Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un drame campagnard et sans pathos pour évoquer un problème de santé mentale avec un tact rarement constaté sur un tel sujet au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
La légèreté quelque peu anxieuse de la première moitié disparaît au profit d'une peur et d'un chagrin qui envahit tous les recoins du long métrage, effaçant toutes les traces d'ambiguïté et d'ambivalence consubstantielles à l'adolescence pour faire le seul récit du trouble mental.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le scénario n’échappe pas au déploiement des valeurs américaines face à l’adversité, la mise en scène nuance le tout d’une torpeur sensuelle et intranquille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur un sujet difficile, un film d’une insigne sensibilité et bourré d’énergie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Austin et Hailey Spicer ne sont pas exempts de maladresses [...]. Mais ils tentent en tous cas avec sincérité, par des plans travaillés comme un usage d’une musique déformée, de nous transmettre le malaise ponctuel d'une personne pourtant consciente du danger lié à son TOC suicidaire.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
L’image est léchée mais lisse, les dialogues, terriblement inintéressants. La carte postale, elle, est parfois réussie : ce n’est pas tout à fait un long métrage, plutôt un diorama hommage à une Amérique surannée et à ses films, d’American Graffiti à Violences sur la ville (et peut-être un soupçon de Stand By Me), que chérissent à n’en pas douter ce couple de jeunes réalisateurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Damien Leblanc
L’interprétation très limitée d’une partie du casting fait par ailleurs sonner faux bon nombre de séquences et l’émotion autour de ce groupe de personnages peine à prendre, faute de cohérence artistique.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Un drame campagnard et sans pathos pour évoquer un problème de santé mentale avec un tact rarement constaté sur un tel sujet au cinéma.
Culturopoing.com
La légèreté quelque peu anxieuse de la première moitié disparaît au profit d'une peur et d'un chagrin qui envahit tous les recoins du long métrage, effaçant toutes les traces d'ambiguïté et d'ambivalence consubstantielles à l'adolescence pour faire le seul récit du trouble mental.
L'Obs
Si le scénario n’échappe pas au déploiement des valeurs américaines face à l’adversité, la mise en scène nuance le tout d’une torpeur sensuelle et intranquille.
Les Fiches du Cinéma
Sur un sujet difficile, un film d’une insigne sensibilité et bourré d’énergie.
Abus de Ciné
Austin et Hailey Spicer ne sont pas exempts de maladresses [...]. Mais ils tentent en tous cas avec sincérité, par des plans travaillés comme un usage d’une musique déformée, de nous transmettre le malaise ponctuel d'une personne pourtant consciente du danger lié à son TOC suicidaire.
Télérama
L’image est léchée mais lisse, les dialogues, terriblement inintéressants. La carte postale, elle, est parfois réussie : ce n’est pas tout à fait un long métrage, plutôt un diorama hommage à une Amérique surannée et à ses films, d’American Graffiti à Violences sur la ville (et peut-être un soupçon de Stand By Me), que chérissent à n’en pas douter ce couple de jeunes réalisateurs.
Première
L’interprétation très limitée d’une partie du casting fait par ailleurs sonner faux bon nombre de séquences et l’émotion autour de ce groupe de personnages peine à prendre, faute de cohérence artistique.