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Produit par Michael Nesmith, un cocktail explosif entre polar et fantastique! Aux Etats-Unis, les "Repo Men" sont chargès de retrouver des vèhicules impayès par leurs acquèreurs! ils travaillent dans la plus totale illègalitè! Passionnè par la culture punk, Alex Cox, futur auteur du passionnant "Sid et Nancy", une biographie filmèe des Sex Pistols, plonge deux "Repo Men" dans une aventure particulièrement dèroutante et satirique! Une sèrie de personnages hors du commun se lancent avec eux à la poursuite d'une automobile atomique, une Chevrolet de 1964 qui recèle un secret qu'on est pas près d'oublier: agents secrets, marginaux, savant fou et même des extraterrestres! Le jeune et dèbutant Emilio Estevez incarne un jeune punk attachant et donne la rèplique au vètèran Harry Dean Stanton qui se fait pour l'occasion son père spirituel! On rit très souvent tellement tout est farfelu et invraisemblable! Un film culte des annèes 80 et une bande originale extra dont une chanson ècrite par Iggy Pop en personne...
Film vaguement punk et gentiment rebelle qui repose dès le début sur une contradiction entre la volonté de délivrer un message contestaire prenant pour cible la société de consommation que le reaganisme portait alors à son paroxysme et les agissements du héros punk qui, en tant que repo man, donc de recouvreur de dettes, participe de fait à l'aliénation qu'impose cette société. Or le film ne s'interroge que trop peu sur la part de responsabilité individuelle de ses personnages pour offrir un discours consistant allant au-delà de la posture.
Au niveau divertissement, le film jongle constament entre comédie et fantastique de façon assez plaisante même si le réalisateur finit par s'emmeler les pinceaux et, ne sachant comment retomber sur ses pattes, livre une fin décevante.
Au niveau divertissement, le film jongle constament entre comédie et fantastique de façon assez plaisante même si le réalisateur finit par s'emmeler les pinceaux et, ne sachant comment retomber sur ses pattes, livre une fin décevante.
7eme critique
Un scénario très spécial, un doublage français infecte, des dialogues impensables, des comportements affligeants, "Repo man" est bel et bien mauvais. Ce film barré et comique, sans pour autant être drôle, nous repousse sans cesse par son condensé de laideurs.
AMCHI
Repo Man avait tout pour être un sympathique petit film mais rapidement il semble mal maîtrisé, les effets comiques donnent l'impression d'être involontaires, Repo Man se veut transgressif et cool à la fois mais le fantastique est un élément qui s'intègre maladroitement au récit. Sans grand intérêt.
Emilio Estevez est un jeune punk qui se fait licencier de son emploi d'empileur de rayons dans un supermarché et se fait piéger par un vieux routier pour devenir un récupérateur de voitures. Ce qui suit est une histoire confuse, ennuyeuse et sans intérêt de toutes sortes de personnages misérables sur la piste d'une Chevy Malibu 1964 avec une prime en une cargaison très mystérieuse. Mais les vraies faiblesses sont la façon dont les éléments de science-fiction sont montrés. Je sais que je vais passer pour un ringard en disant cela mais il n'y a tout simplement rien à aimer chez ce type. Il agit comme un punk mais il admet lui-même qu'il est un gamin de banlieue qui s'ennuie, il traite ses partenaires sexuels comme des déchets et il ne fait rien pour aider les autres. C'est juste un gâchis de vie qui bizarrement est récompensé à la fin du film probablement pour attirer les sections sans valeur du public adolescent...
Repo Man est un film bien étrange et difficile à cerner ; passant de la petite comédie social au délire spatial. Pour mon compte, ce film m'a complètement laissé de marbre.
Malgré la présence à l'écran d'Harry Dean Stanton, je n'ai pas vraiment adhéré aux personnages, à commencer par le personnage principal, Otto Maddox et à son environnement punk bien terne et ennuyeux. Le délire avec la voiture de l'espace tranche beaucoup avec l'univers de la comédie sociale que semblait être ce film.
Bof, rien de bien intéressant dans ce long-métrage.
Malgré la présence à l'écran d'Harry Dean Stanton, je n'ai pas vraiment adhéré aux personnages, à commencer par le personnage principal, Otto Maddox et à son environnement punk bien terne et ennuyeux. Le délire avec la voiture de l'espace tranche beaucoup avec l'univers de la comédie sociale que semblait être ce film.
Bof, rien de bien intéressant dans ce long-métrage.
