Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Filmant avec tendresse trois femmes prises dans un deuil périnatal, E. Zvonkine réussit tout à la fois à interroger et métaboliser le sien. De ce vide douloureux, elle tire une réflexion qui, pleine de délicatesse, pousse chacune sur le chemin de la réparation.
Positif
par Jean-François Baillon
Non contente de cheminer avec ses trois protagonistes, la cinéaste invente un rituel nouveau, un cérémonial inédit pour inédit pour celles qui n'auront pas tout à fait vécu, si ce n'est dans l'attente d'une naissance.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le pluriel du titre renvoie à un choix qui va bien au-delà du dispositif. C’est la présence de trois autres femmes en souffrance, le déploiement du je en nous et la transformation d’une maternité empêchée en sororité assumée que chronique Le Sentier des absents.
Culturopoing.com
par Célia
Ce geste de cinéma est la réponse à la souffrance d'une mère. Que ce soit le cri animal de Juliette à l'hôpital, le hurlement de Kamila dans un champ, ou la sidération d'autres mères de ne pouvoir pouponner comme étape légitime à leur maternité souhaitée, le réflexe de survie de la réalisatrice face à cette absence fut de filmer.
Le Monde
par M. Jo.
Le film, modeste, a une réelle vertu pédagogique : sans rien montrer, il ramène le corps féminin (son poids, ses organes, ses traumas et ses larmes) dans le champ. Enfin, il finit par être le portrait de quatre femmes qui se tiennent discrètement comme à côté du monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Lucie Chiquer
En filmant trois chemins endeuillés – l'une retraçant le trajet vers l'hôpital où elle a accouché, l'autre vers la tombe de son enfant au Maroc, et la dernière vers le seul village en France qui porte le prénom de sa fille – la réalisatrice se livre à un exercice intime, aussi douloureux que libérateur, qui permettra sans nul doute à d’autres femmes meurtries de s’aventurer sur leur propre sentier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Chloé Delos-Eray
Ce documentaire vaut davantage pour le regard tendre qu’il pose sur ces femmes et la puissance de leurs témoignages que pour son dispositif formel, assez tâtonnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Filmant avec tendresse trois femmes prises dans un deuil périnatal, E. Zvonkine réussit tout à la fois à interroger et métaboliser le sien. De ce vide douloureux, elle tire une réflexion qui, pleine de délicatesse, pousse chacune sur le chemin de la réparation.
Positif
Non contente de cheminer avec ses trois protagonistes, la cinéaste invente un rituel nouveau, un cérémonial inédit pour inédit pour celles qui n'auront pas tout à fait vécu, si ce n'est dans l'attente d'une naissance.
Cahiers du Cinéma
Le pluriel du titre renvoie à un choix qui va bien au-delà du dispositif. C’est la présence de trois autres femmes en souffrance, le déploiement du je en nous et la transformation d’une maternité empêchée en sororité assumée que chronique Le Sentier des absents.
Culturopoing.com
Ce geste de cinéma est la réponse à la souffrance d'une mère. Que ce soit le cri animal de Juliette à l'hôpital, le hurlement de Kamila dans un champ, ou la sidération d'autres mères de ne pouvoir pouponner comme étape légitime à leur maternité souhaitée, le réflexe de survie de la réalisatrice face à cette absence fut de filmer.
Le Monde
Le film, modeste, a une réelle vertu pédagogique : sans rien montrer, il ramène le corps féminin (son poids, ses organes, ses traumas et ses larmes) dans le champ. Enfin, il finit par être le portrait de quatre femmes qui se tiennent discrètement comme à côté du monde.
Première
En filmant trois chemins endeuillés – l'une retraçant le trajet vers l'hôpital où elle a accouché, l'autre vers la tombe de son enfant au Maroc, et la dernière vers le seul village en France qui porte le prénom de sa fille – la réalisatrice se livre à un exercice intime, aussi douloureux que libérateur, qui permettra sans nul doute à d’autres femmes meurtries de s’aventurer sur leur propre sentier.
Télérama
Ce documentaire vaut davantage pour le regard tendre qu’il pose sur ces femmes et la puissance de leurs témoignages que pour son dispositif formel, assez tâtonnant.