Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un précis de désordre et de liberté par Yoko Yamanaka, jeune cinéaste de 27 ans décidée à mettre une petite claque au ronron de la société nipponne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
De son histoire personnelle, singulière, Yôko Yamanaka réalise un film universel, impressionnant sans chercher à l’être, angoissant, sur le grand malaise des individus dans un monde qui semble aller de plus en plus mal.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Drôle de passage à l’âge adulte, le contraire du récit d’apprentissage, fait des déconvenues d’une vie impuissante à se reprendre et qui s’ensable, sans comprendre. "Desert of Namibia", film original et précieux, têtu et revêche [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un rien brouillon mais joliment combattif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Est-ce un film, une performance, une œuvre godardienne ? Sur fond rose bonbon, l’héroïne semble subitement s’échapper du film : courant sur un tapis de course, comme à la salle de gym, elle regarde le feuilleton de sa vie sur l’écran de son téléphone. La cinéaste prend plaisir à nous semer, tout en créant des images entêtantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Refusant toute séduction facile, le second long métrage de Yôko Yamanaka dresse l’âpre portrait d’une jeune femme en crise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Emma Poesy
Un bel exercice de style loin des clichés sur le Japon actuel, en dépit de quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Point
par La Rédaction
Un peu long et parfois trop opaque, le film est loin d'être parfait, mais réussit dans ses meilleurs moments le portrait déchirant d'une jeune femme en souffrance. Il signale aussi le talent de la metteuse en scène, Yoko Yamanaka.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Jérémie Couston
Se succèdent donc des scènes de la vie quotidienne de cette jeune femme à la fois ultra-connectée et déconnectée dans lesquelles elle apparaît tantôt apathique, tantôt furibarde, en fonction de sa maladie, sans jamais qu’on n’en comprenne les raisons. Le tout manquant cruellement de relief.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Un précis de désordre et de liberté par Yoko Yamanaka, jeune cinéaste de 27 ans décidée à mettre une petite claque au ronron de la société nipponne.
Les Inrockuptibles
De son histoire personnelle, singulière, Yôko Yamanaka réalise un film universel, impressionnant sans chercher à l’être, angoissant, sur le grand malaise des individus dans un monde qui semble aller de plus en plus mal.
Libération
Drôle de passage à l’âge adulte, le contraire du récit d’apprentissage, fait des déconvenues d’une vie impuissante à se reprendre et qui s’ensable, sans comprendre. "Desert of Namibia", film original et précieux, têtu et revêche [...].
L'Obs
Un rien brouillon mais joliment combattif.
Le Monde
Est-ce un film, une performance, une œuvre godardienne ? Sur fond rose bonbon, l’héroïne semble subitement s’échapper du film : courant sur un tapis de course, comme à la salle de gym, elle regarde le feuilleton de sa vie sur l’écran de son téléphone. La cinéaste prend plaisir à nous semer, tout en créant des images entêtantes.
Les Fiches du Cinéma
Refusant toute séduction facile, le second long métrage de Yôko Yamanaka dresse l’âpre portrait d’une jeune femme en crise.
Première
Un bel exercice de style loin des clichés sur le Japon actuel, en dépit de quelques longueurs.
Le Point
Un peu long et parfois trop opaque, le film est loin d'être parfait, mais réussit dans ses meilleurs moments le portrait déchirant d'une jeune femme en souffrance. Il signale aussi le talent de la metteuse en scène, Yoko Yamanaka.
Télérama
Se succèdent donc des scènes de la vie quotidienne de cette jeune femme à la fois ultra-connectée et déconnectée dans lesquelles elle apparaît tantôt apathique, tantôt furibarde, en fonction de sa maladie, sans jamais qu’on n’en comprenne les raisons. Le tout manquant cruellement de relief.