Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Fabrice Du Welz, par un biopic déguisé, rétablit cette erreur du cinéma, si évidente lorsqu’on rencontre l’actrice, cette erreur de la faire jouer tant elle est déjà un personnage, déjà trop romanesque pour la vie, trop sorcière pour être actrice, trop actrice pour une vie ordinaire.
Ouest France
par La Rédaction
Un portrait sensible de la comédienne.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Comme un ultime miracle pasolinien, ce double portrait de Dalle à travers celui de Pasolini (et vice-versa) accouche de quelques scènes simples et touchantes où est filmé le mystère d'une amitié, bref d'un amour.
L'Obs
par La Rédaction
Le réalisateur Fabrice Du Welz la filme dans un noir et blanc superbe qui sanctifie chaque lieu porteur d’histoire, évoque tour à tour Dreyer ou « l’Evangile selon saint Matthieu » et flirte avec l’imagerie publicitaire – Anthony Vaccarello, de la maison Saint Laurent, produit. A ce bémol près, un must pour qui s’intéresse à Pasolini et à Dalle, diva écorchée, romanesque et drôlement « attachiante ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Deux passions en miroir, donc, irriguent ce road-movie filmé dans un soyeux noir et blanc : de ville en ville, au fil de rencontres avec des témoins, le souvenir de Pasolini ressurgit et ça ne se refuse pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Un documentaire aussi étonnant qu’insolite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
Le réalisateur belge Fabrice Du Welz fait un pas de côté en proposant un documentaire sur Pier Paolo Pasolini, en mettant en scène Béatrice Dalle sur les pas de son idole. Une tentative plutôt réussie, moins lourde qu’à l’accoutumée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Damien Leblanc
Si le rythme du film peut parfois dérouter, la splendeur des images en noir et blanc (pas loin d’évoquer le cinéma de Carl Theodor Dreyer) et la beauté ancestrale de la campagne italienne engendrent une intensité sentimentale rare. Et ressuscitent l’esprit du réalisateur de L'Évangile selon saint Matthieu d’une manière qui tient presque du miracle.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un documentaire insolite et séduisant sur deux artistes, un poète du cinéma et une actrice culte, en apparence aux antipodes. Les admirateurs de Pasolini ou de Béatrice Dalle pourront y trouver leur compte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
par Guillaume Gas
On sent surtout – et c’est peut-être là le point fatal – que l’objectif consistait moins ici à théoriser de façon ludique sur Pasolini qu’à étaler tout un tas de lieux communs à son sujet, et ce dans le seul but de prêcher des convertis […] C’est toutefois sur la dimension plastique du documentaire que les choses s’améliorent.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Malgré la sincérité évidente de l’actrice, on ne peut s’empêcher de voir une certaine affectation dans ce documentaire exalté à l’extrême.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clément Colliaux
Suivant Béatrice Dalle à la poursuite du cinéaste italien, le documentaire oscille entre coquetterie et sacralisation de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Percent, parfois, de beaux moments de vérité captée, qui témoignent de l’intelligence sensible de l’actrice. On peut toutefois regretter que le réalisateur se complaise à enfermer Béatrice Dalle dans bon nombre de clichés de l’anticonformisme contemporain, à commencer par celui de l’icône.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
Fabrice Du Welz, par un biopic déguisé, rétablit cette erreur du cinéma, si évidente lorsqu’on rencontre l’actrice, cette erreur de la faire jouer tant elle est déjà un personnage, déjà trop romanesque pour la vie, trop sorcière pour être actrice, trop actrice pour une vie ordinaire.
Ouest France
Un portrait sensible de la comédienne.
Transfuge
Comme un ultime miracle pasolinien, ce double portrait de Dalle à travers celui de Pasolini (et vice-versa) accouche de quelques scènes simples et touchantes où est filmé le mystère d'une amitié, bref d'un amour.
L'Obs
Le réalisateur Fabrice Du Welz la filme dans un noir et blanc superbe qui sanctifie chaque lieu porteur d’histoire, évoque tour à tour Dreyer ou « l’Evangile selon saint Matthieu » et flirte avec l’imagerie publicitaire – Anthony Vaccarello, de la maison Saint Laurent, produit. A ce bémol près, un must pour qui s’intéresse à Pasolini et à Dalle, diva écorchée, romanesque et drôlement « attachiante ».
Le Monde
Deux passions en miroir, donc, irriguent ce road-movie filmé dans un soyeux noir et blanc : de ville en ville, au fil de rencontres avec des témoins, le souvenir de Pasolini ressurgit et ça ne se refuse pas.
Le Parisien
Un documentaire aussi étonnant qu’insolite.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur belge Fabrice Du Welz fait un pas de côté en proposant un documentaire sur Pier Paolo Pasolini, en mettant en scène Béatrice Dalle sur les pas de son idole. Une tentative plutôt réussie, moins lourde qu’à l’accoutumée.
Première
Si le rythme du film peut parfois dérouter, la splendeur des images en noir et blanc (pas loin d’évoquer le cinéma de Carl Theodor Dreyer) et la beauté ancestrale de la campagne italienne engendrent une intensité sentimentale rare. Et ressuscitent l’esprit du réalisateur de L'Évangile selon saint Matthieu d’une manière qui tient presque du miracle.
aVoir-aLire.com
Un documentaire insolite et séduisant sur deux artistes, un poète du cinéma et une actrice culte, en apparence aux antipodes. Les admirateurs de Pasolini ou de Béatrice Dalle pourront y trouver leur compte.
Abus de Ciné
On sent surtout – et c’est peut-être là le point fatal – que l’objectif consistait moins ici à théoriser de façon ludique sur Pasolini qu’à étaler tout un tas de lieux communs à son sujet, et ce dans le seul but de prêcher des convertis […] C’est toutefois sur la dimension plastique du documentaire que les choses s’améliorent.
Les Fiches du Cinéma
Malgré la sincérité évidente de l’actrice, on ne peut s’empêcher de voir une certaine affectation dans ce documentaire exalté à l’extrême.
Libération
Suivant Béatrice Dalle à la poursuite du cinéaste italien, le documentaire oscille entre coquetterie et sacralisation de son sujet.
Télérama
Percent, parfois, de beaux moments de vérité captée, qui témoignent de l’intelligence sensible de l’actrice. On peut toutefois regretter que le réalisateur se complaise à enfermer Béatrice Dalle dans bon nombre de clichés de l’anticonformisme contemporain, à commencer par celui de l’icône.