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    James Bande contre O.S.Sex 69
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    0,5
    Publiée le 28 août 2024
    Jamais 2 sans 3 pour le producteur Jean-François Davy, après avoir produit James Bande 00Sexe (1982), ainsi que James Bande 00Sexe n°2 : Sexuellement vôtre (1986) tous les deux réalisés par Michel Caputo, il récidive une dernière fois.

    Cette fois, c’est Pierre B. Reinhard (sous le pseudonyme de Myke Strong) qui s’y colle. Si son nom ne vous dit rien, on lui doit bon nombre de films coquins au titre pour le moins cocasse, tels que La Grande giclée (1983), Le nain assoiffé de perversité (1987) ou encore Le Marteau-pilon anal (1991). A signaler aussi Le pensionnat des petites salopǝs (1982) qui a l’originalité d’avoir été réalisé en 3D relief.

    Mais revenons-en à James Bande contre O.S.Sex 69 (1986), comme pour les précédents opus, James Band est une fois de plus incarné par un autre acteur (à savoir Gabriel Pontello) et comme pour le second opus, on a aussi droit à un film « 2 en 1 » (le réalisateur a récupéré plusieurs passages provenant de divers films pour les assembler bout à bout avec des nouvelles séquences). Ainsi, on y retrouve quelques séquences provenant du film Prouesses anales pour top-modèles de luxe (1985).

    Enfin, comme avec les précédentes parodies de James Bond, le scénario est sans queue ni tête, à tel point que l’on n’y comprend que dalle (O.S.Sex 69 travaillait pour les services secrets américain avant qu’il ne devienne un transfuge pour le compte du KGB ou, comme le dit si bien le film : « aille forniquer avec le KGB »). Aux côtés de James Bande, on y retrouve aussi le Dr. Gode et ses amazones lesbiennes ainsi qu’un certain Amour El Sodo.

    Tout cela n’a aucun sens (y compris les dialogues) et on finit rapidement par ne plus rien y comprendre (en même temps, je dois être le seul à regarder le film pour son intrigue et non pour ses scènes de culs…). Malgré sa courte durée, cela ne nous empêche pas de trouver le temps long, c’est l’exemple typique du film de fainéant, avec son économie de dialogue (aussi bien des personnages qu’au niveau de la voix off) et son scénario torché sur un coin de table.

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