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chrischambers86
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2,5
Publiée le 31 août 2014
Bien des annèes ont passè depuis "La grande bagarre de Don Camillo" et les choses ont beaucoup changè! Don Camillo et Peppone ne se sont plus jamais rencontrès depuis! Pourtant la distance qui les sèpare est à peu près la même qu'autrefois mais les mètres deviennent des kilomètres quand il s'ètendent entre un monseigneur et un sènateur communiste! Car oui Peppone est un sènateur et Don Camillo un monseigneur! Mais la nostalgie du pays les tiraillent, ils n'attendent qu'un prètexte, qu'un signe qui ferait revoir Brescello et un jour...miracle! Les communistes et le clergè sont en dèsaccord au sujet de la construction de la Maison des travailleurs! Le duo est donc envoyè là bas (c'est toujours un plaisir de voyager par le train via la gare de Brescello) pour dèfendre leur cause respective! Le christianisme est une religion dèmocratique basèe sur le travail! Mais incorporer la statue de la madone (nom d'une cloche!!!) dans la construction de la « Casa popolare » n'est pas une mince affaire! Ce quatrième opus de « Don Camillo » se suit sans mal même si le souffle de l'histoire devient de plus en plus court! A noter les belles prises de vues aèriennes sur la Place Saint-Pierre et la prèsence de la jeune Valeria Ciangottini, immortalisèe par Fellini dans "La dolce vita"...
Six ans ont passé entre "La grande bagarre de Don Camillo" et cet épisode. Il peut s’en passer des choses en six ans… La preuve : Peppone est sénateur, et Don Camillo a lui aussi pris du grade puisque nous le retrouvons contre toute attente Monseigneur. Comme quoi, tout arrive… En raison des nouvelles tâches qui leur sont octroyées par leur poste respectif, nous retrouvons nos deux trublions bien loin de ce village du haut de l’Italie coincé quelque part entre la mer, le fleuve et la montagne. Et quand on aime son pays, difficile de ne pas être nostalgique. C’est le cas des frères ennemis de toujours. Car non seulement ils s’ennuient de leur pays, mais ils n’ont pas oublié les rivalités qui jadis les ont opposés. C’était le bon temps… Qu’à cela ne tienne ! Peppone n’en a pas terminé avec ses lubies. Et quand il s’agit de faire bâtir une maison des travailleurs en lieu et place d’une chapelle où trône la Madone, le sang de son éminence ne fait qu’un tour. D’habitude, des personnes de ce rang règlent le différent par voie de courrier et par personnes interposées, mais là… il s’agit de leur village, quand même ! Au diable donc les protocoles administratifs pour en découdre soi-même sur le terrain. Je ne sais pas si le poste qu’ils occupent leur a apporté une relative sagesse, mais Gino Cervi et Fernandel n’ont plus tout à fait la même fougue, et la saga tend à s’essouffler un peu. Qu’on se rassure, il reste encore de très bonnes séquences, que ce soit en situations cocasses ou en répliques hilarantes, arbitrées malgré lui par le chauffeur de Don Camillo qui ne sait pas trop où se mettre. Et puis la très visible complicité entre les deux acteurs vedettes finit de sauver le reste de ce nouvel épisode politico-clérical, car ils nous ont tant habitués à leurs joutes verbales que nous attendons bien plus que la solidité du scénario.
4ème volet de la saga des " don camillo " . Don camillo est devenu évêque tandis que peponne occupe un poste de sénateur . Tout les deux vivent desormais a Rome loin de leur petite ville de brescello . Mais quand peponne annonce qu'il veut faire construire à brescello une maison communale à la place d'une vielle chapelle le sang de don camillo ne fait qu'un tour . Les deux hommes se retrouvent de nouveau à brescello pour régler ce conflit ... Ce 4ème opus de " don camillo " s'avère assez décevant dans l'ensemble . si fernandel et Gino cervi sont toujour au top dans leur rôles de don camillo et peponne bien qu' un peu plus viellissant le film lui s'avère assez moyen et pas tres drôle . Sa se laisse tout de même regarder grace a quelques scènes cocasses et repliques hilarantes qui sauve un peu les meubles . Mais on a tendance à s'ennuyer un peu devant cette episode de la saga pas super passionnant ou l'on s'attarde sur des intrigues sans grand interet ( le mariage du fils de peponne ) . Un opus mineur qui ne laissera pas un souvenir impérissable .
