Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un convaincant portrait de l'Inde à travers le regard d'une femme en colère.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sandhya Suri s’empare de sa caméra pour dresser au travers de la fiction un tableau saisissant de ces réalités indiennes. Non pas dans un simple film à thèse, mais une œuvre d’une puissance engagée, à la fois lente et dense.
Femme Actuelle
par La rédaction
Comme un beau reportage de géo, cette fiction donne à voir la vie des femmes en Inde. Un voyage émouvant, réaliste et sensible.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
La cinéaste est dans le vrai avec cette propension à refuser les œillères, en filmant les compromissions et la rigidité d’une société de castes. Elle est dans le vrai en refusant une musique additionnelle qui viendrait souligner les émotions.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Isabelle Danel
Classique et élégant, malgré quelques longueurs, « Santosh » est d’une force remarquable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le film est formellement très soigné, jouant sur la lumière naturelle et les clairs-obscurs des intérieurs, qui lui donnent une puissance hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un polar glaçant et millimétré.
Le Figaro
par É.S.
Sandhya Suri enchevêtre habilement toutes les problématiques de l'Inde contemporaine : le système des castes, la diabolisation des musulmans, le patriarcat. Un tableau terrifiant de l'Inde de Narendra Modi, premier ministre nationaliste hindou en exercice depuis 2014, réélu en juin dernier pour un troisième mandat.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Belle surprise que ce film qui démarre comme un drame social poignant et bascule en thriller politique haletant, pour dénoncer le féminicide ordinaire en Inde, en particulier quand la victime est issue d’une caste inférieure.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film époustouflant sur l'Inde d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un film passionnant car son style, d’abord incertain, se précise et s’affirme en même temps que se révèle la vérité, et sur le même rythme.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Présenté lors du dernier Festival de Cannes aux côtés de deux autres films indiens mettant comme lui en scène des personnages féminins se débattant avec leur désir de liberté, Santosh est le récit d’une impasse mais incarne la promesse d’un renouveau du cinéma indien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Mêlant adroitement thriller pur et drame social, Sandhya Suri réussit à exposer toute une batterie de sujets brûlants – système des castes, persécution des musulmans – de manière à la fois très frontale et totalement lisible pour le spectateur non averti.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film indien implacable sur une femme flic qui illumine l’été cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Un premier long métrage emballant qui pose un regard riche en nuances sur la société indienne.
Positif
par Dominique Martinez
Scénario taillé au cordeau, pour ce sombre tableau où rien est théorique ni plaqué. Minutieuse, fluide et terriblement incarnée, la réalisation s'appuie sur une démarche documentaire.
Télérama
par Marie Sauvion
Réduisant les élites coupables à un arrière-plan systémique, le film captive grâce à son duo d’actrices, ses décors naturels accablés de chaleur, mais se distingue aussi, voire surtout, par de mémorables embardées hors piste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une belle découverte.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Santosh mérite véritablement d’être vu par le plus grand nombre. C’est aussi l’occasion de découvrir un cinéma d’auteur indien, peu ou mal connu en Europe, et de réfléchir aux enjeux de progrès social qui continuent de peser sur une majorité des pays dits émergents.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
À l’inverse de tant de cinéastes prompts à dénoncer la corruption et la violence comme des phénomènes extérieurs à leurs protagonistes (et à eux-mêmes), Sandhya Suri a le courage de les aborder comme une potentialité quasi universelle, une évidence qui prend par surprise, tant le manichéisme règne.
Le Monde
par Cl. F.
Cette mise en scène nous accroche à ce thriller sombre et féministe, bien qu’un peu démonstratif : l’émancipation à laquelle aspire Santosh en exerçant ce métier de justicière va forcément être douchée. Il n’empêche, ce premier long-métrage de fiction dévoile une cinéaste prometteuse, issue du documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Féminin dans son propos, ce film fascine tant par son récit finement construit que par le jeu de l'héroïne Shahana Goswami, brillante dans ses émotions sourdes. On est sans arrêt bousculé. C'est tout simplement réussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thierry Chèze
Si Santosh tient en haleine jusqu’à sa dernière image, ce duo- duel y est pour beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Un convaincant portrait de l'Inde à travers le regard d'une femme en colère.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sandhya Suri s’empare de sa caméra pour dresser au travers de la fiction un tableau saisissant de ces réalités indiennes. Non pas dans un simple film à thèse, mais une œuvre d’une puissance engagée, à la fois lente et dense.
