Trois kilomètres jusqu'à la fin du monde : Critique presse
Trois kilomètres jusqu'à la fin du monde
Note moyenne
3,4
28 titres de presse
Bande à part
Franceinfo Culture
Konbini
L'Obs
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Sud Ouest
Télé Loisirs
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
La Croix
Le Dauphiné Libéré
Le Monde
Nice-Matin
Paris Match
Transfuge
Critikat.com
Le Point
Libération
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un film intense et délicat.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Les plans sont fixes, posés, habilement cadrés, avec un jeu sur le hors-champ et, plus inhabituel au cinéma, sur le bord cadre, qui donne son esthétique singulière au film. La lumière d'été, qui éclabousse les paysages magnifiques imprégnés de paix de cette région de la Roumanie, contraste avec la petitesse des personnages et la noirceur de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Konbini
par Arthur Cios
Un récit aussi glaçant que puissant, sur l'homophobie plus qu'ordinaire d'un village en Roumanie.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Pârvu aborde le sujet en Scope avec une sobriété sèche sans jamais glisser vers le mélo. Il se déleste par exemple de tout accompagnement musical pour mieux faire entendre le silence assourdissant de ce hameau très peu tranquille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Glaçant mais tellement révélateur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film du réalisateur roumain Emanuel Parvu relate l’histoire banale d’une agression et ses conséquences avec finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Dans un décor magnifique, cette minutieuse et patiente exploration pointant une intolérance entretenue joue sur les contrastes pour renforcer son propos, avec une caméra souvent fixe qui s’intéresse davantage aux habitants du village qu’au ressenti de la victime. Cette approche distanciée n’empêche pas le malaise d’imprégner un drame aussi beau qu’oppressant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film brillamment réalisé et très émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Emanuel Pârvu signe une chronique suffisamment aérée pour ne pas virer à la seule illustration d’un engrenage.
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Tout en gardant un style épuré, le réalisateur Emanuel Pârvu multiplie les références bibliques et opère un judicieux renversement de l’antagonisme chrétien entre le bien et le mal.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Julien Rousset
Plans fixes, travail d’orfèvre sur la lumière et le son, le cinéaste roumain Emanuel Parvu, 45 ans, fait preuve d’une maîtrise impressionnante. Une charge implacable, rigoureuse, sélectionnée au dernier festival de Cannes, contre l’obscurantisme.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par S.O.
Brillamment mis en scène, ce film avance avec une sereine inexorabilité qui rend son propos d'autant plus émouvant.
Télérama
par Marie Sauvion
En Roumanie, un jeune homme est vu embrassant un touriste. Il cristallisera toutes les aigreurs d’une communauté, scrutée à travers une mise en scène d’une intelligence remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un drame familial et communautaire à la fois efficace et mené avec rigueur, radioscopie glaçante de l’intolérance et de la corruption.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Philosophiquement, la leçon reste juste, quoique prémâchée : Pârvu filme pour prouver, édifier, plus que pour interroger, cherchant une vérité qu’il connaît déjà, montrant ce qui d’emblée se voit.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L’intention est inattaquable, mais le geste de cinéma manque de singularité et, au final, d'impact.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le delta du Danube, avec ses eaux troubles et ses marécages, est le miroir fangeux d’une communauté villageoise embourbée dans ses secrets, ses silences et ses complicités.
L'Humanité
par Eléonore Houée
En plus de montrer cette nature idyllique, Emanuel Pârvu s’accroche à des structures communes de supposées protections : le foyer parental, l’église et la gendarmerie. Le réalisateur s’inscrit dans une démarche de dénonciation d’un système obscurantiste. Quitte à tourner un peu en rond jusqu’à un dernier tiers plus salvateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Un glaçant réquisitoire contre l’obscurantisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Curieusement, Adi, la victime, est relégué à l’arrière-plan. Ce choix renforce la sensation que l’essentiel est occulté : la jeunesse marginalisée, criminalisée, est ici rendue presque invisible. Une absence troublante dans un récit qui dissèque, par ailleurs avec brio, une microsociété en décomposition.
Le Monde
par J. Ma.