Je ne note pas uniquement ce film mais l'ensemble des 5 avec Fernandel. Pour moi, ce sont des classiques de la comédie. Un humour qui s'appuie avant tout sur un tandem d'acteurs extrêmement talentueux et sur cette relation qu'ils ont. Une sorte d'amitié malgré tant de choses qui les opposent. L'humour est toujours très fin, les histoires particulièrement bien pensées et le tout accouche de films qui sont vraiment de très beaux films à voir et à revoir. Les Don Camillo sont pour moi des classiques indémodables qui traversent les époques sans rien perdre de leur charme et de leur humour. Une saga magnifique.
Quatrième film, et première grosse déception. Don Camillo devient monseigneur, il monte en grade (ce qui, après toutes les péripéties des précédents film, relève vraiment du miracle !), mais le film, lui, baisse en qualité. Ca commence à sentir le roussi, l'ennui guette...
Don Camillo monseigneur Avant-dernier épisode de la saga des Don Camillo. Neuf ans après le premier tournage, don Camillo et Peppone ont pris du galon : l'un est devenu évêque, et l'autre sénateur ! Mais ils ont la nostalgie de leur terroir et, miracle (du cinéma) ils vont se retrouver dans le face à face auquel ils se livraient naguère à Brescello ! Retour vers leur jeunesse pour un excellent épisode où se mêlent tendresse, humour et communisme! On croirait aujourd'hui (2014) entendre Georges Marchais ressuscité ! Mais voilà, les deux protagonistes principaux ont vieilli et n'ont plus la même fougue. Notamment Fernandel qui ne le sait peut-être pas mais qui n'a plus que dix ans à vivre. Un superbe passage émouvant lors des tragiques funérailles d'un camarade-enfant du pays et dans lequel don Camillo va associer le glas de son ex-église au son de la cloche fêlée du communisme ! Une mention spéciale pour la ravissante Valéria Ciangottini qui joue le rôle de Rosette, la future belle-fille de Peppone qui doit le faire grand-père, mais qu'on ne verra plus guère ensuite en France. Si elle vit encore, elle est aujourd'hui (2014) septuagénaire ! Cette série a de nos jours, la valeur d'un témoignage historique. Les jeunes spectateurs auront peut-être de la difficulté à comprendre qu'au lendemain de la guerre 1939/ 1945, l'église est encore très puissante et omniprésente dans la vie quotidienne. Le curé est l'un des édiles d'une commune au même titre que l'instituteur, le chef de gare, le médecin (...) Mais voilà, déjà à cette époque le laïcisme est en marche et le parti communiste en plein essor ! On entre dans le parti comme on entre en religion bien décidé à y "bouffer" du curé ! Une époque révolue que "les moins de vingt ans" n'auront pu connaître !" willycopresto
Extrêmement lent à démarrer, "Don Camillo Monseigneur" nécessite d'être regardé à une heure de pleine possession de ses facultés intellectuelles tant le risque de somnolence est élevé. Les quelques escarmouches auxquelles se livrent les deux comparses laissent à désirer, leur intérêt étant proche du néant. Le souci de renouvellement de la série à travers la relation Rome-périphérie est certes louable, mais on tourne finalement vite en rond.
Avec ce quatrième volet, la série des Don Camillo devient un brin répétitive et lassante. Heureusement que Fernandel et Gino Cervi sont toujours de la partie.
Pourquoi ne peut-on pas mettre cinq étoiles à cette comédie exceptionnelle ? Deux acteurs formidables. Un des meilleurs films au monde, comme tout ceux de la saga !
Don Camillo et Peppone ont pris chacun du galon, le premier est devenu évêque, le second sénateur. Leur retour dans leur village va réanimer les vieilles querelles. Quelques bonnes répliques émergent de ce quatrième opus mais celui-ci marque définitivement le déclin de la franchise.
Le duo mythique Fernadel/Gino Cervi fait de nouveau des merveilles.On sent une grande complicité entre tous les acteurs. un chef d'oeuvre d'humour et de poésie.
Pour « La grande bagarre de Don Camillo, Carmine Galllone succède à Julien Duvivier qui a réalisé les deux premiers volets d’une série qui en comporte cinq (les autres sont des greffes purement commerciales). L’opposition entre deux hommes et deux doctrines que tout rapproche, si ce n’est le dogmatisme qui les habite est dépeinte avec humour et réflexion. Le charme est intact, si bien que le film ne marque pas de grande différence avec les DON CAMILLO précédents. Passage du témoin réussi.