Il était une fois Michel Legrand : Critique presse
Il était une fois Michel Legrand
Note moyenne
3,4
25 titres de presse
Le Parisien
Abus de Ciné
Diverto
Franceinfo Culture
L'Humanité
L'Obs
Le Figaro
Le Point
Ouest France
Positif
Sud Ouest
Télérama
aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Konbini
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Libération
Paris Match
Première
Rolling Stone
Les Inrockuptibles
Nice-Matin
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par Éric Bureau
On le doit au réalisateur David Hertzog Dessites, qui a convaincu Michel Legrand, décédé en 2019, de le filmer dans son métier et son intimité pendant les deux dernières années de sa vie. Dans les moments de magie, comme cet ultime concert et cet autre récital en Pologne, en novembre 2017, où le compositeur offre une version prodigieuse des « Moulins de mon cœur ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Revenant dans sa construction sur ses dernières expériences, pour mieux imprimer l’image d’un bourreau de travail, persévérant mais malheureusement épuisable, "Il était une fois Michel Legrand" parvient au final à bouleverser.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Diverto
par La Rédaction
Loin de l’hagiographie facile, ce portrait fourmille de tendresse et de distance, chronique d’un créateur face à son génie et ses démons.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Mort à 86 ans en 2019, Michel Legrand laisse une place unique dans la musique de films qu'évoque ce documentaire magnifique, plus qu'un biopic.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Eléonore Houée
Ce documentaire expose tout le talent de Michel Legrand, mais aussi ses excès de caractère. Entre les archives et les rencontres de prestige, l’allure bricolée de cet hommage au compositeur de musique de films décédé en 2019 lui confère une note plus que touchante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Complet sur la vie et l’œuvre du complice de Jacques Demy, Quincy Jones et Barbra Streisand, nourri de témoignages qui racontent le génie musical autant que son irascibilité et ses failles affectives, le documentaire se double d’un récit de compagnonnage du maestro aux trois oscars durant les deux dernières années de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Le réalisateur David Hertzog Dessites rend un hommage généreux et sincère au célèbre compositeur des Demoiselles de Cherbourg (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par La Rédaction
Le résultat est un film vivant, joyeux, qui ne fait pas l'impasse sur les zones d'ombre du compositeur des Parapluies de Cherbourg, dont on découvre les sautes d'humeur, la dureté, le combat de toute une vie contre la dépression.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un portrait fouillé.
Positif
par Fabien Baumann
La réussite du documentaire tient à cette forme de concerto : des vagues d'émotion se lèvent, des thèmes tournoient, disparaissent, des bulles de délices jaillissent, des modulations tonales laissent un manque.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Avec le documentaire « Il était une fois Michel Legrand », David Hertzog Dessites dresse avec tact et brio le portrait d’un musicien exceptionnel.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Laurence Le Saux
Tourbillonnant et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Mêlant images d’archives et interviews, ce documentaire propose une plaisante immersion musicale et cinématographique des années 1950 à nos jours.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le documentaire s’étire en longueur, aimable mais assez plan-plan sur le plan du cinéma, formellement peu inventif. On s’ennuierait un peu s’il n’y avait l’allant de la musique de Legrand pour secouer le tempo.
Konbini
par Arthur Cios
Plus qu'un simple documentaire, un véritable testament, qui n'hésite pas à montrer toutes les facettes de l'une des plus grandes figures de la musique de film du cinéma français.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le maestro aux mélodies puissantes y apparaît d’une incroyable audace, d’une extraordinaire inventivité, mais aussi d’un caractère de chien.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Sur scène ou en coulisses, on assiste au processus de création du virtuose qui a imprégné la mémoire collective dans un documentaire qui ne cache rien de ses colères légendaires. Le seul bémol réside dans la forme : le positionnement du réalisateur, derrière et devant la caméra, décontenance, et des partis pris de montage entament la fluidité de la narration.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Le documentaire que lui consacre David Hertzog Dessites, nonobstant ses presque deux heures de durée, ne dit pas grand-chose de plus. David Hertzog Dessites est un fan, faut-il lui jeter la pierre ? Il aime d’ailleurs tellement Legrand qu’il continue de s’adresser personnellement à lui en voix off dans son film. Il puise dans les archives pour nous remettre en mémoire ses airs sublimes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un documentaire sincère et plaisant, mais à la forme plutôt convenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jacques Denis
Comment dès lors dresser son portrait sans sombrer dans l’hagiographie ? David Hertzog Dessites s’y attèle en choisissant de ne pas choisir entre tous les personnages qui composaient cette personnalité, «forte» comme on aime à dire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un documentaire de passionné passionnant.
Première
par Thierry Chèze
Evitant le piège de la pure hagiographie, ce film de passionné donne une furieuse envie de se replonger toutes affaires cessantes dans la discographie du maestro.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Et si ses dernières années à rejouer son corpus sur scène ne font pas pâle figure, c’est parce que Herzog Dessites rappelle le rythme des “moulins du coeur” de Legrand qui épousa, à 82 ans, un grand amour nommé Macha Méril. Bien joué, à tout point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Les Inrockuptibles
par Mathi Adjinsoff
À grand renfort de caméos, de témoignages et d’images d’archives, on déploie devant nous un dispositif usé, sans jamais faire bon usage des outils qu’offrent l’art cinématographique tant chéri par celui qui est dépeint.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Avec sa forme télévisuelle et son fond quelconque, loin donc du documentaire réalisé sur Ennio Morricone, où son histoire et son esprit créatif étaient brillamment analysés, « Il était une fois Michel Legrand » ne semble s'adresser qu'à ses (nombreux) amateurs.