Toute une société, où chacun tient son rôle comme il imagine qu’il se doit de le faire, y conspire à cacher une vérité très tôt découverte dans le récit. Comme venus d’un autre monde, l’arrivée inopinée des services sociaux de l’Etat, appelés à l’aide par le jeune homme, relancera pour quelque temps une intrigue qui a tendance à tourner en rond.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Emanuel Parvu tente de s’inscrire dans la même veine sociale que son compatriote palmé en 2007 pour « 4 mois, 3 semaines, 2 jours », sans jamais parvenir à avoir la force de sa mise en scène… Cela ne signifie pas pour autant que cette proposition, qui dénonce l’homophobie présente dans les régions reculées du pays d’Europe de l’Est, soit sans intérêt.
Paris Match
par Y.V
La démonstration est implacable, c’est à la fois la force et la limite d’un film qui joue carte sur table dès sa séquence d’ouverture.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Frédéric Mercier
Répondant scolairement à ce programme, et bien qu'exemplaire à ce titre, le film bifurque trop peu de ce qu'on en attend pour ne pas figer ses personnages dans des types inventés par cette ancienne Nouvelle Vague [roumaine].
Critikat.com
par Josué Morel
Dommage que la mise en scène exploite de manière limitée ce rythme bizarrement engourdi, qui participe à nuancer la violence des enjeux : elle s’en tient essentiellement à figurer un climat de surveillance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par La Rédaction
Emmanuel Parvu réussit à faire passer la terrible pression qui pèse sur Adi, mais le film donne par moment le sentiment d'une étude sociologique un peu trop appliquée.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Luc Chessel
Edifiant d’enseignement à chacune de ses longues prises aux larges cadres (un maniérisme naturaliste), ce Trois Kilomètres jusqu’à la fin du film tient l’étrange choix de développer les profondeurs de la bêtise de l’entourage, en laissant son faux personnage principal, joué par Ciprian Chiujdea, à l’état de pure surface.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
On croit un temps que le film va s’engouffrer dans la farce. Parvu préfère ménager un suspense sur l’émancipation possible de son jeune héros. Un dernier regard vers son visage gonflé, reflet de la honte de tout un pays, et le héros peut sortir du cadre. Mouais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Un film intense et délicat.
Franceinfo Culture
Les plans sont fixes, posés, habilement cadrés, avec un jeu sur le hors-champ et, plus inhabituel au cinéma, sur le bord cadre, qui donne son esthétique singulière au film. La lumière d'été, qui éclabousse les paysages magnifiques imprégnés de paix de cette région de la Roumanie, contraste avec la petitesse des personnages et la noirceur de l'histoire.
Konbini
Un récit aussi glaçant que puissant, sur l'homophobie plus qu'ordinaire d'un village en Roumanie.
L'Obs
Pârvu aborde le sujet en Scope avec une sobriété sèche sans jamais glisser vers le mélo. Il se déleste par exemple de tout accompagnement musical pour mieux faire entendre le silence assourdissant de ce hameau très peu tranquille.
La Voix du Nord
Glaçant mais tellement révélateur.
Le Figaro
Le film du réalisateur roumain Emanuel Parvu relate l’histoire banale d’une agression et ses conséquences avec finesse.
Le Journal du Dimanche
Dans un décor magnifique, cette minutieuse et patiente exploration pointant une intolérance entretenue joue sur les contrastes pour renforcer son propos, avec une caméra souvent fixe qui s’intéresse davantage aux habitants du village qu’au ressenti de la victime. Cette approche distanciée n’empêche pas le malaise d’imprégner un drame aussi beau qu’oppressant.
Le Parisien
Un film brillamment réalisé et très émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Emanuel Pârvu signe une chronique suffisamment aérée pour ne pas virer à la seule illustration d’un engrenage.
Les Inrockuptibles
Tout en gardant un style épuré, le réalisateur Emanuel Pârvu multiplie les références bibliques et opère un judicieux renversement de l’antagonisme chrétien entre le bien et le mal.
Sud Ouest
Plans fixes, travail d’orfèvre sur la lumière et le son, le cinéaste roumain Emanuel Parvu, 45 ans, fait preuve d’une maîtrise impressionnante. Une charge implacable, rigoureuse, sélectionnée au dernier festival de Cannes, contre l’obscurantisme.
