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En mêlant fiction et documentaire, Hernán Rosselli dresse un portrait prodigieux et plein de malice d’une famille argentine subsistant grâce aux paris illégaux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le ton feutré et les baisers transmis à l’épouse de l’interlocuteur ne trompent pas sur la menace palpable : Quelque chose…, ouvert comme un film de famille raconté en off à partir de vidéos préexistantes, bascule à cet instant dans le film de gangsters, sans garantie d’ailleurs qu’il y restera.
Dans les interstices de ces home movies, Hernan Rosselli a imaginé une fiction criminelle, interprétée devant la caméra, non par des comédiens, mais par la famille Felpeto elle-même. Et voilà comment le faux et le vrai, ou plutôt le document et sa part fantasmatique, créent un pacte de fabulation au cœur de l’image.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Thriller hors du commun, passé par la Quinzaine des cinéastes 2024, [le film] constitue au final une expérience intrigante, bercée par un gros travail sur le son, qui nous baigne dans ce monde des paris [...], qui égale presque celui du montage, particulièrement habile.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Variation expérimentale autour du found footage, faite de fragments épars, cet objet très singulier conceptualise une forme manipulation du réel pour le mener dans l'imaginaire, comme une fabrique du mensonge. Et consacre avant tout le cinéma comme un art du montage.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Parce qu’il traite de paris clandestins et de secrets de famille, le film se veut d’abord opaque, indéchiffrable, mais finit par séduire en révélant sa nature mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rosselli ne parvient pas à faire des bandes du père Felpeto autre chose qu'un document domestique assez banal [...]. La partie contemporaine, quant à elle, manque de truculence, laissant l'avènement de "quelque chose de neuf" à l'état de promesse.
Un dispositif insolite et une démarche louable mais on peine à entrer véritablement dans cette ébauche de récit qui s’apparente davantage à un exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
En mêlant fiction et documentaire, Hernán Rosselli dresse un portrait prodigieux et plein de malice d’une famille argentine subsistant grâce aux paris illégaux.
Cahiers du Cinéma
Le ton feutré et les baisers transmis à l’épouse de l’interlocuteur ne trompent pas sur la menace palpable : Quelque chose…, ouvert comme un film de famille raconté en off à partir de vidéos préexistantes, bascule à cet instant dans le film de gangsters, sans garantie d’ailleurs qu’il y restera.
Le Monde
Dans les interstices de ces home movies, Hernan Rosselli a imaginé une fiction criminelle, interprétée devant la caméra, non par des comédiens, mais par la famille Felpeto elle-même. Et voilà comment le faux et le vrai, ou plutôt le document et sa part fantasmatique, créent un pacte de fabulation au cœur de l’image.
Les Inrockuptibles
C’est ici que tient l’envoûtante ambivalence de ce film à trous : la multiplication des régimes d’images n’aura fait qu’effleurer le secret familial.
Télérama
Une curiosité argentine à découvrir.
Abus de Ciné
Thriller hors du commun, passé par la Quinzaine des cinéastes 2024, [le film] constitue au final une expérience intrigante, bercée par un gros travail sur le son, qui nous baigne dans ce monde des paris [...], qui égale presque celui du montage, particulièrement habile.
Culturopoing.com
Variation expérimentale autour du found footage, faite de fragments épars, cet objet très singulier conceptualise une forme manipulation du réel pour le mener dans l'imaginaire, comme une fabrique du mensonge. Et consacre avant tout le cinéma comme un art du montage.
L'Humanité
Original mais fouillis.
Les Fiches du Cinéma
L’intrigue reste secondaire dans un film qui tire sa force de l’étrangeté créée par la mise en fiction des archives.
Première
Parce qu’il traite de paris clandestins et de secrets de famille, le film se veut d’abord opaque, indéchiffrable, mais finit par séduire en révélant sa nature mélancolique.
Positif
Rosselli ne parvient pas à faire des bandes du père Felpeto autre chose qu'un document domestique assez banal [...]. La partie contemporaine, quant à elle, manque de truculence, laissant l'avènement de "quelque chose de neuf" à l'état de promesse.
aVoir-aLire.com
Un dispositif insolite et une démarche louable mais on peine à entrer véritablement dans cette ébauche de récit qui s’apparente davantage à un exercice de style.