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Votre avis sur Cannibal Ferox ?
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Yannickcinéphile
Cannibal Ferox ne fait pas dans l’originalité, c’est un métrage qui surfe évidemment sur le succès de Cannibal Holocaust, proposant une histoire très proche et un traitement qui est quasi-identique. Autant dire que ma note tient compte de ce décalque trop marquée.
En soit le film n’est pas si mal fait. Lenzi est un réalisateur inégal, mais un faiseur qui peut se débrouiller, surtout dans le registre de l’horreur qui tâche avec 0 subtilité ! Cannibal Ferox est assez riche en scènes gores bien violentes, les amateurs seront ravis, même si finalement ce n’est pas non plus omniprésents. Par contre si les scènes mettant en avant les humains sont assez bien faites, les scènes avec des animaux sont introduites un peu n’importe comment comme pour occuper et meubler une première partie qui n’a pas grand-chose à proposer ! En effet, si l’histoire s’installe vraiment dans la dernière demi-heure environ, pendant plus de la moitié du film on suit les mésaventures du groupe qui manquent singulièrement de relief. On s’ennuie plutôt à cause de personnages fades et d’un manque d’enjeux certains. Et certains rebondissements sont tout de même assez peu vraisemblables (notamment le glissement de caractère d’un des personnages). Finalement le film se rattrape dans sa dernière partie rythmée et horrifique, mais on est loin de l’efficacité brute et de l’intensité de Cannibal Holocaust.
Visuellement et musicalement parlant Cannibal Ferox c’est encore une fois du décalque de Cannibal Holocaust. Musique qui alterne entre douceur et pesanteur, cherchant un coup à angoisser un coup à rasséréner, le procédé est beaucoup trop copié, et en moins bien, pour convaincre d’une quelconque manière. Sur la forme Cannibal Ferox propose tout de même de beaux décors, une photographie un peu grise mais qui reste plus qu’honorable, et la mise en scène de Lenzi valorise indéniablement les scènes horrifiques. Son travail est un peu roide, on sent aussi l’influence de Deodato, mais il emballe son produit assez proprement, et le travail sur les effets visuels est à saluer.
Le casting ne retient pas foncièrement l’attention. Des actrices peu farouches prêtent à se déshabiller mais qui n’ont vraiment pas un jeu mémorable (la brune est terriblement monolithique quand même !), des acteurs soit en surjeu radical (le méchant !) soit d’une fadeur étrange compte tenu des mésaventures qu’ils traversent, je n’ai pas vraiment trouvé de quoi me satisfaire. Reste les Indiens, assez authentiques pour le coup, mais heureusement qu’ils sont là car le casting principal n’a pas l’efficacité de celui de Cannibal Holocaust où l’on retrouve d’ailleurs à peu près les mêmes types de personnages.
Honnêtement Cannibal Ferox est un décalque pas si mal fichu de Cannibal Holocaust, dans le sens où l’on retrouve certains procédés qui ont fait leur preuve, des décors et des effets gores à la hauteur et dans le sens où Lenzi ne se vautre pas. Maintenant ce n’est qu’une copie, et plutôt moins bien que l’original, donc ma note va rester assez basse. Une alternative éventuelle à ceux qui n’ont pas le film de Deodato sous la main et qui voudrait découvrir les films de cannibales italiens, mais entre les deux le choix est vite fait ! 2.5
En soit le film n’est pas si mal fait. Lenzi est un réalisateur inégal, mais un faiseur qui peut se débrouiller, surtout dans le registre de l’horreur qui tâche avec 0 subtilité ! Cannibal Ferox est assez riche en scènes gores bien violentes, les amateurs seront ravis, même si finalement ce n’est pas non plus omniprésents. Par contre si les scènes mettant en avant les humains sont assez bien faites, les scènes avec des animaux sont introduites un peu n’importe comment comme pour occuper et meubler une première partie qui n’a pas grand-chose à proposer ! En effet, si l’histoire s’installe vraiment dans la dernière demi-heure environ, pendant plus de la moitié du film on suit les mésaventures du groupe qui manquent singulièrement de relief. On s’ennuie plutôt à cause de personnages fades et d’un manque d’enjeux certains. Et certains rebondissements sont tout de même assez peu vraisemblables (notamment le glissement de caractère d’un des personnages). Finalement le film se rattrape dans sa dernière partie rythmée et horrifique, mais on est loin de l’efficacité brute et de l’intensité de Cannibal Holocaust.
