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chrischambers86
13 613 abonnés
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2,5
Publiée le 4 septembre 2018
Les bonnes vieilles recettes de sèrie B des 80's comme si vous y ètiez, avec au programme deux mercenaires rigolos (Chuck Norris et Louis Gossett Jr.), une jolie bècasse (Melody Anderson) et une vieille carte au trèsor! L'intrigue de "Firewalker" est la simplicitè même où le spectateur se lance avec ce trio à la recherche d'un trèsor aztèque! Serpents et crocodiles, tempêtes et obstacles naturels, fameux temple mexicain et traquenards, coïncidences malheureuses et visions psychiques en passant par une abondance de mèchants pleurnicheurs...Largement de quoi se distraire! Dans un registre très lèger, Chuck Norris et Louis Gossett Jr. amusent la galerie et jouent les mercenaires modernes dans une histoire d'or qui remplit gentiment le cahier des charges! Beaucoup diront que ce « Temple d'or » est un ersatz nanardesque de « Indiana Jones » et que c'est l'un des plus mauvais film du vètèran Jack Lee Thompson, il n'empêche que l'on ne s'ennuie pas avec ces aventuriers Golan-Globus de la Cannon Group! A voir sans prise de tête...
Tourné dans la lignée des Indiana Jones, "Le Temple d'Or" manque malheureusement de moyen, d'ambition et de talent que ce soit au niveau de la réalisation comme du scénario pour pouvoir tenir tête aux oeuvres de Steven Spielberg. Reste que l'ensemble n'a rien de déshonorant non plus et ce grâce à la présence d'une bonne dose d'humour, de jolies décors naturels ou encore pour son sympathique trio de comédiens que forme Chuck Norris, Lou Gossett Jr et la bien mignonne Melodie Anderson.
Un nanar qui s'assume et qui nous fait passer un agréable moment de détente. De l'action, un scénario au ras des paquerettes, un Chuck Norris remonté, des acteurs mauvais, le tout assaisonné de répliques tordantes de ce bon vieux Chuck. Nullissime mais délirant.
Chuck Norris est ici à peu près potable, de l'humour et un duo qui marche bien avec Louis Gossett Jr, puis la mignogne Melody Anderson et le bonus de voir Sonny Landham qui joue le méchant qui n'est autre que le Billy dans le film culte Predator sorti un an après. Le temple d'or suit les traces des films d'aventure/comédie avec un zest de fantastique comme Indiana Jones ou bien encore Allan Quatermain avec moins de force tout de même. Malgré ça il faut se dire que ce Le temple d'or est bien l'un des meilleurs films de Chuck Norris, au fond c'est un mauvais bon film. J'ai passé un petit moment de détente.
Le film ne brille ni par son scénar, ses scenes d'action, son coté aventure, ses acteurs.. Mais bizarrement c'est kisch et ça reste assez sympa et divertissant pour l'époque
Envieuse du succès de la série Indiana Jones du duo Spielberg/Lucas, la Cannon, jamais avare de mauvais coups, propose sa propre vision du film d'aventure. Les deux producteurs israéliens Golan et Globus l'avaient déjà fait avec les Allan Quatermain. Ils persistent et signent avec une de leur figure de proue (l'autre étant Charles Bronson mais difficile de voir Bronson jouer les Indiana Jones de pacotille). J'ai nommé Chuck Norris. Un des derniers Chuck Norris, si ce n'est même le dernier, qu'il va tourner ailleurs que chez son frère Aaron. Car c'est ce qu'il fera constamment par la suite. C'est un autre produit maison de la Canon chargé de mettre en boîte cette chasse au trésor : Jack Lee Thompson devenu le yes-man attitré de Bronson lui qui avait pourtant démarré sur des films prestigieux tels que Les Canons de Navarone ou Les Nerfs à vif. Comme quoi. Tous les chemins mènent à Rome et tous les chemins mènent au nanar. Parce que ce n'est pas un mystère. Le film a beau avoir été tourné au Mexique pour faire vrai, ça reste un nanar. Un joyeux nanar. Ce qui le rend sympathique. Mais un nanar quand même. Norris distribue bien quelques coups de poing et quelques prises de kung-fu au ralenti. Le reste du temps, cigare au bec, sa joute verbale avec son copain black monopolise