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BabsyDriver
80 abonnés
817 critiques
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2,5
Publiée le 11 juin 2008
Charles Burnett s'attache à deux aspects négligés du blues : le rapport sacré-profane de cette musique et les femmes qui l'ont représenté. Parmi les artistes judicieusement choisi, notons la présence de Sister Rosetta Tharpe qui synthétise ces deux thèmes, traités avec humour et nostalgie.
The Devil’s Fire, 2003, de Charles Burnett. Le plus mauvais film que nous ayons vu de cette série initiée par Martin Scorsese (producteur), cad, Piano Blues (Clint Eastwood), Godfathers and Sons (autour du label Chess), et The soul of a man (Wim Wenders, et la vie de Skip James). L’auteur a malheureusement mis au centre de son film, qui veut montrer l’opposition entre le blues et le gospel, un enfant, porteur de la foi, qui suit, avec son oncle, une sorte d’initiation au blues diabolique. Cette démonstration lourdingue nous gâche le plaisir d’écouter la musique, car les morceaux sont très tronqués (Ma Rainey, Bessie Smith…).
Sans être totalement ininterressant Devil's Fire peut decevoir a cause de son côté plus téléfilm que documentaire mais néanmoins on apprend des choses tout à fait interressante sur la vie dans le Mississipi et ainsi que sur les grand noms du Delta Blues. A voir comme le reste de la série de documentaire.
...Bof ! un film médiocre, j'aurais préféré un vrai documentaire. Un bel hommage aux femmes qui ont fait le Blues, je devine l'influence sur le Jazz, avec la voix de Billie Holiday (sans la voir!)