Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est un intéressant complément documentaire à la fiction la Zone d’intérêt, de Jonathan Glazer, sur la vie du commandant du camp d’extermination à Auschwitz, Rudolf Höss, en 1942-1943.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une leçon de courage qui laisse le souffle coupé.
Le Point
par La Rédaction
À travers cette rencontre inédite, deux générations sont confrontées à la banalité du mal définie par Hannah Arendt. Difficile de « pardonner ce qui est arrivé », selon Anita, qui confie malgré tout : « Il faut passer à l'étape suivante. Il ne s'agit pas de ce que nous avons fait, mais de ce que nous faisons maintenant. » Le conseil est d'actualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un documentaire glaçant sur les plaies ouvertes du vingtième siècle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Derrière son pitch clinquant, par sa mise en scène de la rencontre entre le fils de R. Höss et une survivante d’Auschwitz, une réflexion incisive sur les infiltrations du silence chez celles et ceux qui n’en finissent pas d’accuser le poids du passé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Sylvestre Picard
Le résultat se révèle assez fascinant, même si la forme du film est un peu trop tape-à-l’œil (...).
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
À l’heure où les peuples n’en finissent plus de se déchirer et où l’antisémitisme augmente, L’ombre du commandant fait figure d’œuvre d’utilité publique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par I.S.
Une chance finalement. Car, le temps long (2020-2023), a servi le film. Si la réalisatrice a décidé dès l'origine de mener les deux histoires en parallèle, celle de Hans Jürgen et de Kai Höss, respectivement fils et petit-fils du criminel de guerre, et celle de la survivante et de sa fille Maya, née après la guerre, elle ne pouvait imaginer que dans « un procédé organique », les deux parcours se rapprocheraient.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sylvestre Picard
Projet qui reste fascinant, ceci dit, moins dans son rappel de l'horreur du passé que dans l'exposition des ténèbres qui traînent encore aujourd'hui (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Ces émouvants et complexes protagonistes font tout le prix d'un film par ailleurs trop scénarisé à l'américaine et coupable de trop beaux travellings au crépuscule au-dessus d'Auschwitz [...].
Télérama
par Frédéric Strauss
L’exploration de la très étrange famille Höss perd, du coup, en profondeur. Et l’évocation des destins croisés ouvre sur des moments voulus d’emblée émouvants, alors que ceux qui interviennent ont été endurcis par l’horreur. Ces réserves n’empêchent pas qu’on soit impressionné par tout ce que charrie ce retour sur le passé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
C’est un intéressant complément documentaire à la fiction la Zone d’intérêt, de Jonathan Glazer, sur la vie du commandant du camp d’extermination à Auschwitz, Rudolf Höss, en 1942-1943.
Le Journal du Dimanche
Une leçon de courage qui laisse le souffle coupé.
Le Point
À travers cette rencontre inédite, deux générations sont confrontées à la banalité du mal définie par Hannah Arendt. Difficile de « pardonner ce qui est arrivé », selon Anita, qui confie malgré tout : « Il faut passer à l'étape suivante. Il ne s'agit pas de ce que nous avons fait, mais de ce que nous faisons maintenant. » Le conseil est d'actualité.
Les Echos
Un documentaire glaçant sur les plaies ouvertes du vingtième siècle.
Les Fiches du Cinéma
Derrière son pitch clinquant, par sa mise en scène de la rencontre entre le fils de R. Höss et une survivante d’Auschwitz, une réflexion incisive sur les infiltrations du silence chez celles et ceux qui n’en finissent pas d’accuser le poids du passé.
Ouest France
Le résultat se révèle assez fascinant, même si la forme du film est un peu trop tape-à-l’œil (...).
aVoir-aLire.com
À l’heure où les peuples n’en finissent plus de se déchirer et où l’antisémitisme augmente, L’ombre du commandant fait figure d’œuvre d’utilité publique.
Le Figaro
Une chance finalement. Car, le temps long (2020-2023), a servi le film. Si la réalisatrice a décidé dès l'origine de mener les deux histoires en parallèle, celle de Hans Jürgen et de Kai Höss, respectivement fils et petit-fils du criminel de guerre, et celle de la survivante et de sa fille Maya, née après la guerre, elle ne pouvait imaginer que dans « un procédé organique », les deux parcours se rapprocheraient.
Première
Projet qui reste fascinant, ceci dit, moins dans son rappel de l'horreur du passé que dans l'exposition des ténèbres qui traînent encore aujourd'hui (...).
Transfuge
Ces émouvants et complexes protagonistes font tout le prix d'un film par ailleurs trop scénarisé à l'américaine et coupable de trop beaux travellings au crépuscule au-dessus d'Auschwitz [...].
Télérama
L’exploration de la très étrange famille Höss perd, du coup, en profondeur. Et l’évocation des destins croisés ouvre sur des moments voulus d’emblée émouvants, alors que ceux qui interviennent ont été endurcis par l’horreur. Ces réserves n’empêchent pas qu’on soit impressionné par tout ce que charrie ce retour sur le passé.