Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Ce qui pourrait relever du conceptuel aboutit à une pratique passionnante et à un documentaire de haute intelligence.
Positif
par Nicolas Geneix
Image et montage ne prennent pas leur temps, mais le donnent aux concernés, placent face à face les corps et les regards, puis réunissent dans un moment de danse électro-dionysiaque soignant et soignés.
Le Monde
par J.-F. R.
En cela, par l’exceptionnalité de la situation filmée, Les Docteurs de Nietzsche se distingue du projet de la mise à nu politique d’une institution telle que le concevaient les films de Depardon.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Bastien Assié
Mais, aussi intéressant que ce pas de côté puisse être, on garde plutôt l’impression d’un converti donneur de leçon. Et peinant à trouver une direction au milieu de la compilation d’échanges, le documentaire laisse une place floue au philosophe moustachu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Ekchajzer
Si Jorge Leandro Colás parvient à rendre compte de l’intériorité de quelques patients du « médecin-philosophe » jusqu’à nous les rendre attachants, il reste malheureusement à la surface de son sujet, faute d’un discours un peu plus charpenté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Ce qui pourrait relever du conceptuel aboutit à une pratique passionnante et à un documentaire de haute intelligence.
Positif
Image et montage ne prennent pas leur temps, mais le donnent aux concernés, placent face à face les corps et les regards, puis réunissent dans un moment de danse électro-dionysiaque soignant et soignés.
Le Monde
En cela, par l’exceptionnalité de la situation filmée, Les Docteurs de Nietzsche se distingue du projet de la mise à nu politique d’une institution telle que le concevaient les films de Depardon.
Première
Mais, aussi intéressant que ce pas de côté puisse être, on garde plutôt l’impression d’un converti donneur de leçon. Et peinant à trouver une direction au milieu de la compilation d’échanges, le documentaire laisse une place floue au philosophe moustachu.
Télérama
Si Jorge Leandro Colás parvient à rendre compte de l’intériorité de quelques patients du « médecin-philosophe » jusqu’à nous les rendre attachants, il reste malheureusement à la surface de son sujet, faute d’un discours un peu plus charpenté.