Trois kilomètres jusqu'à la fin du monde : Critique presse
Trois kilomètres jusqu'à la fin du monde
Note moyenne
3,4
14 titres de presse
Franceinfo Culture
Konbini
La Voix du Nord
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
CinemaTeaser
L'Humanité
Nice-Matin
Transfuge
Critikat.com
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Les plans sont fixes, posés, habilement cadrés, avec un jeu sur le hors-champ et, plus inhabituel au cinéma, sur le bord cadre, qui donne son esthétique singulière au film. La lumière d'été, qui éclabousse les paysages magnifiques imprégnés de paix de cette région de la Roumanie, contraste avec la petitesse des personnages et la noirceur de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Konbini
par Arthur Cios
Un récit aussi glaçant que puissant, sur l'homophobie plus qu'ordinaire d'un village en Roumanie.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Glaçant mais tellement révélateur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film brillamment réalisé et très émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Tout en gardant un style épuré, le réalisateur Emanuel Pârvu multiplie les références bibliques et opère un judicieux renversement de l’antagonisme chrétien entre le bien et le mal.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Marie Sauvion
En Roumanie, un jeune homme est vu embrassant un touriste. Il cristallisera toutes les aigreurs d’une communauté, scrutée à travers une mise en scène d’une intelligence remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un drame familial et communautaire à la fois efficace et mené avec rigueur, radioscopie glaçante de l’intolérance et de la corruption.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Philosophiquement, la leçon reste juste, quoique prémâchée : Pârvu filme pour prouver, édifier, plus que pour interroger, cherchant une vérité qu’il connaît déjà, montrant ce qui d’emblée se voit.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L’intention est inattaquable, mais le geste de cinéma manque de singularité et, au final, d'impact.
L'Humanité
par Eléonore Houée
En plus de montrer cette nature idyllique, Emanuel Pârvu s’accroche à des structures communes de supposées protections : le foyer parental, l’église et la gendarmerie. Le réalisateur s’inscrit dans une démarche de dénonciation d’un système obscurantiste. Quitte à tourner un peu en rond jusqu’à un dernier tiers plus salvateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Emanuel Parvu tente de s’inscrire dans la même veine sociale que son compatriote palmé en 2007 pour « 4 mois, 3 semaines, 2 jours », sans jamais parvenir à avoir la force de sa mise en scène… Cela ne signifie pas pour autant que cette proposition, qui dénonce l’homophobie présente dans les régions reculées du pays d’Europe de l’Est, soit sans intérêt.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Répondant scolairement à ce programme, et bien qu'exemplaire à ce titre, le film bifurque trop peu de ce qu'on en attend pour ne pas figer ses personnages dans des types inventés par cette ancienne Nouvelle Vague [roumaine].
Critikat.com
par Josué Morel
Dommage que la mise en scène exploite de manière limitée ce rythme bizarrement engourdi, qui participe à nuancer la violence des enjeux : elle s’en tient essentiellement à figurer un climat de surveillance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Thomas Baurez
On croit un temps que le film va s’engouffrer dans la farce. Parvu préfère ménager un suspense sur l’émancipation possible de son jeune héros. Un dernier regard vers son visage gonflé, reflet de la honte de tout un pays, et le héros peut sortir du cadre. Mouais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
Les plans sont fixes, posés, habilement cadrés, avec un jeu sur le hors-champ et, plus inhabituel au cinéma, sur le bord cadre, qui donne son esthétique singulière au film. La lumière d'été, qui éclabousse les paysages magnifiques imprégnés de paix de cette région de la Roumanie, contraste avec la petitesse des personnages et la noirceur de l'histoire.
Konbini
Un récit aussi glaçant que puissant, sur l'homophobie plus qu'ordinaire d'un village en Roumanie.
La Voix du Nord
Glaçant mais tellement révélateur.
Le Parisien
Un film brillamment réalisé et très émouvant.
Les Inrockuptibles
Tout en gardant un style épuré, le réalisateur Emanuel Pârvu multiplie les références bibliques et opère un judicieux renversement de l’antagonisme chrétien entre le bien et le mal.
Télérama
En Roumanie, un jeune homme est vu embrassant un touriste. Il cristallisera toutes les aigreurs d’une communauté, scrutée à travers une mise en scène d’une intelligence remarquable.
aVoir-aLire.com
Un drame familial et communautaire à la fois efficace et mené avec rigueur, radioscopie glaçante de l’intolérance et de la corruption.
Cahiers du Cinéma
Philosophiquement, la leçon reste juste, quoique prémâchée : Pârvu filme pour prouver, édifier, plus que pour interroger, cherchant une vérité qu’il connaît déjà, montrant ce qui d’emblée se voit.
CinemaTeaser
L’intention est inattaquable, mais le geste de cinéma manque de singularité et, au final, d'impact.
L'Humanité
En plus de montrer cette nature idyllique, Emanuel Pârvu s’accroche à des structures communes de supposées protections : le foyer parental, l’église et la gendarmerie. Le réalisateur s’inscrit dans une démarche de dénonciation d’un système obscurantiste. Quitte à tourner un peu en rond jusqu’à un dernier tiers plus salvateur.
Nice-Matin
Emanuel Parvu tente de s’inscrire dans la même veine sociale que son compatriote palmé en 2007 pour « 4 mois, 3 semaines, 2 jours », sans jamais parvenir à avoir la force de sa mise en scène… Cela ne signifie pas pour autant que cette proposition, qui dénonce l’homophobie présente dans les régions reculées du pays d’Europe de l’Est, soit sans intérêt.
Transfuge
Répondant scolairement à ce programme, et bien qu'exemplaire à ce titre, le film bifurque trop peu de ce qu'on en attend pour ne pas figer ses personnages dans des types inventés par cette ancienne Nouvelle Vague [roumaine].
Critikat.com
Dommage que la mise en scène exploite de manière limitée ce rythme bizarrement engourdi, qui participe à nuancer la violence des enjeux : elle s’en tient essentiellement à figurer un climat de surveillance.
Première
On croit un temps que le film va s’engouffrer dans la farce. Parvu préfère ménager un suspense sur l’émancipation possible de son jeune héros. Un dernier regard vers son visage gonflé, reflet de la honte de tout un pays, et le héros peut sortir du cadre. Mouais.