Note moyenne
3,7
27 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

27 critiques presse

Le Monde

par Cl. F.

D’autres matériaux nourrissent la fibre mélancolique de l’œuvre – car on défie quiconque de ne pas être ému. Tel ce faux flash-back d’Alex incrusté dans le récit, en fait une vidéo de l’acteur Vito Sanz jeune, filmé dans la vraie vie par une amie et découvrant Paris, que Trueba transforme en archive des temps heureux.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Les Inrockuptibles

par Jacky Goldberg

Jonás Trueba compose une comédie de (peut-être) remariage absolument enchanteresse, aussi retorse que limpide en apparence, agissant comme un courant profond qui vous emporte sans crier gare au large.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Télérama

par Jérémie Couston

Après quinze ans de vie commune, ils fêtent leur séparation. Une pépite du disciple ibérique de Rohmer.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Bande à part

par Benoit Basirico

Jonás Trueba redéfinit les codes de la comédie romantique en mêlant audace narrative et exploration des émotions à travers le pari insolite de ses personnages en crise.

La critique complète est disponible sur le site Bande à part

Cahiers du Cinéma

par Charlotte Garson

Ainsi Trueba réussit-il à tresser à même le quotidien un state of the union (film de Capra que Cavell aurait pu inclure dans son corpus) à la fois doublé et réversible : le remariage affleure sous les préparatifs de séparation, mais la joie de ces préparatifs se teinte à son tour d’un sentiment de perte assumé.

Culturopoing.com

par Maryline Alligier

Comme si Trueba étudiait de film en film le cheminement des mêmes vies, à la manière d’une chronique intime, il utilise à nouveau Itsaso Arana et Vito Sanz déjà couple à l’écran dans Eva en août et Venez voir. Son titre original de Septembre sans attendre, Volveréis, nous invite avec douceur à attendre le retour de leur complicité, et avec elle le retour d’un des cinéastes aujourd’hui les plus réjouissants.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

Dernières Nouvelles d'Alsace

par Nathalie Chifflet

Une anti-romance irrésistible.

Elle

par Françoise Delbecq

Sous le couvert d'une comédie douce et romantique, le réalisateur signe un très joli film rempli d'amour.

La Croix

par La rédaction

Avec une mise en scène virtuose et vertigineuse où la vie et le cinéma se confondent, le très talentueux Jonás Trueba nous entraîne dans une comédie sur la confusion des sentiments.

La critique complète est disponible sur le site La Croix

Le Dauphiné Libéré

par Nathalie Chifflet

L'Espagnol Jonàs Trubea signe la comédie du couple la moins conventionnelle et la plus délectable vue depuis des lustres.

Le Figaro

par E.N

Septembre sans attendre a trop de charme pour risquer un orage. Dans un monde parfait, il serait sorti le 22 septembre. Cela ne tombait pas un mercredi. Il est impératif d'y aller, par tous les temps.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

Le Point

par Olivier Ubertalli

Avec Septembre peut attendre, il signe un beau conte d'automne sous influence rohmérienne. Une ode à la crise de la quarantaine et un éloge du couple.

La critique complète est disponible sur le site Le Point

Les Fiches du Cinéma

par Adèle Bossard-Giannesini

Jonás Trueba continue de parler des petits riens qui font le sel de la vie ; le charme des acteurs et de la mise en scène opère malgré un schéma narratif attendu.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Libération

par Sandra Onana

Retrouvant ses acteurs fétiches, le cinéaste espagnol signe une comédie douce-amère sur la fin d’un couple qui décide de célébrer sa rupture, jouant de la répétition des dialogues et des situations jusqu’au vertige.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Marie Claire

par Emily Barnett

Un long métrage à l'écriture fluide et aux dialogues ciselés.

Paris Match

par Yannick Vely

Sommes-nous devant la recréation d’un épisode de la vie sentimentale de Jonas Trueba ? Devant une rêverie nostalgique d’un amour défunt mal cicatrisé ? Le film est aussi beau que le chant du kora - le morceau Izao du groupe Les Egarés.

La critique complète est disponible sur le site Paris Match

Positif

par Chloé Caye

D'une comédie sur le couple, en passant par un drame sur la séparation, Septembre sans attendre se rêve film sur la renaissance du sentiment.

Sud Ouest

par Julien Rousset

Comédie romantique aux accents rohmériens, le dixième film de l’Espagnol Jonás Trueba, 42 ans, figure du nouveau cinéma espagnol avec Rodrigo Sorogoye est aussi brillant que charmant. À voir sans attendre.

La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

Critikat.com

par Josué Morel

Belle trouvaille de scénario, qui ouvre dans un premier temps sur un jeu formel assez précis. Mais Trueba réorganise progressivement la dynamique de l’écriture autour d’un dispositif plus artificiel.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Franceinfo Culture

par Thierry Fiorile

Admirateur de François Truffaut, auquel il rend hommage ici, le jeune réalisateur espagnol estime, comme son illustre aîné, que le cinéma est plus beau que la vie. (...) Sa compagne, Itsaso Arana, joue Ale, en couple depuis 15 ans avec Alex. Tous deux vivent dans le cinéma et tournent un film, qui est le film lui-même, une mise en abyme totale.

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

L'Obs

par Nicolas Schaller

D’abord stimulante, la mise en abyme (...) pèche par autosatisfaction et se mord la queue. "C’est intéressant, mais très long et répétitif", va jusqu’à commenter un des amis d’Ale en découvrant le montage de son nouveau film. En considérant ce niveau de lucidité, et au regard du beau générique de fin, on regrette que le vertige ne soit pas au rendez-vous.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Le Parisien

par Catherine Balle

On ne sait rien du passé d’Ale et Alex et on reste à la surface de cette romance (ou ex-romance ?)… Ces deux artistes qui citent Nietzsche, Kierkegaard et Liv Ullman sont charmants, mais on a l’impression de rester du côté théorique de leur histoire.

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Première

par Lucie Chiquer

Surprenant et mélancolique, Septembre sans attendre clôturera l’été en douceur.

La critique complète est disponible sur le site Première

Télé Loisirs

par Margot Loisel

Une mécanique de distanciation légèrement frustrante où les sentiments peinent à l'emporter sur la philosophie.

Voici

par D.B.

Dommage que les expérimentations méta qu'il mène sur le récit, bien qu'intéressantes, phagocytent très rapidement toute identification et toute émotion authentique, en dépit de formidables acteurs.

aVoir-aLire.com

par Gérard Crespo

Un synopsis insolite et une mise en scène élégante pour ce conte de fin d’été qui revisite Rohmer ou Hong Sang-soo. Malgré un air de déjà-vu, le film est recommandable.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Le Journal du Dimanche

par S. B.

Un exercice un peu bavard, vain et prévisible, mais plein de charme.

La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les meilleurs films de tous les temps