Votre avis sur L’Énigme Velázquez ?
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Un film qui déploie toute la puissance du génie de Velázquez, tout en transcendant les frontières de l’art et de l’histoire. L'énigme Velázquez nous invite dans un voyage hypnotique et saisissant à travers les âges, explorant le mystère de l'artiste à la fois révéré et oublié. La rencontre avec le réalisateur a été tout aussi fascinante, offrant des éclairages sur les choix artistiques et l’approche du sujet.
UN JEU DE MIROIRS
Il faut avoir lu le philosophe Michel Foucault, auteur du volumineux « Les Mots et les Choses » (Gallimard, 1966), pour comprendre l’intention du réalisateur Stéphane Sorlat.
Comme pour le livre, le tableau « Les Ménines » est le fil introductif de ce documentaire en forme de conte historique rythmé par des interviews de peintres et d’experts.
« Les Ménines » représente en abîme le roi Philippe IV et la reine d’Espagne se regardant dans un miroir en arrière-plan, tandis que Velásquez se peint lui-même au centre du tableau.
« Ce procédé, explique Stéphane Sorlat, renforce l’interrogation centrale du film : celle des regards croisés entre l’œuvre, son créateur et son spectateur. »
La plupart des tableaux de celui surnommé « le peintre des peintres » renvoient à ce non-dit. D’où le titre du film : « L’Énigme Velásquez ».
A sa mort, on a trouvé chez lui une vingtaine de miroirs…
Il faut avoir lu le philosophe Michel Foucault, auteur du volumineux « Les Mots et les Choses » (Gallimard, 1966), pour comprendre l’intention du réalisateur Stéphane Sorlat.
Comme pour le livre, le tableau « Les Ménines » est le fil introductif de ce documentaire en forme de conte historique rythmé par des interviews de peintres et d’experts.
« Les Ménines » représente en abîme le roi Philippe IV et la reine d’Espagne se regardant dans un miroir en arrière-plan, tandis que Velásquez se peint lui-même au centre du tableau.
« Ce procédé, explique Stéphane Sorlat, renforce l’interrogation centrale du film : celle des regards croisés entre l’œuvre, son créateur et son spectateur. »
La plupart des tableaux de celui surnommé « le peintre des peintres » renvoient à ce non-dit. D’où le titre du film : « L’Énigme Velásquez ».
A sa mort, on a trouvé chez lui une vingtaine de miroirs…
Ce film documentaire est un moment de beauté, de civilisation ! L'énigme Velazquez est un regard passionnant sur l'ensemble de cette oeuvre qui a inspirée tant de grands artistes à la suite.
Vu en Avp à Paris
Une immersion complète dans l'univers d'un peintre de génie, alliant intelligence et dimension pédagogique.
Nous découvrons un aspect cinématographique méconnu dans l’œuvre de Velasquez
Une immersion complète dans l'univers d'un peintre de génie, alliant intelligence et dimension pédagogique.
Nous découvrons un aspect cinématographique méconnu dans l’œuvre de Velasquez
Un documentaire captivant qui relie l'art contemporain au XVIIe siècle, explorant l'univers des chefs-d'œuvre de Velázquez à travers ses "héritiers". Un vrai hommage à l'humanité et la modernité du peintre. Le film nous plonge dans l'incompréhensible génie de l'artiste espagnol, dont le talent demeure unique à ce jour.
J'ai adoré ce film. Un magnifique voyage avec un génie de la peinture, l'un des les plus admirés par ses pairs et pourtant dont l'oeuvre est restée si mystérieuse et assez peu connue. Un film grand publicet pour tous, pour une découverte ou une redécouverte de ce maître absolu.
De très belles images. Pour le reste assez décevant malgré quelques interviews intéressantes. Pas vraiment structuré
Patchwork d'images (qui n'ont pas toujours lieu d'être)...ça parle beaucoup mais au final on apprend peu de choses sur la vie du peintre, sur le contexte historique.
A ce stade on ne voit pas trop en quoi Velàzquez constitue une enigme et pourtant.
A ce stade on ne voit pas trop en quoi Velàzquez constitue une enigme et pourtant.
Je viens de découvrir le film "Velazquez l'énigme"
Si je n'avais pas été accompagnée, je serais sortie après une demi heure de film.
Ce long métrage manque de structure. Les thèmes abordés sont désordonnés, brouillon.
On passe, sans raison, de quelques gros plans des oeuvres de l'artiste espagnol à des oeuvres contemporaines laides qui prétendent s'être inspirées des Ménines. (Bacon, Picasso, Manet....) Puis des scènes de théâtre et d'opéra. Cela n'a aucun sens.
Si le réalisateur souhaitait parler de la fortune de l'oeuvre, si tel était son parti pris, il devait le traiter avec plus de sérieux et indiquer au spectateur quels furent les emprunts et de quelle manière ils furent exploités.
Dans le film, tout et n'importe quoi nous est jeté à la figure, au milieu de discours pontifiants, qui frôlent le délire, sans relation avec le style de Velazquez. S'il est évoqué, il est partiellement et sans justification étayée.
Le rôle qu'a joué V. dans l'évolution du statut du peintre (à l'instar de Titien) n'est même pas abordé.
Il faut attendre la fin du film pour entendre qu'il possédait 29 miroirs à son domicile. Mais à aucun moment, le rôle du miroir n'a été examiné. Pourtant lui comme Jan van Eyck dans "Les Époux Arnolfini" ont promu l'utilité du miroir dans une image.
Bref, un ramassis brouillon d'images sans lien entre elles.
Les commentateurs, historien, d'art, fileuses, se complaisaient dans le "moi je," "pour ma part" mais ne s'investissaient pas dans la biographie de V. si ce n'est pour défigurer les personnages peints à merveille par ce dernier.
Pour les amateurs d'art....nul et à éviter
Si je n'avais pas été accompagnée, je serais sortie après une demi heure de film.
Ce long métrage manque de structure. Les thèmes abordés sont désordonnés, brouillon.
On passe, sans raison, de quelques gros plans des oeuvres de l'artiste espagnol à des oeuvres contemporaines laides qui prétendent s'être inspirées des Ménines. (Bacon, Picasso, Manet....) Puis des scènes de théâtre et d'opéra. Cela n'a aucun sens.
Si le réalisateur souhaitait parler de la fortune de l'oeuvre, si tel était son parti pris, il devait le traiter avec plus de sérieux et indiquer au spectateur quels furent les emprunts et de quelle manière ils furent exploités.
Dans le film, tout et n'importe quoi nous est jeté à la figure, au milieu de discours pontifiants, qui frôlent le délire, sans relation avec le style de Velazquez. S'il est évoqué, il est partiellement et sans justification étayée.
Le rôle qu'a joué V. dans l'évolution du statut du peintre (à l'instar de Titien) n'est même pas abordé.
Il faut attendre la fin du film pour entendre qu'il possédait 29 miroirs à son domicile. Mais à aucun moment, le rôle du miroir n'a été examiné. Pourtant lui comme Jan van Eyck dans "Les Époux Arnolfini" ont promu l'utilité du miroir dans une image.
Bref, un ramassis brouillon d'images sans lien entre elles.
Les commentateurs, historien, d'art, fileuses, se complaisaient dans le "moi je," "pour ma part" mais ne s'investissaient pas dans la biographie de V. si ce n'est pour défigurer les personnages peints à merveille par ce dernier.
Pour les amateurs d'art....nul et à éviter