Ce film avait une vingtaine d'année d'avance sur son époque, mais malheureusement pas dans le bon sens du terme. Alors évidemment tous les éléments sont là pour pouvoir lui coller la norme "Film Culte" au cul, le film est assez méconnu en dehors des frontières ricaines, il est adulé par un cercle très restreint, il a le droit à plusieurs analyses et critiques sur le net, l'ambiance bande-dessiné pour ado etc... Ce film est déjà le prototype de l'œuvre qui se plait à mélanger les différents courants de la culture populaire dans un joyeux bordel qui part dans tous les sens mais qui ne va nul part. Toutes les sous-intrigues sont inexploitées au même titre que tous les personnages, c'est pas tout de vouloir faire cohabiter la science fiction via une vague histoire d'entité extra-terrestre avec un contexte plus réaliste et terre à terre en l'occurrence le monde des repo-men, encore faut il trouver le juste équilibre entre tous ces éléments pour donner un peu de sens au film. De plus, Alex Cox étant lui-même un ancien repo-man, la partie concernant ce métier est bien plus réussie et intéressante que le reste, ce qui n'a rien d'étonnant dans le sen où ce boulot de récupérateur de voiture à un potentiel hautement cinégénique.
Film complètement punk-psychédélique et déjanté mais malheureusement peu rythmé et sans réelle ligne directrice. Ça part dans tous les sens, n'avance pas et au final donne quelque chose d'étrange mais pas vraiment réjouissant. Un film culte pour certains, mais ça reste à confirmer malgré de bons acteurs...
Repo man arrive avec quelques dfficultés d'égayer notre curiosité.Devant un scénario creux et une mise en scéne qui l'est tout autant,on a du mal à rester jusqu'à la fin.Mais les choix de certains chemins dans le récit rend finalement repo man original et laisse découvrir un acteur en herbe mais qui casse pas des briques pour l'instant Emilio Estevez.
"Repon Man" fait parti des films les plus bizarres que j'ai pu voir, mais je dois avouer que je n'en suis pas sorti pleinement convaincu. Pourquoi ce film est-il si bizarre ? Parce que c'est un drôle de mélange de plein de trucs: vols de voitures, critique de la société de consommation, une histoire d'arme de destruction massive et d'extra-terrestres... Et le tout donne forcément quelque chose de pas commun, mais qui n'est malheureusement pas très bien lié, donc au final trop peu consistant. Les différents sujets ne sont pas suffisamment développés, on dirait plus une sorte de gros trip cinématographique américain avec des effets spéciaux très cheap. Vraiment étrange comme film, presque abstrait.
Bien barré avec une intrigue tordue, Repo-Man régalera les amateurs de trucs étranges qui mélangent les genres. Une bizarrerie bien succulente.
MMh, mouais, m'okay. Il est original effectivement, mais la partie science-fiction n'a pas trop d'intérêt dans le film, les personnages manquent de profondeur, même le personnage principal est pas évident à accrocher. Je n'ai pas trop compris le propos d'Alex Cox. Mise à l'honneur du punk ? Bof ... les répliques sont consensuelles, le propos est constamment partagé entre critique de la société (très sommaire et ma foi peu argumentée et moralisme à deux balles, faisant passer le mouvement punk pour un milieu d'abrutis, enfin .. .c'est l'impression que ça m'a donné) TRop long, mauvais jeu, rythme lassant ...
J'ai aimé la bande son et ai découvert le métier de repo-man. C'est déjà bien !
Si vous voulez du punk, du vrai, avec une véritable critique de la société (mais britannique cette fois) allez voir du côté de Made in Britain d'Alan Clarke... c'est tout aussi vieux, et ça prend vraiment aux tripes !
J'ai aimé la bande son et ai découvert le métier de repo-man. C'est déjà bien !
Si vous voulez du punk, du vrai, avec une véritable critique de la société (mais britannique cette fois) allez voir du côté de Made in Britain d'Alan Clarke... c'est tout aussi vieux, et ça prend vraiment aux tripes !
Film culte. Repo man était top tendance à l'époque sur les campus américains. C'est un mélange de film punk/ road movie/sci-fi avec des références au "Kiss me deadly" d'Aldrich et Iggy Pop sur la bande son. Emilio Estevez et sa punkitude et Harry Dean Stanton tout simplement superbe.
“The more you drive, the less intelligent you are !”
“Repo Man”, d’Alex Cox, en voilà un drôle de film !