Télé Loisirs
Brillamment mis en scène, ce film avance avec une sereine inexorabilité qui rend son propos d'autant plus émouvant.
Télérama
En Roumanie, un jeune homme est vu embrassant un touriste. Il cristallisera toutes les aigreurs d’une communauté, scrutée à travers une mise en scène d’une intelligence remarquable.
aVoir-aLire.com
Un drame familial et communautaire à la fois efficace et mené avec rigueur, radioscopie glaçante de l’intolérance et de la corruption.
Cahiers du Cinéma
Philosophiquement, la leçon reste juste, quoique prémâchée : Pârvu filme pour prouver, édifier, plus que pour interroger, cherchant une vérité qu’il connaît déjà, montrant ce qui d’emblée se voit.
CinemaTeaser
L’intention est inattaquable, mais le geste de cinéma manque de singularité et, au final, d'impact.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le delta du Danube, avec ses eaux troubles et ses marécages, est le miroir fangeux d’une communauté villageoise embourbée dans ses secrets, ses silences et ses complicités.
L'Humanité
En plus de montrer cette nature idyllique, Emanuel Pârvu s’accroche à des structures communes de supposées protections : le foyer parental, l’église et la gendarmerie. Le réalisateur s’inscrit dans une démarche de dénonciation d’un système obscurantiste. Quitte à tourner un peu en rond jusqu’à un dernier tiers plus salvateur.
La Croix
Un glaçant réquisitoire contre l’obscurantisme.
Le Dauphiné Libéré
Curieusement, Adi, la victime, est relégué à l’arrière-plan. Ce choix renforce la sensation que l’essentiel est occulté : la jeunesse marginalisée, criminalisée, est ici rendue presque invisible. Une absence troublante dans un récit qui dissèque, par ailleurs avec brio, une microsociété en décomposition.
Le Monde
Toute une société, où chacun tient son rôle comme il imagine qu’il se doit de le faire, y conspire à cacher une vérité très tôt découverte dans le récit. Comme venus d’un autre monde, l’arrivée inopinée des services sociaux de l’Etat, appelés à l’aide par le jeune homme, relancera pour quelque temps une intrigue qui a tendance à tourner en rond.
Nice-Matin
Emanuel Parvu tente de s’inscrire dans la même veine sociale que son compatriote palmé en 2007 pour « 4 mois, 3 semaines, 2 jours », sans jamais parvenir à avoir la force de sa mise en scène… Cela ne signifie pas pour autant que cette proposition, qui dénonce l’homophobie présente dans les régions reculées du pays d’Europe de l’Est, soit sans intérêt.
Paris Match
La démonstration est implacable, c’est à la fois la force et la limite d’un film qui joue carte sur table dès sa séquence d’ouverture.
Transfuge
Répondant scolairement à ce programme, et bien qu'exemplaire à ce titre, le film bifurque trop peu de ce qu'on en attend pour ne pas figer ses personnages dans des types inventés par cette ancienne Nouvelle Vague [roumaine].
Critikat.com
Dommage que la mise en scène exploite de manière limitée ce rythme bizarrement engourdi, qui participe à nuancer la violence des enjeux : elle s’en tient essentiellement à figurer un climat de surveillance.
Le Point
Emmanuel Parvu réussit à faire passer la terrible pression qui pèse sur Adi, mais le film donne par moment le sentiment d'une étude sociologique un peu trop appliquée.
Libération
Edifiant d’enseignement à chacune de ses longues prises aux larges cadres (un maniérisme naturaliste), ce Trois Kilomètres jusqu’à la fin du film tient l’étrange choix de développer les profondeurs de la bêtise de l’entourage, en laissant son faux personnage principal, joué par Ciprian Chiujdea, à l’état de pure surface.
Première
On croit un temps que le film va s’engouffrer dans la farce. Parvu préfère ménager un suspense sur l’émancipation possible de son jeune héros. Un dernier regard vers son visage gonflé, reflet de la honte de tout un pays, et le héros peut sortir du cadre. Mouais.