Femme Actuelle
Comme un beau reportage de géo, cette fiction donne à voir la vie des femmes en Inde. Un voyage émouvant, réaliste et sensible.
L'Humanité
La cinéaste est dans le vrai avec cette propension à refuser les œillères, en filmant les compromissions et la rigidité d’une société de castes. Elle est dans le vrai en refusant une musique additionnelle qui viendrait souligner les émotions.
L'Obs
Classique et élégant, malgré quelques longueurs, « Santosh » est d’une force remarquable.
La Croix
Le film est formellement très soigné, jouant sur la lumière naturelle et les clairs-obscurs des intérieurs, qui lui donnent une puissance hypnotique.
Le Dauphiné Libéré
Un polar glaçant et millimétré.
Le Figaro
Sandhya Suri enchevêtre habilement toutes les problématiques de l'Inde contemporaine : le système des castes, la diabolisation des musulmans, le patriarcat. Un tableau terrifiant de l'Inde de Narendra Modi, premier ministre nationaliste hindou en exercice depuis 2014, réélu en juin dernier pour un troisième mandat.
Le Journal du Dimanche
Belle surprise que ce film qui démarre comme un drame social poignant et bascule en thriller politique haletant, pour dénoncer le féminicide ordinaire en Inde, en particulier quand la victime est issue d’une caste inférieure.
Les Echos
Un film époustouflant sur l'Inde d'aujourd'hui.
Les Fiches du Cinéma
Un film passionnant car son style, d’abord incertain, se précise et s’affirme en même temps que se révèle la vérité, et sur le même rythme.
Les Inrockuptibles
Présenté lors du dernier Festival de Cannes aux côtés de deux autres films indiens mettant comme lui en scène des personnages féminins se débattant avec leur désir de liberté, Santosh est le récit d’une impasse mais incarne la promesse d’un renouveau du cinéma indien.
Libération
Mêlant adroitement thriller pur et drame social, Sandhya Suri réussit à exposer toute une batterie de sujets brûlants – système des castes, persécution des musulmans – de manière à la fois très frontale et totalement lisible pour le spectateur non averti.
Marianne
Un film indien implacable sur une femme flic qui illumine l’été cinématographique.
Ouest France
Un premier long métrage emballant qui pose un regard riche en nuances sur la société indienne.
Positif
Scénario taillé au cordeau, pour ce sombre tableau où rien est théorique ni plaqué. Minutieuse, fluide et terriblement incarnée, la réalisation s'appuie sur une démarche documentaire.
Télérama
Réduisant les élites coupables à un arrière-plan systémique, le film captive grâce à son duo d’actrices, ses décors naturels accablés de chaleur, mais se distingue aussi, voire surtout, par de mémorables embardées hors piste.
Voici
Une belle découverte.
aVoir-aLire.com
Santosh mérite véritablement d’être vu par le plus grand nombre. C’est aussi l’occasion de découvrir un cinéma d’auteur indien, peu ou mal connu en Europe, et de réfléchir aux enjeux de progrès social qui continuent de peser sur une majorité des pays dits émergents.
Cahiers du Cinéma
À l’inverse de tant de cinéastes prompts à dénoncer la corruption et la violence comme des phénomènes extérieurs à leurs protagonistes (et à eux-mêmes), Sandhya Suri a le courage de les aborder comme une potentialité quasi universelle, une évidence qui prend par surprise, tant le manichéisme règne.
Le Monde
Cette mise en scène nous accroche à ce thriller sombre et féministe, bien qu’un peu démonstratif : l’émancipation à laquelle aspire Santosh en exerçant ce métier de justicière va forcément être douchée. Il n’empêche, ce premier long-métrage de fiction dévoile une cinéaste prometteuse, issue du documentaire.
Le Point
Féminin dans son propos, ce film fascine tant par son récit finement construit que par le jeu de l'héroïne Shahana Goswami, brillante dans ses émotions sourdes. On est sans arrêt bousculé. C'est tout simplement réussi.
Première
Si Santosh tient en haleine jusqu’à sa dernière image, ce duo- duel y est pour beaucoup.