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Inspiré par le bushido, le code moral des samouraïs, un film en costumes dans le Japon féodal, avec une intrigue noueuse, longue et lente, transcendée par une mise en scène follement élégante.
La photographie recherchée de Jun Fukumoto confère une beauté austère à cette œuvre magistrale, à la fois intemporelle et moderne, qui redéfinit les codes du film de samouraï avec agilité et subtilité.
Œuvre au récit touffu mais toujours limpide, répétons-le parfois formellement stupéfiante mais ne recherchant jamais la virtuosité gratuite, se calant sur le rythme languide du jeu de stratégie qui lui donne son titre, "Le Joueur de go" s’avère donc simultanément très classique par l’usage de ses codes génériques diégétiques, propres au chambara, et totalement original par sa façon de décentrer sa violence graphique (pourtant inévitable puisqu’elle est consubstantielle du genre) vers l’affrontement guerrier symbolique du plateau de jeu.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
D'un visuel somptueux, mais sobre, tenu par une dramaturgie quasi shakespearienne, "Le Joueur de go" interpelle par son univers autant que son intrigue portée par des personnages envoûtants, au carrefour du polar et d'un portrait psychologique, projetés dans un exotisme fascinant.
En définitive, un film de cape et d’épée un peu à la manière de A Touch of Zen (1971) de King Hu, à la fois imagé et exotique, mais doublé d’une réflexion profonde sur l’honneur et l’abnégation. Que demander de plus ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Au foisonnement parfaitement orchestré du scénario entremêlant vengeance, course contre la montre, rivalités mortifères et silencieuses parties de go répond sa mise en scène qui, tout en mouvements précis et puissamment dramaturgiques, sublime littéralement le film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sans doute en écho aux déplacements des pions (la main du joueur ne les pousse pas, mais survole le cadre de jeu avant de les poser de manière assurée), Kazuya Shiraishi construit de magnifiques travellings retenus, maîtrisés et stratégiques, élaborant une tension captivante, avant de les conclure tel un point d’exclamation par un cadre fixe à l’impact d’une intense intelligence dramaturgique. Finement joué.
La mise en scène qui fait la part belle à de splendides travellings est à la hauteur de ce récit. Et le film s'inscrit alors dans la plus pure tradition des grands classiques du cinéma japonais à la Kurosawa.
Plastiquement éblouissant, filmé avec élégance en cinémascope, véritable invitation au voyage à travers une parfaite reconstitution du Japon pré-moderne, Le Joueur de Go doit être vu en salle de toute urgence.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
L’entreprise est aussi louable qu’enrichissante, mais les enjeux dramatiques tardent à s’y imposer, la construction narrative, parfois maladroite et abrupte, toute en rebonds soudains et revirements forcés, donnant la sensation que le film navigue à vue. Pourtant, impossible de ne pas être captivé (...).
Le Joueur de go s’apprécie donc pour ce qui constitue aussi ses propres limites : les références d’une culture et d’une morale formelle qui ne sont plus et dont il livre une expression spectrale parce que, peut-être, trop respectueuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Formidablement interprété, trop lent dans sa première heure avec ces longues parties de go, le film connaît une accélération salutaire dans la seconde, avec d’intenses combats au sabre remarquablement mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Parfois très élégant [...], parfois trivial [...], ce film très traditionnel, presque académique dans sa facture, se laisse regarder avec curiosité, plaisir et amusement, comme un bon vieux film de cape et d’épée.
Comme il n’est question que de règles et d’obligations, celles du jeu et celles de la féodalité, tout devrait être simple et clair, mais "Le Joueur de go", œuvre étrange et inquiète, épouse à la fois la tradition et sa trahison, dans une version paradoxale du film historique japonais, soutenue par une mise en scène originale.
Le résultat est d’une grande beauté plastique, mais le récit, structuré par des parties de go, n’est pas toujours limpide, et se perd dans quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
La reconstitution d’époque n’a rien de compassé mais chaque rebondissement prend des plombes et rend artificielles les scènes où soudain tout s’accélère, à commencer par celles de combat qui se voudraient l’acmé du film. Il manque une signature à ce projet prisonnier des codes du genre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Inspiré par le bushido, le code moral des samouraïs, un film en costumes dans le Japon féodal, avec une intrigue noueuse, longue et lente, transcendée par une mise en scène follement élégante.
Femme Actuelle
On salue la qualité esthétique du film, beau comme du grand cinéma classique.
Le Dauphiné Libéré
La photographie recherchée de Jun Fukumoto confère une beauté austère à cette œuvre magistrale, à la fois intemporelle et moderne, qui redéfinit les codes du film de samouraï avec agilité et subtilité.
Abus de Ciné
Une belle direction artistique pour un solide conte sur l'honneur.
Culturopoing.com
Œuvre au récit touffu mais toujours limpide, répétons-le parfois formellement stupéfiante mais ne recherchant jamais la virtuosité gratuite, se calant sur le rythme languide du jeu de stratégie qui lui donne son titre, "Le Joueur de go" s’avère donc simultanément très classique par l’usage de ses codes génériques diégétiques, propres au chambara, et totalement original par sa façon de décentrer sa violence graphique (pourtant inévitable puisqu’elle est consubstantielle du genre) vers l’affrontement guerrier symbolique du plateau de jeu.