Visuellement et musicalement parlant Cannibal Ferox c’est encore une fois du décalque de Cannibal Holocaust. Musique qui alterne entre douceur et pesanteur, cherchant un coup à angoisser un coup à rasséréner, le procédé est beaucoup trop copié, et en moins bien, pour convaincre d’une quelconque manière. Sur la forme Cannibal Ferox propose tout de même de beaux décors, une photographie un peu grise mais qui reste plus qu’honorable, et la mise en scène de Lenzi valorise indéniablement les scènes horrifiques. Son travail est un peu roide, on sent aussi l’influence de Deodato, mais il emballe son produit assez proprement, et le travail sur les effets visuels est à saluer.
Le casting ne retient pas foncièrement l’attention. Des actrices peu farouches prêtent à se déshabiller mais qui n’ont vraiment pas un jeu mémorable (la brune est terriblement monolithique quand même !), des acteurs soit en surjeu radical (le méchant !) soit d’une fadeur étrange compte tenu des mésaventures qu’ils traversent, je n’ai pas vraiment trouvé de quoi me satisfaire. Reste les Indiens, assez authentiques pour le coup, mais heureusement qu’ils sont là car le casting principal n’a pas l’efficacité de celui de Cannibal Holocaust où l’on retrouve d’ailleurs à peu près les mêmes types de personnages.
Honnêtement Cannibal Ferox est un décalque pas si mal fichu de Cannibal Holocaust, dans le sens où l’on retrouve certains procédés qui ont fait leur preuve, des décors et des effets gores à la hauteur et dans le sens où Lenzi ne se vautre pas. Maintenant ce n’est qu’une copie, et plutôt moins bien que l’original, donc ma note va rester assez basse. Une alternative éventuelle à ceux qui n’ont pas le film de Deodato sous la main et qui voudrait découvrir les films de cannibales italiens, mais entre les deux le choix est vite fait ! 2.5
🎬 RENGER 📼
Juste avant le chef d’oeuvre de Ruggero Deodato : Cannibal Holocaust (1981), Umberto Lenzi nous donnait lui aussi sa vision des choses avec Cannibal Ferox (1980), énième film gore/trash sur le cannibalisme, tendance hyper réaliste et résolument incorrect.
Ici, c’est un groupe de jeunes qui se rendent en Amazonie à la rencontre d’une tribu anthropophage. Hélas, leur voyage ne va pas se dérouler comme prévu et va tourner au cauchemar intégral en devenant le repas de la tribu.
Scènes sanguinolentes, éventrations, mutilations, coupages à la machette, tortures sur des animaux et des humains, sans oublier le final (suspension d’un corps de femme par les seins à l’aide de crochets), bref, Umberto Lenzi ne fait pas dans la dentelle, mais le résultat est tout de même moins vomitif que Cannibal Holocaust (1981).
Le Bis Italien dans toute sa splendeur, à réserver à un public averti et majeur !
Ici, c’est un groupe de jeunes qui se rendent en Amazonie à la rencontre d’une tribu anthropophage. Hélas, leur voyage ne va pas se dérouler comme prévu et va tourner au cauchemar intégral en devenant le repas de la tribu.
Scènes sanguinolentes, éventrations, mutilations, coupages à la machette, tortures sur des animaux et des humains, sans oublier le final (suspension d’un corps de femme par les seins à l’aide de crochets), bref, Umberto Lenzi ne fait pas dans la dentelle, mais le résultat est tout de même moins vomitif que Cannibal Holocaust (1981).
Le Bis Italien dans toute sa splendeur, à réserver à un public averti et majeur !