Quoi dire de cet ovni cinématographique de 1984, si ce n’est qu’il pourrait s’agir du prologue officieux du “They Live”, “Invasion Los Angeles” de John Carpenter sorti en 1988. Tout comme “Big John”, pour son brûlot politico-science-fictionnel, Alex Cox arpente lui aussi les ruelles de la cité des anges pour filmer l’errance d’une population de laissés-pour-compte et de marginaux broyés par le système ultralibéral reaganien des années 80. Cette peinture sociale - plutôt typique des longs-métrages des seventies - servira de point de départ à un récit complètement loufoque fait de punks braqueurs, de Repo Men (récupérateurs de créances non-honorées), d’extraterrestres dans le coffre d’une Chevy Malibu 1964 et d’une unité de “Men and Woman in Black” ! Alex Cox se focalise pourtant sur un certain Otto Maddox (Emilio Estevez), punk pogoteur désabusé (pléonasme), qui vient de perdre son travail et sa copine. Pour couronner le tout, son père et sa mère ont donné leurs âmes et surtout leurs dernières économies à un télé-évangéliste ! Ce qui permet au film de fustiger les croyances en tous genres, qu’elles soient religieuses ou autres ! Pour l’heure, c’est No Futur pour Otto, avant de faire la connaissance d’un certain Bud (Génial Harry Dean Stanton). Employé par une société de recouvrement, Bud est chargé de récupérer la ou les voitures des mauvais payeurs. Celui-ci va initier Otto au métier de Repo Man. À travers les pérégrinations de ces récupérateurs de véhicules - dont Otto s’y retrouve mêlé à son insu - Alex Cox en profite pour dézinguer ce signe extérieur de richesse - ce véritable culte - qu’est l’automobile aux Etats-Unis. Mais pas seulement, car les Repo Men sont les créatures de Frankenstein de l’Amérique - ou plutôt de l’Occident de l’ultra-mercantilisme - poussant les citoyens à toujours plus s’endetter, à toujours plus consommer... Les prémices de l’invasion de Carpenter sont bien là ! Pour qui aime le cinéma posé et ordonné, la vision d’Alex Cox peut ressembler à un foutoir sans nom, mais force est de constater que “Repo Man”- malgré toutes ses imperfections - reste une intéressante proposition de cinéma !
“Repo Man”, d’Alex Cox, en voilà un drôle de film !
Quoi dire de cet ovni cinématographique de 1984, si ce n’est qu’il pourrait s’agir du prologue officieux du “They Live”, “Invasion Los Angeles” de John Carpenter sorti en 1988. Tout comme “Big John”, pour son brûlot politico-science-fictionnel, Alex Cox arpente lui aussi les ruelles de la cité des anges pour filmer l’errance d’une population de laissés-pour-compte et de marginaux broyés par le système ultralibéral reaganien des années 80. Cette peinture sociale - plutôt typique des longs-métrages des seventies - servira de point de départ à un récit complètement loufoque fait de punks braqueurs, de Repo Men (récupérateurs de créances non-honorées), d’extraterrestres dans le coffre d’une Chevy Malibu 1964 et d’une unité de “Men and Woman in Black” ! Alex Cox se focalise pourtant sur un certain Otto Maddox (Emilio Estevez), punk pogoteur désabusé (pléonasme), qui vient de perdre son travail et sa copine. Pour couronner le tout, son père et sa mère ont donné leurs âmes et surtout leurs dernières économies à un télé-évangéliste ! Ce qui permet au film de fustiger les croyances en tous genres, qu’elles soient religieuses ou autres ! Pour l’heure, c’est No Futur pour Otto, avant de faire la connaissance d’un certain Bud (Génial Harry Dean Stanton). Employé par une société de recouvrement, Bud est chargé de récupérer la ou les voitures des mauvais payeurs. Celui-ci va initier Otto au métier de Repo Man. À travers les pérégrinations de ces récupérateurs de véhicules - dont Otto s’y retrouve mêlé à son insu - Alex Cox en profite pour dézinguer ce signe extérieur de richesse - ce véritable culte - qu’est l’automobile aux Etats-Unis. Mais pas seulement, car les Repo Men sont les créatures de Frankenstein de l’Amérique - ou plutôt de l’Occident de l’ultra-mercantilisme - poussant les citoyens à toujours plus s’endetter, à toujours plus consommer... Les prémices de l’invasion de Carpenter sont bien là ! Pour qui aime le cinéma posé et ordonné, la vision d’Alex Cox peut ressembler à un foutoir sans nom, mais force est de constater que “Repo Man”- malgré toutes ses imperfections - reste une intéressante proposition de cinéma !
bon film. bon casting, et les acteurs jouent trés bien. (de plus, j'adore forest whitaker )bande son super. et bien sûr, la fin ! (qu'il ne faut pas dévoiler pour ceux qui n'ont pas vu le film.Biensûr il faut aimer la science fiction. Pour moi, c'est ça le cinéma, quelque chose qui nous change de la vie de tous les jours. marre de ces film français sur "le couple" et ses problèmes. vive le cinéma américain.
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