Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Avec ses mouvements de caméra apparemment approximatifs et le désir gourmand de faire le plein d’images, ce saisissant journal cinématographique rappelle les films de voyage. En fait, les zooms et les légers tremblements de la caméra à l’épaule témoignent de sa maîtrise formelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les connotations touristiques du titre l’indiquent : Usberti assume son statut d’étranger, qui devient une ressource – face à un regard extérieur, l’évidence disparaît et tout mérite d’être conté.
Beauté et souffrance cohabitent à l’image. Vagues indomptables, soleil couchant, et ce commentaire qui donne des frissons : à Gaza, les bateaux de pêcheurs ne peuvent s’aventurer trop loin, sous peine d’être ciblés par les navires de combat israéliens.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sont documentés de menus gestes de survie et de résistance face à une tragédie qui vient dont la fatalité est aujourd’hui encore renforcée par l’écart temporel qui nous sépare de ce passé pourtant si proche.
Et c’est le plus bouleversant de ce film autoproduit, spontané, léger comme une rencontre de jeunesse, qu’il appartienne déjà aussi brutalement au passé : les images qu’il nous ramène de cette partie du monde sont des images qui ont été transformées en archives, archives d’un monde totalement englouti sous les gravats, dont on sait qu’il faudra des dizaines d’années pour simplement les déblayer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
En donnant la parole à des trentenaires palestiniens et en filmant leur quotidien, fait de tensions, d’angoisse et de privations en tous genres, Usberti raconte tout autant la dureté du blocus organisé par l’État d’Israël que l’oppression constante organisée par les terroristes du Hamas. Cela, sans chercher un équilibre à tout prix, en se laissant porter par son ressenti, par ses qualités d’observateur comme de confesseur. Plus qu’un documentaire, un document.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Une ode à une jeunesse pleine de vie et de peu d’espoir, document précieux à l’aune de ce qu’est devenue l’enclave mais problématique par sa vision sommairement colonialiste d’Israël.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
En diversifiant les thématiques et les portraits, ce film dont le montage s’est achevé une semaine avant l’embrasement mortel du 7 octobre 2023 porte un regard aussi tragique qu’universel sur une communauté de personnages s’apprêtant à se disloquer. Et la lumière éclatante captée par la caméra de devenir la triste incarnation d’un passé déjà lointain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Choc de l’Histoire et des agendas, le montage du film, tourné en 2018, s’est achevé une semaine avant le 7 octobre 2023. Dans l’enfer de la tragédie actuelle, ces images appartiennent irrévocablement au passé. C’est la force douloureuse et amère du film, qui nous entraîne dans un monde aujourd’hui anéanti.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le réalisateur s'improvise redresseur de torts, et tient mal les comptes. Cette partialité finit par donner au film des apparences de tract politique, quand il aurait pu simplement constituer un témoignage rare, poignant, et audible de tous côtés, sur la détresse de Gaza.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Humanité
Avec ses mouvements de caméra apparemment approximatifs et le désir gourmand de faire le plein d’images, ce saisissant journal cinématographique rappelle les films de voyage. En fait, les zooms et les légers tremblements de la caméra à l’épaule témoignent de sa maîtrise formelle.
Cahiers du Cinéma
Les connotations touristiques du titre l’indiquent : Usberti assume son statut d’étranger, qui devient une ressource – face à un regard extérieur, l’évidence disparaît et tout mérite d’être conté.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec une douceur qui contraste avec la brutalité environnante, se raconte la vie de Gaza comme un murmure de résilience et de résistance.
Le Dauphiné Libéré
D’une dignité inébranlable.
Le Monde
Beauté et souffrance cohabitent à l’image. Vagues indomptables, soleil couchant, et ce commentaire qui donne des frissons : à Gaza, les bateaux de pêcheurs ne peuvent s’aventurer trop loin, sous peine d’être ciblés par les navires de combat israéliens.
Les Fiches du Cinéma
La force du dispositif de Piero Usberti tient à sa manière de filmer le quotidien des jeunes Gazaouis : avec justesse, modestie et intelligence.
Les Inrockuptibles
Sont documentés de menus gestes de survie et de résistance face à une tragédie qui vient dont la fatalité est aujourd’hui encore renforcée par l’écart temporel qui nous sépare de ce passé pourtant si proche.
Libération
Et c’est le plus bouleversant de ce film autoproduit, spontané, léger comme une rencontre de jeunesse, qu’il appartienne déjà aussi brutalement au passé : les images qu’il nous ramène de cette partie du monde sont des images qui ont été transformées en archives, archives d’un monde totalement englouti sous les gravats, dont on sait qu’il faudra des dizaines d’années pour simplement les déblayer.
Ouest France
En donnant la parole à des trentenaires palestiniens et en filmant leur quotidien, fait de tensions, d’angoisse et de privations en tous genres, Usberti raconte tout autant la dureté du blocus organisé par l’État d’Israël que l’oppression constante organisée par les terroristes du Hamas. Cela, sans chercher un équilibre à tout prix, en se laissant porter par son ressenti, par ses qualités d’observateur comme de confesseur. Plus qu’un documentaire, un document.
aVoir-aLire.com
Un documentaire nécessaire pour comprendre les bouleversements politiques et sociaux de ce territoire meurtri.
L'Obs
Une ode à une jeunesse pleine de vie et de peu d’espoir, document précieux à l’aune de ce qu’est devenue l’enclave mais problématique par sa vision sommairement colonialiste d’Israël.
Première
En diversifiant les thématiques et les portraits, ce film dont le montage s’est achevé une semaine avant l’embrasement mortel du 7 octobre 2023 porte un regard aussi tragique qu’universel sur une communauté de personnages s’apprêtant à se disloquer. Et la lumière éclatante captée par la caméra de devenir la triste incarnation d’un passé déjà lointain.
Télérama
Choc de l’Histoire et des agendas, le montage du film, tourné en 2018, s’est achevé une semaine avant le 7 octobre 2023. Dans l’enfer de la tragédie actuelle, ces images appartiennent irrévocablement au passé. C’est la force douloureuse et amère du film, qui nous entraîne dans un monde aujourd’hui anéanti.
Le Figaro
Le réalisateur s'improvise redresseur de torts, et tient mal les comptes. Cette partialité finit par donner au film des apparences de tract politique, quand il aurait pu simplement constituer un témoignage rare, poignant, et audible de tous côtés, sur la détresse de Gaza.