Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Monde
par J. Ma.
Enjeu de cette programmation : les épousailles de la magnifique collection privée réunie par Karmitz et du fonds imposant du musée qui l’accueille. Quant au film, il consiste à écouter Marin Karmitz parler de ses choix, expliquer ce qui l’attache à quelques-uns des tirages accrochés en ces lieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
« La plus grande souffrance de ma vie a été d'arrêter de réaliser des films », confie Karmitz. On ne sera pas étonné d'apprendre que le cinéaste a envisagé cette exposition comme son cinquième et dernier long-métrage. Le plus autobiographique de toute sa filmographie sans aucun doute.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thomas Baurez
Une histoire, hantée par la Shoah donc la disparition. Que ce soient les visages dans les Shtetl d’Europe de l’Est de Vishniac ou les collages de Boltanski, un même récit traverse l’espace et le temps. Emouvant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
On est gagné par l’admiration de Marin Karmitz pour les artistes qui, à travers une photo, lui ouvrent tout un monde à explorer, toute une vie à partager.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Enjeu de cette programmation : les épousailles de la magnifique collection privée réunie par Karmitz et du fonds imposant du musée qui l’accueille. Quant au film, il consiste à écouter Marin Karmitz parler de ses choix, expliquer ce qui l’attache à quelques-uns des tirages accrochés en ces lieux.
Le Point
« La plus grande souffrance de ma vie a été d'arrêter de réaliser des films », confie Karmitz. On ne sera pas étonné d'apprendre que le cinéaste a envisagé cette exposition comme son cinquième et dernier long-métrage. Le plus autobiographique de toute sa filmographie sans aucun doute.
Première
Une histoire, hantée par la Shoah donc la disparition. Que ce soient les visages dans les Shtetl d’Europe de l’Est de Vishniac ou les collages de Boltanski, un même récit traverse l’espace et le temps. Emouvant.
Télérama
On est gagné par l’admiration de Marin Karmitz pour les artistes qui, à travers une photo, lui ouvrent tout un monde à explorer, toute une vie à partager.