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Matt
17 abonnés
97 critiques
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4,0
Publiée le 17 septembre 2024
Très très beau documentaire sur le dépassement de soit… les paysages sont magnifiques, la réalisation est vraiment maîtrisé, les plans sont superbes et même les transitions sont réussi. Il y a vraiment eu un travail de fou furieux, du côté des personnes qui ont escaladé cette montagne et également du côté de la production et de la réalisation. C’est soigné, ça fait du bien de casser les codes de YouTube. Bravo
Très bon documentaire sur ce super jeune homme qu'est Inoxtag et son équipe. Je le trouve authentique et touchant. Superbes prises de vues et montage. Bravo à tous pour cet exploit. Seuls reproches : trop de wesh, bro, frero et le clip publicitaire tourné à la gloire de Fitness Park qui est autant inutile que ridicule.
Un film incroyable… Je m’attendais à ce que le documentaire soit bien mais aussi bien non. C’est une leçon de vie, un chef d’œuvre n’hésitez pas foncez le voir (dispo sur youtube au cas où :) )
Un vrai film d'aventure, des images à couper le souffle, une superbe histoire, on a ri, on a pleuré. Bref un des meilleur documentaire d'aventure que j'ai vu. Je le recommande à tous, petits et grands.
spoiler: La critique de Kaizen n’est rendue possible que par sa prétention à se ranger parmi les documentaires et, ainsi, à gravir le septième art avec l’équipement d’un simple youtubeur. Or, si cette production rate complètement sa cible, ce qu’elle dit des conceptions contemporaines de la réussite individuelle intéresse davantage ; autrement dit, elle constitue un formidable documentaire non sur une quelconque expédition, encore moins sur la montagne, support prétexte à l’accomplissement d’un exploit comme auraient pu l’être un désert ou les fonds marins, mais sur sa vedette Inoxtag et l’endoctrinement qu’elle subit (victime) et fait subir (bourreau) à ses spectateurs, plutôt à ses sectaires suiveurs. Incapable de tendre vers l’universalité, dépourvu d’un point de vue autre que personnel, le protagoniste exacerbe son ego bien plus gonflé que ses biscoteaux, pourtant eux aussi augmentés par des séances de sport intensives qu’il place sur le même plan que les Sherpas réduits au statut de porteurs de sacs. Une telle naïveté bedonnante surprend et laisse entrevoir un monde privé de l’héritage des Lumières, un monde sans raison, gouverné par des Candides qui s’émerveilleraient de tout sans s’engager dans un récit d’apprentissage – en dépit de la prétention répétée ad nauseam qu’il faut changer ses habitudes, son mode de vie, les chaussettes sales et la malbouffe, blablabla.
Pourtant, cette prétendue naïveté ne cache jamais ses intérêts mercantiles, faisant du héros un homme-sandwich et de son film une longue publicité pour des sponsors. Il s’agirait donc d’une franche idiotie, d’autant plus franche qu’elle se pare de discours ronflants sur le développement personnel et de grandes généralités sur l’existence humaine, d’une idiotie pure, quasi sacrée, que l’on suit du bas vers les sommets avec une caméra qui aplanit tout, un montage aguicheur, une absence de sens. On se croirait devant Glaube und Währung (1981), documentaire que Werner Herzog consacre à Gene Scott, pasteur américain égaré entre la naïveté puérile de sa foi et ses appels aux dons de plus en plus pressants… sans le truchement satirique du cinéaste, dans la mesure où le youtubeur est tout à la fois devant et derrière la caméra. Voilà la bêtise réfléchie par elle-même comme la beauté de Narcisse jadis dans l’eau.