Franceinfo Culture
D'un visuel somptueux, mais sobre, tenu par une dramaturgie quasi shakespearienne, "Le Joueur de go" interpelle par son univers autant que son intrigue portée par des personnages envoûtants, au carrefour du polar et d'un portrait psychologique, projetés dans un exotisme fascinant.
L'Humanité
En définitive, un film de cape et d’épée un peu à la manière de A Touch of Zen (1971) de King Hu, à la fois imagé et exotique, mais doublé d’une réflexion profonde sur l’honneur et l’abnégation. Que demander de plus ?
L'Obs
Au foisonnement parfaitement orchestré du scénario entremêlant vengeance, course contre la montre, rivalités mortifères et silencieuses parties de go répond sa mise en scène qui, tout en mouvements précis et puissamment dramaturgiques, sublime littéralement le film.
La Septième Obsession
Sans doute en écho aux déplacements des pions (la main du joueur ne les pousse pas, mais survole le cadre de jeu avant de les poser de manière assurée), Kazuya Shiraishi construit de magnifiques travellings retenus, maîtrisés et stratégiques, élaborant une tension captivante, avant de les conclure tel un point d’exclamation par un cadre fixe à l’impact d’une intense intelligence dramaturgique. Finement joué.
La Tribune Dimanche
La mise en scène qui fait la part belle à de splendides travellings est à la hauteur de ce récit. Et le film s'inscrit alors dans la plus pure tradition des grands classiques du cinéma japonais à la Kurosawa.
Le Point
Plastiquement éblouissant, filmé avec élégance en cinémascope, véritable invitation au voyage à travers une parfaite reconstitution du Japon pré-moderne, Le Joueur de Go doit être vu en salle de toute urgence.
Les Echos
Dans le Japon antique du « Joueur de Go », un ancien samouraï affûte son sabre pour réparer une injustice. A voir.
Mad Movies
Un beau mélodrame en costumes, dont la mise en scène impeccable puise aux meilleures sources.
Voici
Une histoire captivante d'honneur et de vengeance.
aVoir-aLire.com
Une œuvre de cinéma absolument magnifique d’un point de vue visuel.
CinemaTeaser
L’entreprise est aussi louable qu’enrichissante, mais les enjeux dramatiques tardent à s’y imposer, la construction narrative, parfois maladroite et abrupte, toute en rebonds soudains et revirements forcés, donnant la sensation que le film navigue à vue. Pourtant, impossible de ne pas être captivé (...).
Le Journal du Dimanche
On ne boude pas son plaisir devant ce drame japonais, où on règle les conflits en s’affrontant au sabre ou au jeu de go.
Le Monde
Le Joueur de go s’apprécie donc pour ce qui constitue aussi ses propres limites : les références d’une culture et d’une morale formelle qui ne sont plus et dont il livre une expression spectrale parce que, peut-être, trop respectueuse.
Le Parisien
Formidablement interprété, trop lent dans sa première heure avec ces longues parties de go, le film connaît une accélération salutaire dans la seconde, avec d’intenses combats au sabre remarquablement mis en scène.
Les Fiches du Cinéma
Malgré un aspect très programmatique, le film parvient à émouvoir et à retranscrire le malaise profond du samouraï.
Les Inrockuptibles
Parfois très élégant [...], parfois trivial [...], ce film très traditionnel, presque académique dans sa facture, se laisse regarder avec curiosité, plaisir et amusement, comme un bon vieux film de cape et d’épée.
Nice-Matin
Du pur cinéma nippon donc, qui peut même être perçu comme un hommage aux maîtres du genre. De quoi ravir les amateurs.
Paris Match
Moins sanglant que "Zaitoichi", plus zen que tranchant, "Le Joueur de Go" de Kazuya Shiraishi s'adresse aux amoureux de la culture nippone.
Positif
Comme il n’est question que de règles et d’obligations, celles du jeu et celles de la féodalité, tout devrait être simple et clair, mais "Le Joueur de go", œuvre étrange et inquiète, épouse à la fois la tradition et sa trahison, dans une version paradoxale du film historique japonais, soutenue par une mise en scène originale.
Sud Ouest
Le résultat est d’une grande beauté plastique, mais le récit, structuré par des parties de go, n’est pas toujours limpide, et se perd dans quelques longueurs.
Télé 2 semaines
On est happé par l’élégance de la mise en scène et la beauté de la direction artistique.
Télé 7 Jours
La reconstitution de l'époque contribue à la réussite de ce beau film sur le respect et l'honneur.
Télé Loisirs
Si l’histoire met un peu de temps à s’installer, ses enjeux dramatiques finissent par captiver.
Télérama
Mystère et action, on ne boude pas son plaisir devant ce divertissement élégant.
Première
La reconstitution d’époque n’a rien de compassé mais chaque rebondissement prend des plombes et rend artificielles les scènes où soudain tout s’accélère, à commencer par celles de combat qui se voudraient l’acmé du film. Il manque une signature à ce projet prisonnier des codes du genre.