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Les marques de l’hommage renforcent la mélancolie : les images que Tsang convoque sont de la même matière que le monde qu’elle réinvente, vouées à se voiler puis à se dissoudre dans la nuit implacable du présent.
Dans l’écoulement du plan se joue aussi celui des affects, cette arythmie mélancolique qui traduit le déracinement. Sur ce style plane tout du long la tutelle des nouvelles vagues taïwanaises, plus particulièrement le cinéma de Tsai Ming-liang, auquel fait signe la présence de Lee Kang-sheng, figure centrale de ses films.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La cinéaste, qui filme son quartier natal, se fait l’observatrice d’états discrets de l’exil contemporain. Procédant par imprégnation vaporeuse, "Blue Sun Palace" ne vise jamais l’ampleur du théorème ou du panorama circonstancié sur l’immigration, s’offrant avec la touchante modestie d’une aquarelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
De cette poignée de personnages, filmés avec douceur, souvent en plan séquence pour leur laisser le temps d’exister, Constance Tsang livre une lente réflexion sur l’exil, sur ceux qui refusent d’être prisonniers d’un lieu, d’une personne ou d’un sentiment.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Nul happy ending à la fin de la séance, un petit ventre mou dans la deuxième moitié, mais pour un premier rendez-vous avec une autrice à suivre, ce « Blue Sun Palace » mérite le détour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Même si le récit a tendance à s’étirer, on est touché par sa pudeur, son extrême délicatesse et son humanité, à travers le portrait d’individus déracinés.
On ressent la solitude de ces gens toujours écartelés entre deux mondes, la difficulté des rapports avec ceux qui sont restés au pays mais aussi la fragilité des liens tissés sur place. Dommage qu'un parti pris formel un peu rigide (de très longs plans séquences) empêche parfois la vie de circuler.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
L’aspect documentaire qui prévalait va dès lors laisser entrer pleinement la fiction, à travers le personnage de l’amant de la jeune femme assassinée qui se rapproche d’une de ses amies masseuses pour affronter le deuil et l’insoutenable absence ensemble. Le tout avec une grâce et douceur inouïe qui tranchent subtilement avec la violence des situations. Une réalisatrice à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Empruntant aux codes du film documentaire, Blue Sun Palace est un film formellement ambitieux, bien qu’un peu long. Mais cela fait aussi partie du projet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Un mélo sublime et délicat.
Cahiers du Cinéma
Les marques de l’hommage renforcent la mélancolie : les images que Tsang convoque sont de la même matière que le monde qu’elle réinvente, vouées à se voiler puis à se dissoudre dans la nuit implacable du présent.
Le Monde
Dans l’écoulement du plan se joue aussi celui des affects, cette arythmie mélancolique qui traduit le déracinement. Sur ce style plane tout du long la tutelle des nouvelles vagues taïwanaises, plus particulièrement le cinéma de Tsai Ming-liang, auquel fait signe la présence de Lee Kang-sheng, figure centrale de ses films.
Les Fiches du Cinéma
C’est un beau premier film que réalise Constance Tseng, dont l’écriture fait briller les personnages.
Les Inrockuptibles
Avec ce premier long métrage, présenté à la Semaine de la critique, la réalisatrice offre un beau mélodrame atmosphérique sur la solitude et le deuil.
Libération
La cinéaste, qui filme son quartier natal, se fait l’observatrice d’états discrets de l’exil contemporain. Procédant par imprégnation vaporeuse, "Blue Sun Palace" ne vise jamais l’ampleur du théorème ou du panorama circonstancié sur l’immigration, s’offrant avec la touchante modestie d’une aquarelle.
Ouest France
Un portrait tout en finesse.
CinemaTeaser
De cette poignée de personnages, filmés avec douceur, souvent en plan séquence pour leur laisser le temps d’exister, Constance Tsang livre une lente réflexion sur l’exil, sur ceux qui refusent d’être prisonniers d’un lieu, d’une personne ou d’un sentiment.
L'Obs
Nul happy ending à la fin de la séance, un petit ventre mou dans la deuxième moitié, mais pour un premier rendez-vous avec une autrice à suivre, ce « Blue Sun Palace » mérite le détour.
Le Journal du Dimanche
Même si le récit a tendance à s’étirer, on est touché par sa pudeur, son extrême délicatesse et son humanité, à travers le portrait d’individus déracinés.
Le Point
On ressent la solitude de ces gens toujours écartelés entre deux mondes, la difficulté des rapports avec ceux qui sont restés au pays mais aussi la fragilité des liens tissés sur place. Dommage qu'un parti pris formel un peu rigide (de très longs plans séquences) empêche parfois la vie de circuler.
Première
L’aspect documentaire qui prévalait va dès lors laisser entrer pleinement la fiction, à travers le personnage de l’amant de la jeune femme assassinée qui se rapproche d’une de ses amies masseuses pour affronter le deuil et l’insoutenable absence ensemble. Le tout avec une grâce et douceur inouïe qui tranchent subtilement avec la violence des situations. Une réalisatrice à suivre.
Télérama
Une chronique douce-amère sur le deuil et la renaissance, ou l’art de reprendre goût aux plaisirs simples.
aVoir-aLire.com
Empruntant aux codes du film documentaire, Blue Sun Palace est un film formellement ambitieux, bien qu’un peu long. Mais cela fait aussi partie du projet.