Très bonne vidéo, le temps est passé vite je n'ai rien vu passer. Ce qui fait vraiment aimé la vidéo c'est par ce que c'est inox qui en est le réalisateur, ou l'on voit une autres facette de lui. Bonne leçon de vie, mais je changerai pas de mentalité car les écrans sont un gros + si nous savons le géré
Je n’ai pas croché du tout. Beaucoup de chose me pause problème. J’ai fait l’effort de voir le film et je fais partie de ceux qui n’ont pas croché du tout Pour commencer, une bonne valeur de dépassement de soi que je salue; oui je suis d’accord de croire à tes rêves et vit les. Oui, monter sur l’Everest à 21 ans ce n’est pas donné à tout le monde. C’ est vrai qu’il envoie de belle image, de la montagne. On ne ressent pas l’âme de l’alpinisme on ne ressent pas la nature; - Musique de fond désagréable et image sensationnaliste au début - Hommage au vrai alpiniste qui ne dure que quelque seconde. - Il y a beaucoup d’ alpiniste qui y monte sans oxygène, comme notre alien du trail Kilian Jornet ; Il est monté sur l’ Everest deux fois de suite, en espace de deux semaines, avec peu de cordage et sans bouteille d’ oxygène, pourtant il y a des films à son sujet, mais pas autant sensationnaliste. Tous ces alpinistes qui y montent sans bouteille que l’ on ne parle pratiquement pas. C’ est presque indécent, de faire un film pareil. C’ est comme dire, je fais le Mont Ventoux en vélo électrique ou encore le tour de France. Et en faire un film tape à l’œil. Yūichirō Miura qui y est monté à 70 ans, Jordan Romero à 13 ans. Pourtant il n’y a pas eu de film à gros budget. Cela dégage beaucoup d’arrogance, car techniquement parlant. Avec de la détermination, motivation et entraînement tout le monde pourrait y aller ( en faisant abstraction au niveau budget ; 50'000 frs environs quand même ). - Dépassement de soi, ok c’ est une chose pourquoi en faire un film à 2 millions, alors qu’il aurait bien pu réduire le tarif et faire un beau film sur la montagne et dépassement de soi et sagesse aux lieux de dire tous les dix minutes ; ‘’ gros, frère ‘’ . Cela me fait rire, car il veut décrocher, de toute connexion mais va quand même sur le téléphone de ces potes. - J’ai eu de l'intérêt car dans les 50 minutes environ, ou tout semble s’arrêter, le côté j'envois du rêve. Et je confronte les spectateurs à la dure réalité de la montagne. Là il montre la vraie difficulté de la montagne et l'incertitude suspens. Certes, spoiler: il parle du tourisme de masse que subit mais il y contribue aussi. Ensuite, c’ est une chose de ne pas avoir l’habitude de voir des cadavres en route, mais cela manquait beaucoup d’ empathie. Oui, il est parvenu à monter. Il renoue ces liens avec son père.
Le film émeut profondément et délivre une leçon de vie précieuse sur le progrès personnel. La réalisation est brillante, soutenue par une bande-son parfaitement choisie. Kaizen d’Inoxtag mérite amplement son 5/5.
Je me suis déplacée au cinéma pour voir Kaizen et je n'ai pas regretté, on en a pour son argent! Je ne fais normalement pas du public cible d'inox mais je le suis depuis quelques temps surtout depuis sa survie sur une ile déserte.
Ce que je retiens de ce reportage c'est l'effort pour que l'image soit parfaite. Je ne suis pas une spécialiste dans le domaine mais ça doit certainement faire partie des plus beaux reportages filmés en haute altitude et encore une plus grande prouesse, sur le toit du monde! La progression d'inox pour atteindre son objectif est bien expliquée, la majeur partie du film parle de cela, de tout l'entrainement effectué pour atteindre le sommet. Effectivement cela peut plaire ou non mais c'est dans l'esprit shonen, le public ciblé sera plus les adolescents ou les adulescents, mais je n'ai pas trouvé cela dérangeant.
