année.
Ouest France
Un jeu de pistes passionnant.
Paris Match
Du cinéma aussi atypique que magnifique.
Télé 2 semaines
Les liens entre fiction et documentaire donnent matière à une réflexion qui laisse place à l’émotion, celle que suscite une vie se construisant sous nos yeux à la faveur de vieilles photos.
Télé Loisirs
Les liens entre fiction et documentaire donnent matière à une réflexion qui laisse peu à peu place à l’émotion, celle que suscite une vie se construisant sous nos yeux à partir de vieilles photos.
aVoir-aLire.com
Zabou Breitman et Florent Vassault s’essaient, avec une complémentarité fonctionnant à merveille, au docu-fiction. Une réussite totale assortie d’un casting hors pair.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un heureux pêle-mêle de documentaire et de fiction.
Diverto
Attention ! Objet cinématographique non-identifié. Et accessoirement, un moment de cinéma troublant. Car il joue du récit sur grand écran. Entre réalité et fantasme, Breitman (dont c’est le quatrième film comme réalisatrice) et Vassault ont fait ce pari fou de partir, non pas d’une page blanche, mais de la photo jaunie d’un inconnu entouré de sa famille.
Le Dauphiné Libéré
L’enquête avec ses surprises, ses hasards, ses petits bonheurs et ses mystères, est marrante comme un jeu de pistes : on se prend et surprend à ce jeu. Tout comme on se prend au jeu cinématographique de la superposition de ce docu-enquête avec la fiction.
Le Monde
La fiction, presque timide, joue son rôle de comblement illustratif de l’imaginaire tandis que le réel, au contraire, combat avec le néant et y fait palpiter la bouleversante et tragique histoire d’un homme qui aura, dès son vivant, disparu derrière ses secrets.
Le Point
L'exercice est singulier, n'évite pas les longueurs et se révèle formellement plus littéraire que cinématographique avec quelques moments émouvants, suspendus dans le temps.
Première
Une vraie curiosité.
Télérama
Une enquête prenante et surprenante.
Version Femina
Le montage articulant les travaux des deux cinéastes offre un résultat hybride, déroutant, amusant et poignant, qui interroge sur la place des photos dans nos vies et l'interprétation que l'on peut faire d'une image.
Nice-Matin
Le dernier acte, articulé sur les révélations, trop explicatif, enlève pour sa part la part de mystère et d’incertitude qui faisait jusqu’alors le charme de l’ensemble.