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FaRem
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2,0
Publiée le 7 novembre 2024
Sivanandhan est un élève doué qui doit cependant travailler en dehors des heures de cours. Comme la plupart des gens du coin, il passe son temps libre à transporter des bananes. Un travail éreintant auquel Mari Selvaraj fait souvent allusion par des remarques ici et là. Pour autant, le réalisateur reste très souvent dans la légèreté et laisse les soucis aux plus grands. Sivanandhan s'amuse quand il le peut avec son ami et tourne autour d'une professeure pour qui il a le béguin. Une histoire pleine d'innocence, mais la réalité n'est jamais bien loin. "Vaazhai" évoque une véritable tragédie, mais le récit se perd dans de nombreuses futilités. À part la dernière partie, je n'ai pas ressenti le poids émotionnel de l'histoire et je me suis plutôt ennuyé. C'est un film très personnel pour Mari Selvaraj puisqu'il a directement été impacté par ce qui s'est passé, mais je n'ai pas été touché. Ça manque de consistance et d'émotions, et c'est plein de longueurs. Décevant.
• Le jeune Ponvel impressionne avec un jeu d’acteur exceptionnel pour son âge, promettant un grand talent à venir 🌟 • Maari Selvaraj signe une réalisation et une écriture puissantes, qui laissent une marque profonde 🎬 • Le film est émotionnellement intense ; la fin m’a tellement touché que j’étais encore sous le choc pendant tout le générique 🎞️ • La relation entre Sivanandhan et sa prof est adorablement innocente et bien traitée 💖 • Messages poignants sur le système de caste, abordés avec justesse et profondeur, qui font réfléchir 📢 • Des plans magnifiques qui subliment l’histoire et capturent l’essence des émotions visuelles 🎥
Points faibles :
• La relation romantique entre Kalayiarasan et Dhivya Duraisamy aurait mérité d’être plus développée pour un impact plus fort 💔
Note : 8/10 ⭐
Sans spoiler… mais sincèrement, il faut arrêter de le faire souffrir, le personnage en a assez !