Lorsqu'on dit que "Cannibal Ferox" est specialement pour les personnes averties ce n'est pas pour rien. Comme la plupart des films cannibales, il contient un grand lot de scènes gores particulièrement choquantes pour les sensibles avec une grande cruautée (Oeil arraché, éventration, crane explosé à la machette, et enfin la fameuse scène culte de la femme suspendu par des crochets plantés dans ses seins) ainsi que plusieurs meurtre d'animaux provoqués par l'homme et par la nature elle-meme qui montre les lois de la jungle. Bien entendu les gens qui se plaignent considèrent les films comme "Le Dernier Monde Cannibale, Cannibal Holocaust et Cannibal Ferox comme de simple massacre d'animaux. Et pensez-vous que l'homme est un être sage ? Meme si la morale est la même que Cannibal Holocaust (la violence engendre la violence), Cannibal Ferox montre bien que l'homme blanc est prétencieux, provoquateur et cruel envers ce qui ne rentre pas dans le "cercle" que l'homme appelle la civilisation et que la cause de ces scènes finales atroces sont dû à sa propre cruauté envers la tribu. Le tout souvent accompagné de belles musiques agréables à entendre, un réalisme incroyable même aujourd'hui à propos des effets gores lors des scènes sanguinolentes et une histoire de survival qui, bien que classique, reste trépidante. "Cannibal Ferox" est une série B malheureusement trop sous-estimé et juger trop vite par rapport à ces meurtres réels d'animaux, seul les personnes très avertis et majeurs peuvent avoir la curiosité de visionner cette perle d'Umberto Lenzi (Cannibalis, Secte des Cannibales, L'avion de l'Apocalypse), les autres devront s'obstiner. Le film reste moins bien que le chef d'oeuvre Cannibal Holocaust (qui a été interdit quand meme dans une soixantaine de pays) mais il saura satisfaire les fans du sous-genre cannibale avec son réalisme éternellement surprenant, sa mise en scène correct digne d'une bonne serie B et son lot de scènes très gores qui justifient parfaitement la censure et l'interdiction dans un trentaine de pays qu'il a reçu à sa sortie."Cannibal Ferox" est un film d'horreur-aventure qui mérite un peu plus de respect et de satisfaction. 4/5
AMCHI
Moins minable que son catastrophique L'Avion de l'apocalypse Lenzi signe ici un film de cannibales comportant sont lot de scènes gores mais finalement moins choquant que le fameux Cannibal holocaust qui reste la référence du genre. C'est une série B plutôt sympa à suivre si on aime le genre par contre on regrettera des scènes de cruauté inutile envers des animaux (notamment cette espèce de fourmilier complaisamment filmé entrain de se faire broyer par un anaconda) ; on ne peut s'empêcher de faire la comparaison avec le film de Deoddato et à ce niveau Cannibal Ferox est inférieur car le film de Lenzi n'a pas cette atmosphère lourde et étouffante de Cannibal Holocaust. Mais dans l'ensemble ce Cannibal ferox est pour du bis pas mal foutu, les scènes de tortures ont des trucages toujours efficaces de nos jours.
Surfant sur le sucés (contesté) de son père Cannibal Holocaust, ce plagiat est bien pire finalement. Même intro , un petit groupe d'amis vont en Amazonie voir si les cannibales existent (??) , même scénario sans queue ni tete (sans mauvais jeu de mots) débile à souhait joué par des pseudo acteurs qui sont franchement des amateurs. La bande son est pire que mauvaise et agace par sa médiocrité quand ce ne sont pas les dialogues qui font sourire tant ils sont idiots. On retrouve les mêmes horreurs avec les animaux saufs que le procès du réalisateur de Cannibal Holocaust leur a servi de leçons : quelques animaux se font éventrés , tués mais ce coup ci par d'autres animaux et plus des hommes...Enfin les scènes de cannibalisme ne sont pas terrible même pour un film de 1980. Bref, c'est pas terrible tout ça.
Avec des films tels que L'Avion De L'Apocalypse et La Secte Des Cannibales, Umberto Lenzi a prouvé qu'il n'était qu'un honnête artisan dans le cinéma gore à l'italienne... Et ce n'est pas avec Cannibal Férox qu'il prouvera le contraire.
Certes le scénario est banal et le rythme assez lent, mais Cannibal Férox contient son lot de scènes gores qui tient en haleine les spectateurs les moins sensibles (Castrations, énucléation, crâne éclaté à la machette, scènes de cannibalisme explicites,...) et la mise en scène ainsi que les acteurs sont corrects pour un film de ce genre.
Mais je n'ai pas aimé du tout la complaisance avec laquelle est filmée le massacre des animaux que ce soit par la nature elle-même (L'anaconda, la panthère et le petit singe,...) ou par les hommes (La tortue, le crocodile,...).
A voir pour les fans du cinéma bis...
Certes le scénario est banal et le rythme assez lent, mais Cannibal Férox contient son lot de scènes gores qui tient en haleine les spectateurs les moins sensibles (Castrations, énucléation, crâne éclaté à la machette, scènes de cannibalisme explicites,...) et la mise en scène ainsi que les acteurs sont corrects pour un film de ce genre.
Mais je n'ai pas aimé du tout la complaisance avec laquelle est filmée le massacre des animaux que ce soit par la nature elle-même (L'anaconda, la panthère et le petit singe,...) ou par les hommes (La tortue, le crocodile,...).
A voir pour les fans du cinéma bis...
Il y a certes des passages très gores et des maquillages de qualité, mais dans l'ensemble ce film de cannibale d'Umberto Lenzi ne marque pas franchement les esprits. L'histoire possède beaucoup de longueurs, l'interprétation du casting est très moyenne et la photographie est guère séduisante. Dans le même genre mieux vaut revoir des oeuvres comme "Cannibal Holocaust" ou encore "Green Inferno".
selenie
Sortie dans la même période que le cultissime "Cannibal Holocaust" ce film en est une pâle copie. Précisons que le film de Deodato "Cannibal Holocaust" précède de quelques mois "Cannibal Ferox" et alors que "... Ferox" a été censuré dans une trentaine de pays "... Holocaust" l'a été dans une soixantaine de pays.
