Eephus, le dernier tour de piste : Critique presse
Eephus, le dernier tour de piste
Note moyenne
3,6
16 titres de presse
Cahiers du Cinéma
So Film
CinemaTeaser
Critikat.com
Le Figaro
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Première
Télérama
Voici
Nice-Matin
aVoir-aLire.com
La Croix
Libération
L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Matinée, après-midi et soir sont autant de chapitres narratifs mais aussi formels, Lund en faisant un champ d’exploration esthétique, à la façon d’un peintre qui déclinerait ses portraits selon des lumières différentes.
So Film
par Éric Vernay
Excellente comédie patiente et minimaliste, observation chirurgicale d'une mécanique de groupe chaotique dans ses effets burlesques, attachante dans sa manière de sonder une certaine masculinité américaine mi-chambreuse mi-amochée (bières, clopes et gros boucs), et qui trouve sur la longueur, car le match s'éternise drôlement, un vrai beau souffle mélancolique.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Drôle et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Bastien Gens
L’impression de calme émanant d’Eephus traduit surtout la communication empêchée qui régit cette petite communauté d’hommes, dont l'effacement se vit en silence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Sentimental sans être larmoyant, ce premier film, qui met en scène une équipe de base-ball dévastée par la perte de son terrain, est une très bonne surprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
La sensibilité de chef opérateur de Carson Lund s’exprime pleinement dans cette façon fine d’accompagner les heures et les luminosités déclinantes, jusqu’à trouver sa métaphore la plus frappante parmi ces joueurs rattrapés par l’obscurité, et cette partie beckettienne qui finit par se jouer à l’aveugle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Les dernières heures d'un vieux terrain de baseball : c'est que choisit de raconter Carson Lund, cinéaste indépendant états-unien, dans son premier film. Il sublime son sujet pour dessiner le tableau intime d'un petit groupe d'hommes dévoués à leur passion.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Eephus déverse ainsi une profonde langueur, où l’on pleure non seulement la fin d’une ville mais surtout celle d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Sous ses airs de ne pas y toucher et son humour pince-sans-rire, Eephus raconte brillamment comment certains morceaux d’histoire collective disparaissent, sans tambour ni trompette.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Une ode superbe à la nostalgie et au temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Très drôle et pertinent.
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Ne voulant pas que ça s’arrête, tous ces sportifs amateurs jouent, jouent et jouent encore, et ce, même à la nuit tombée. Les coachs ou les rares spectateurs, eux, parlent des choses du quotidien, comme pour fuir la réalité. Une impression qui au fil des minutes finit par gagner les spectateurs, ou du moins ceux qui auront accepté ce parti pris radical.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une chronique attachante, à la fois légère et mélancolique, qui peint avec ironie et bienveillance les derniers feux d’une micro-communauté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Deux équipes amatrices qui ne se résignent pas à perdre leur terrain continuent à jouer toute une journée. Pour le plus grand ennui du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Eephus, le geste technique et sportif, est un lancer de balle si lent que son mouvement désoriente le receveur ; Eephus, le film, s’apparente plutôt à une longue et nostalgique expiration – la dernière, peut-être ? – le temps de ramasser toutes ces petites choses sans importance qui tissent pourtant la matière de l’existence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le cinéaste compose ici une élégie du mâle (majoritairement blanc) américain sans jamais nous émouvoir. Mais c’est sa vision nostalgique et « mausolée » de l’Amérique qui agace le plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
Matinée, après-midi et soir sont autant de chapitres narratifs mais aussi formels, Lund en faisant un champ d’exploration esthétique, à la façon d’un peintre qui déclinerait ses portraits selon des lumières différentes.
So Film
Excellente comédie patiente et minimaliste, observation chirurgicale d'une mécanique de groupe chaotique dans ses effets burlesques, attachante dans sa manière de sonder une certaine masculinité américaine mi-chambreuse mi-amochée (bières, clopes et gros boucs), et qui trouve sur la longueur, car le match s'éternise drôlement, un vrai beau souffle mélancolique.
CinemaTeaser
Drôle et mélancolique.
Critikat.com
L’impression de calme émanant d’Eephus traduit surtout la communication empêchée qui régit cette petite communauté d’hommes, dont l'effacement se vit en silence.
Le Figaro
Sentimental sans être larmoyant, ce premier film, qui met en scène une équipe de base-ball dévastée par la perte de son terrain, est une très bonne surprise.
Le Monde
La sensibilité de chef opérateur de Carson Lund s’exprime pleinement dans cette façon fine d’accompagner les heures et les luminosités déclinantes, jusqu’à trouver sa métaphore la plus frappante parmi ces joueurs rattrapés par l’obscurité, et cette partie beckettienne qui finit par se jouer à l’aveugle.
Les Fiches du Cinéma
Les dernières heures d'un vieux terrain de baseball : c'est que choisit de raconter Carson Lund, cinéaste indépendant états-unien, dans son premier film. Il sublime son sujet pour dessiner le tableau intime d'un petit groupe d'hommes dévoués à leur passion.
Les Inrockuptibles
Eephus déverse ainsi une profonde langueur, où l’on pleure non seulement la fin d’une ville mais surtout celle d’une époque.
Première
Sous ses airs de ne pas y toucher et son humour pince-sans-rire, Eephus raconte brillamment comment certains morceaux d’histoire collective disparaissent, sans tambour ni trompette.
Télérama
Une ode superbe à la nostalgie et au temps qui passe.
Voici
Très drôle et pertinent.
Nice-Matin
Ne voulant pas que ça s’arrête, tous ces sportifs amateurs jouent, jouent et jouent encore, et ce, même à la nuit tombée. Les coachs ou les rares spectateurs, eux, parlent des choses du quotidien, comme pour fuir la réalité. Une impression qui au fil des minutes finit par gagner les spectateurs, ou du moins ceux qui auront accepté ce parti pris radical.
aVoir-aLire.com
Une chronique attachante, à la fois légère et mélancolique, qui peint avec ironie et bienveillance les derniers feux d’une micro-communauté.
La Croix
Deux équipes amatrices qui ne se résignent pas à perdre leur terrain continuent à jouer toute une journée. Pour le plus grand ennui du spectateur.
Libération
Eephus, le geste technique et sportif, est un lancer de balle si lent que son mouvement désoriente le receveur ; Eephus, le film, s’apparente plutôt à une longue et nostalgique expiration – la dernière, peut-être ? – le temps de ramasser toutes ces petites choses sans importance qui tissent pourtant la matière de l’existence.
L'Obs
Le cinéaste compose ici une élégie du mâle (majoritairement blanc) américain sans jamais nous émouvoir. Mais c’est sa vision nostalgique et « mausolée » de l’Amérique qui agace le plus.