Là où je vais retirer des point c'est dans le coté un peu trop égocentré par moment et malheureusement on ne peut pas vraiment classer le "film" dans les documentaires car au final nous n'avons pas tellement d'informations techniques sur l'expédition. Personnellement cela m'aurait intéressée de savoir comment les déchets sont acheminés jusqu'en bas, les équipements utilisés, quelques détails sur le campement de base, ses installations, etc… Je dirais que 30 minutes auraient pu être sacrifiées pour apporter un côté plus pédagogique au reportage. Cela manque parfois un peu cruellement. Je déplore aussi certaines redondances surtout à la fin dans le discours d'inox.
J'en retire une bonne expérience globale, des images sublimes, cela fait quand même réfléchir sur beaucoup de choses et c'est ce qu'on demande. Mais je dirais que certains moments sont un peu longs et auraient pu être remplacés par un contenu un peu plus instructif.
Les jours qui suivent cette sortie de "film" sont pénibles...
Difficile de pouvoir critiquer tant l'amour des fans (bien mérité) pour Inox est pesant.
Les images sont belles, moins que les montagnes elles-mêmes, qui feraient le job pour n'importe quel touriste armé d'un appareil photo correct et d'un drône.
La réalisation et le montage ne sont qu'une succession linéaire de plans à la gloire du jeune Inox. Il aurait été tellement plus brillant, juste et audacieux de déjouer tous les pronostics en relayant à la fois le défi et la "performance" de ce jeune homme au second, voir au troisième plan pour donner le rôle principal aux sherpas et aux montagnes. Il y a un vrai loupé de ce côté là. Quitte à parfois, lorsqu'il était en jambe (on ne ressent d'ailleurs pas de grandes difficultés physique à son ascension), tenter de jouer le rôle de sherpa, ne serait-ce que sur 500 mètres. Les quelques remerciements à ses équipes ne suffisent pas équilibrer ce reportage à la gloire d'un seul jeune homme.
Les placements produits sont grossiers et auraient pu être traités avec plus d'humour, d'autodérision, (comme ils le font tous habituellement très bien sur Youtube), et les assumer pleinement... plutôt que de "jouer" une scène de réconfort avec la gourde "air up" qui lui rends service même en haut de l'Everest. Quand à la véritable publicité en plein milieu du "film" pour Fitness Park pour illustrer ses entraînements: tout y est, les codes couleurs de la marque (ce gris métalisé), les prises de vues, les discours de motivation. J'appelle cela du forcing,
De nombreuses fautes de Français et de syntaxes dans la narration en post-production.... pour un texte écrit et lu, ça fait tâche.
Un discours répétitif et redondant sur le thème "les écrans c'est pas cool" mais je vous invite à venir le constater... sur tous vos écrans, du cinéma à votre télé (TF1), votre ordinateur ou votre smarrtphone...
Je ne peux réprimer un sentiment de gâchis alors qu'encore aujourd'hui, avec un nouveau montage, il y a tout pour faire un chef d'oeuvre.
Mais là, cela n'en est pas un, pas même un film moyen. Un Vlog longuet, tout au plus.
Une chose est sûr, le visionnage de ce documentaire ne laissera personne indifférent. Déjà, impossible de ne pas parler de la réalisation, au petit oignons, une masterclass ! La musique, les multiples plans, les prises de vues au drone en 4K... Franchement les amoureux de paysages vont avoir un orgasme ophtalmique. Passez le côté visuel, le fond... Et là je suis plus mitigé même si cela n'enlève rien à la grande qualité du documentaire. J'ai été un peu dérangé par le côté "moralisateur" du film, ou le youtubeur nous rabâche des lâchez les téléphones, les réseaux sociaux etc (à raison d'ailleurs) pour inciter les jeunes à réaliser leurs rêves. Alors comment dire ... Oui, mais c'est comme si McDo nous demandait de faire un régime !!! Surtout qu'il a bâtit son "empire" avec les jeux vidéos, puis les vlogs... Rien de grave, mais un peu maladroit. Après il y a plein de bonnes choses comme dénoncer les limites du système qui donne accès à l'Everest à des personnes non préparés , ce qui crée une usine à touristes sur le sommet, avec tous les dangers que ça engendre. Bref un bon moment à ne pas bouder