Dans "Cannibal Ferox" le scénario s'est voulu plus compliqué mais au final il n'en est rien ; l'intrigue policière parallèle qui se déroule à New-York s'avère très simple mais surtout très inutile et ne sert en rien ce qui intéresse à savoir l'aventure en Amazonie. La seconde chose qui frappe ce sont les acteurs surtout l'actrice blonde et le brun qui sont plus que médiocres ; il suffit de voir comment le photographe entre sans peur (ni reproche lol) dans le village cannibal alors qu'il y a des cadavres, comme si il était habitué !
Le film reprend aussi la scène du diner de tortue déjà vu dans "Cannibal Holocaust"... Lors de l'intrigue policière une femme apprend qu'il y a eu un meurtre chez elle et que son ami a disparu sans qu'elle a l'iar d'être touchée de quelque manière que ce soit...
Une intrigue policière de trop et des acteurs médiocres font qu'il vaut mieux allé revoir "Cannibal Holocaust" qui offre en plus une mise en scène aux origines des "Blair Witch" et autre "Rec".
Dans "Cannibal Ferox" le scénario s'est voulu plus compliqué mais au final il n'en est rien ; l'intrigue policière parallèle qui se déroule à New-York s'avère très simple mais surtout très inutile et ne sert en rien ce qui intéresse à savoir l'aventure en Amazonie. La seconde chose qui frappe ce sont les acteurs surtout l'actrice blonde et le brun qui sont plus que médiocres ; il suffit de voir comment le photographe entre sans peur (ni reproche lol) dans le village cannibal alors qu'il y a des cadavres, comme si il était habitué !
Le film reprend aussi la scène du diner de tortue déjà vu dans "Cannibal Holocaust"... Lors de l'intrigue policière une femme apprend qu'il y a eu un meurtre chez elle et que son ami a disparu sans qu'elle a l'iar d'être touchée de quelque manière que ce soit...
Une intrigue policière de trop et des acteurs médiocres font qu'il vaut mieux allé revoir "Cannibal Holocaust" qui offre en plus une mise en scène aux origines des "Blair Witch" et autre "Rec".
Scenario assez baclé, entre le diagnostique en une fraction de seconde que le moteur de la voiture est morte sans meme ouvrir le capot. Ou encore les indigènes qui dans un premier lieu sont térrorisés par deux types qui leurs font subir tous les sévices, avant de se venger de la pire des façons quand les autres se retrouvent a cinq (soit trois de plus), et ne les craignent plus du tout. Pourrait gagner en crédibilité. Reste quelques scènes d'effrois "plaisantes".
L'histoire n'est pas très palpitante et les personnages sont sans intérêt. C'est un pur spectacle d'exploitation qui essaie de surfer sur le succès de Cannibal Holocaust. Mais visuellement ça tient la route et les effets spéciaux et les moments d'horreur sont, dans le genre, très réussis. En tant que spectacle horrifique, ça se regarde avec un certain plaisir.
Umberto Lenzi donne dans le film de cannibale très en vogue après Cannibal Holocaust et fait pire que son compatriote Deodatto. Bon, on est pas encore dans du Mattei mais presque.
Napoléon
Une accumulation très bête et très méchante de scènes de violence avec des personnages très clichés et antipathiques, une histoire plate et des acteurs plats également...mais les scènes de violence sont marrantes quand même. Un abyssal film inspiré de Cannibal Holocaust.
Super naze et super vaseux.
Même si ça reste un culte du genre, ça a assez mal vieillit, à tous les niveaux, ça reste une série B assez lente, certes avec quelques particulièrement sanglantes, mais on ne retiendra au final que cela du film.
Nicothrash
Pâle copie d'un "Cannibal holocaust" déjà mauvais, "Cannibal ferox" pourrait même passer pour un remake tellement il est identique dans son déroulement. Trois crétins se tirent dans la jungle pour prouver que les tribus cannibales n'existent pas, bien vu l'aveugle ! Evidemment ils se trompent et place à la boucherie ! On perd de plus ici l'aspect found footage qui faisait un minimum le charme du premier cité, ne restent que les scènes gores, plus nombreuses et plus choquantes certes mais sans l'impact nécessaire pour y croire. Bien évidemment on n'échappe pas au massacre d'animaux et rien que pour ça, ça ne mérite pas d'être vu, c'est totalement gratuit et ne sert qu'à choquer. Un mot sue les acteurs pitoyables et leurs personnages d'une rare bêtise qui finissent de nous convaincre de la médiocrité de l'ensemble. Mieux foutu mais moins réaliste que son modèle, les deux sont à mettre dans le même sac, celui des navets.
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