Le Parisien
On le doit au réalisateur David Hertzog Dessites, qui a convaincu Michel Legrand, décédé en 2019, de le filmer dans son métier et son intimité pendant les deux dernières années de sa vie. Dans les moments de magie, comme cet ultime concert et cet autre récital en Pologne, en novembre 2017, où le compositeur offre une version prodigieuse des « Moulins de mon cœur ».
Abus de Ciné
Revenant dans sa construction sur ses dernières expériences, pour mieux imprimer l’image d’un bourreau de travail, persévérant mais malheureusement épuisable, "Il était une fois Michel Legrand" parvient au final à bouleverser.
Diverto
Loin de l’hagiographie facile, ce portrait fourmille de tendresse et de distance, chronique d’un créateur face à son génie et ses démons.
Franceinfo Culture
Mort à 86 ans en 2019, Michel Legrand laisse une place unique dans la musique de films qu'évoque ce documentaire magnifique, plus qu'un biopic.
L'Humanité
Ce documentaire expose tout le talent de Michel Legrand, mais aussi ses excès de caractère. Entre les archives et les rencontres de prestige, l’allure bricolée de cet hommage au compositeur de musique de films décédé en 2019 lui confère une note plus que touchante.
L'Obs
Complet sur la vie et l’œuvre du complice de Jacques Demy, Quincy Jones et Barbra Streisand, nourri de témoignages qui racontent le génie musical autant que son irascibilité et ses failles affectives, le documentaire se double d’un récit de compagnonnage du maestro aux trois oscars durant les deux dernières années de sa vie.
Le Figaro
Le réalisateur David Hertzog Dessites rend un hommage généreux et sincère au célèbre compositeur des Demoiselles de Cherbourg (...).
Le Point
Le résultat est un film vivant, joyeux, qui ne fait pas l'impasse sur les zones d'ombre du compositeur des Parapluies de Cherbourg, dont on découvre les sautes d'humeur, la dureté, le combat de toute une vie contre la dépression.
Ouest France
Un portrait fouillé.
Positif
La réussite du documentaire tient à cette forme de concerto : des vagues d'émotion se lèvent, des thèmes tournoient, disparaissent, des bulles de délices jaillissent, des modulations tonales laissent un manque.
Sud Ouest
Avec le documentaire « Il était une fois Michel Legrand », David Hertzog Dessites dresse avec tact et brio le portrait d’un musicien exceptionnel.
Télérama
Tourbillonnant et émouvant.
aVoir-aLire.com
Mêlant images d’archives et interviews, ce documentaire propose une plaisante immersion musicale et cinématographique des années 1950 à nos jours.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le documentaire s’étire en longueur, aimable mais assez plan-plan sur le plan du cinéma, formellement peu inventif. On s’ennuierait un peu s’il n’y avait l’allant de la musique de Legrand pour secouer le tempo.
Konbini
Plus qu'un simple documentaire, un véritable testament, qui n'hésite pas à montrer toutes les facettes de l'une des plus grandes figures de la musique de film du cinéma français.
Le Dauphiné Libéré
Le maestro aux mélodies puissantes y apparaît d’une incroyable audace, d’une extraordinaire inventivité, mais aussi d’un caractère de chien.
Le Journal du Dimanche
Sur scène ou en coulisses, on assiste au processus de création du virtuose qui a imprégné la mémoire collective dans un documentaire qui ne cache rien de ses colères légendaires. Le seul bémol réside dans la forme : le positionnement du réalisateur, derrière et devant la caméra, décontenance, et des partis pris de montage entament la fluidité de la narration.
Le Monde
Le documentaire que lui consacre David Hertzog Dessites, nonobstant ses presque deux heures de durée, ne dit pas grand-chose de plus. David Hertzog Dessites est un fan, faut-il lui jeter la pierre ? Il aime d’ailleurs tellement Legrand qu’il continue de s’adresser personnellement à lui en voix off dans son film. Il puise dans les archives pour nous remettre en mémoire ses airs sublimes.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire sincère et plaisant, mais à la forme plutôt convenue.
Libération
Comment dès lors dresser son portrait sans sombrer dans l’hagiographie ? David Hertzog Dessites s’y attèle en choisissant de ne pas choisir entre tous les personnages qui composaient cette personnalité, «forte» comme on aime à dire.
Paris Match
Un documentaire de passionné passionnant.
Première
Evitant le piège de la pure hagiographie, ce film de passionné donne une furieuse envie de se replonger toutes affaires cessantes dans la discographie du maestro.
Rolling Stone
Et si ses dernières années à rejouer son corpus sur scène ne font pas pâle figure, c’est parce que Herzog Dessites rappelle le rythme des “moulins du coeur” de Legrand qui épousa, à 82 ans, un grand amour nommé Macha Méril. Bien joué, à tout point de vue.
Les Inrockuptibles
À grand renfort de caméos, de témoignages et d’images d’archives, on déploie devant nous un dispositif usé, sans jamais faire bon usage des outils qu’offrent l’art cinématographique tant chéri par celui qui est dépeint.
Nice-Matin
Avec sa forme télévisuelle et son fond quelconque, loin donc du documentaire réalisé sur Ennio Morricone, où son histoire et son esprit créatif étaient brillamment analysés, « Il était une fois Michel Legrand » ne semble s'adresser qu'à ses (nombreux) amateurs.