Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
[...] se noue une conversation entre deux générations, donnant à voir un moment de transmission à l'œuvre, en direct. Et c'est sans doute, au-delà de l'extrême énergie, de la joie, de la liberté, de la force et de la fragilité mêlée des jeunes acteurs, ce qui donne à ce film un souffle extraordinaire, qui nous transporte et nous émeut aux larmes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Que ce film est vivant, joyeux et émouvant ! "Rue du Conservatoire" est une pépite. Une ode à la vitalité, au collectif, aux lendemains prometteurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
Les répétitions se succèdent, la joie est communicative et certains élèves se révèlent.
L'Humanité
par Sophie Joubert
La beauté de ce documentaire bricolé avec différents types d’images, dont des archives personnelles qui lui donnent une coloration vintage, réside précisément dans sa fragilité.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une dualité porteuse d’émotion dont Valérie Donzelli tire superbement parti.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par O.D.
Les élèves du CNSAD travaillent d’arrache-pied. Le film les montrent qui doutent, se cognent, tombent, et se relèvent. La caméra saisit leur jeunesse, leur fougue, leur liberté, leur passion et leurs espoirs. L’esprit de troupe est là qui bat la chamade. Ça fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Dl
Il ressort de ce documentaire bien plus qu’un reportage dans les coulisses du conservatoire, mais un portrait en miroir, traversé par le thème de la rupture, indissociable de la création.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Avec “Rue du Conservatoire”, Valérie Donzelli enregistre la dernière année d’une promo du Conservatoire et brosse le portrait de l’une de ses jeunes recrues. Un film passionnant sur les acteur·ices, l’acte de création et ce qui fait une génération.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Valérie Donzelli, avec une humilité malicieuse, déplace sa position, se déleste du poids des ans : elle n’est plus la sachante venu donner un cours sur le jeu d’acteur au cinéma, elle est cette petite souris (filmée dans un recoin du Conservatoire) qui profite de l’ébullition ambiante pour garder une modeste trace de nos plus belles années.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par P.V.
Un documentaire débordant de fraîcheur.
Positif
par William Le Personnic
Un documentaire fait de bric et de broc et de trouvailles poétiques.
Télérama
par Caroline Besse
Un documentaire habilement scénarisé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Vif, intelligent et sensible, ce documentaire est le récit d’une comédienne et réalisatrice, Valérie Donzelli, qui, depuis qu’elle fait du cinéma, ne triche jamais, ni avec les autres, ni avec elle-même. Un coup de cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Etre et devenir, telle est la question.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un hommage solaire à une jeunesse fragile et éclatante.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En filmant les dernières semaines d'une promotion du Conservatoire national d'art dramatique, Valérie Donzelli compose un tableau générationnel quelque peu générique, en même temps qu'elle se livre à une façon d'autoportrait empreint de nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
L’empathie qu’elle déploie, sa manière, d’être au milieu d’eux donne une émotion particulière à ce film qui dépoussière aussi subtilement l’image de la figure du metteur en scène, ici tout sauf démiurge tyrannique mais capable de partager ses doutes sans perdre le contrôle de sa troupe.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Timide parfois, presque fébrile dans sa volonté de filmer comme on capterait une énergie juvénile précieuse, Donzelli cherche un retrait juste pour laisser l’avant-scène à la troupe, et mêle sans s’en inquiéter visée altruiste et narcissique : garder une trace revient ici à en laisser une.
Franceinfo Culture
[...] se noue une conversation entre deux générations, donnant à voir un moment de transmission à l'œuvre, en direct. Et c'est sans doute, au-delà de l'extrême énergie, de la joie, de la liberté, de la force et de la fragilité mêlée des jeunes acteurs, ce qui donne à ce film un souffle extraordinaire, qui nous transporte et nous émeut aux larmes.
Bande à part
Que ce film est vivant, joyeux et émouvant ! "Rue du Conservatoire" est une pépite. Une ode à la vitalité, au collectif, aux lendemains prometteurs.
Elle
Les répétitions se succèdent, la joie est communicative et certains élèves se révèlent.
L'Humanité
La beauté de ce documentaire bricolé avec différents types d’images, dont des archives personnelles qui lui donnent une coloration vintage, réside précisément dans sa fragilité.
L'Obs
Une dualité porteuse d’émotion dont Valérie Donzelli tire superbement parti.
Le Figaro
Les élèves du CNSAD travaillent d’arrache-pied. Le film les montrent qui doutent, se cognent, tombent, et se relèvent. La caméra saisit leur jeunesse, leur fougue, leur liberté, leur passion et leurs espoirs. L’esprit de troupe est là qui bat la chamade. Ça fait un bien fou.
Le Monde
Il ressort de ce documentaire bien plus qu’un reportage dans les coulisses du conservatoire, mais un portrait en miroir, traversé par le thème de la rupture, indissociable de la création.
Les Inrockuptibles
Avec “Rue du Conservatoire”, Valérie Donzelli enregistre la dernière année d’une promo du Conservatoire et brosse le portrait de l’une de ses jeunes recrues. Un film passionnant sur les acteur·ices, l’acte de création et ce qui fait une génération.
Libération
Valérie Donzelli, avec une humilité malicieuse, déplace sa position, se déleste du poids des ans : elle n’est plus la sachante venu donner un cours sur le jeu d’acteur au cinéma, elle est cette petite souris (filmée dans un recoin du Conservatoire) qui profite de l’ébullition ambiante pour garder une modeste trace de nos plus belles années.
Ouest France
Un documentaire débordant de fraîcheur.
Positif
Un documentaire fait de bric et de broc et de trouvailles poétiques.
Télérama
Un documentaire habilement scénarisé.
aVoir-aLire.com
Vif, intelligent et sensible, ce documentaire est le récit d’une comédienne et réalisatrice, Valérie Donzelli, qui, depuis qu’elle fait du cinéma, ne triche jamais, ni avec les autres, ni avec elle-même. Un coup de cœur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Etre et devenir, telle est la question.
Le Dauphiné Libéré
Un hommage solaire à une jeunesse fragile et éclatante.
Les Fiches du Cinéma
En filmant les dernières semaines d'une promotion du Conservatoire national d'art dramatique, Valérie Donzelli compose un tableau générationnel quelque peu générique, en même temps qu'elle se livre à une façon d'autoportrait empreint de nostalgie.
Première
L’empathie qu’elle déploie, sa manière, d’être au milieu d’eux donne une émotion particulière à ce film qui dépoussière aussi subtilement l’image de la figure du metteur en scène, ici tout sauf démiurge tyrannique mais capable de partager ses doutes sans perdre le contrôle de sa troupe.
Cahiers du Cinéma
Timide parfois, presque fébrile dans sa volonté de filmer comme on capterait une énergie juvénile précieuse, Donzelli cherche un retrait juste pour laisser l’avant-scène à la troupe, et mêle sans s’en inquiéter visée altruiste et narcissique : garder une trace revient ici à en laisser une.