les trois-quarts de cette expédition pour retrouver un trésor maya, aztèque, avec des indiens un peu partout. Cette décontraction perpétuelle entre eux montre qu'on est avant tout là pour prendre cette aventure à la rigolade. Il n'y a qu'à voir leur dégaine à tous les deux habillés en curé. Le but était sûrement de pomper sur Indiana Jones avec un trésor, un temple perdu, une jolie blonde ressemblant comme deux gouttes d'eau à Sharon Stone et Kate Capshaw et une grosse part d'humour pour marquer la différence. Et espérer que ça passe en ramassant le maximum de pognon. Vu qu'il y a une demande, pourquoi se priver ? Loin de l'idéologie nauséabonde des films d'action qui ont fait sa gloire, Chuck Norris montre avec Le Temple d'or qu'il peut aussi proposer autre chose. Je ne vais pas parler de révélation ou de performance d'acteur. Mais il est marrant (et pas involontairement, cette fois) car il ne se prend pas au sérieux. Malgré un manque de moyens que je devine évident (c'est pas Kasdan au scénario, quoi), et bien que les décors ne soient pas laids à une époque où le numérique n'existait pas encore, un clone d'Indy et d’À la poursuite du diamant vert à la sauce Cannon. Exotique, rigolo, fauché, mauvais, tout ce qu'on veut, mais avec ce cachet années 80 qui le rend impossible à détester.
Dans la longue liste des nanars avec Chuck Norris en vedette, "Le temple d'or" peut paraître assez amusant. Les stéréotypes sont légions mais parfois drôles et quelques traits d'humour sont assez réussis.
Que dire sur ce genre de série B avec Chuck Norris... Les faux raccords sont légions, on dirait qu'on écrit le scénario au fur et à mesure qu'on tourne le film, c'est rempli de stéréotypes en tous genre... Côté décor, on peut dire quand même que c'est pas trop mal fait, ainsi que la mise en scène, mais les dialogues sont tellement pathétiques... 2 heures, c'est quand même un peu trop long pour ce genre de navet, mais c'est un nanar qui s'assume... C'est déjà ça.
Comme la plupart des films dans lesquels Chuck Norris a joué, «Le Temple d'Or» (1986), réalisé par Jack Lee Thomson est à ranger aux rayons des nanars. Tout est mauvais dans ce film, commençons par l'histoire: deux aventuriers accompagnés d'une jeune femme (bien roulée bien sûr) partent à la recherche d'un temple qui renferme de l'or. Rien d'autre. On a même l'impression que le scénario s'écrit au fur et à mesure que le film avance. La réalisation est lamentable et Thomson nous offre un véritable festival de faux raccords. Le jeu d'acteurs est inepte, cela va sans dire. Et pourtant, même si tout cela est un océan de médiocrité, on prend un malin plaisir à suivre ce sous Indiana Jones notamment grâce à Chuck Norris qui semble prendre un malin plaisir à se parodier. Le duo qu'il forme avec Lou Gossett est sympathique. Les deux compères ne sont jamais avares de bons mots ou de vannes potaches mais bien fendardes pour certaines. Quelques séquences valent à elles seules le déplacement (comme par exemple celle où Norris et Gossett sont déguisés en religieux, sans déconner il faut le voir pour y croire). Enfin, l'ensemble avance à un rythme qui ne connaît presque aucun fléchissement. A noter aussi la présence de Will Sampson resté en mémoire depuis son rôle du chef indien dans «Vol au dessus d'un nid de coucou» de Milos Forman et celle aussi de Sonny Landham que l'on verra également dans «Prédator» en 1987 et «Haute Sécurité» en 1989. Toujours est-il que pris au second degré, «Le Temple d'Or» constitue un divertissement qui surprend agréablement.
Ce film est pour moi totallement culte et 10 fois plus con que les Portes Disparus ou Invasion USA. Le pitch : une bonne femme qu'à des visions contacte 2 baroudeurs dans le but de trouver le trésor de "l'homme qui marche sur le feu". Mais un autre indient borgne et beuglant en plus veut les pouvoirs de l'homme qui marche sur le feu. Nos héros avancent donc quasiment au pif et tombent sur le trésor. Entre temps on aura eu droit à des bastons de poivrot, des grottes en carton pâte, des dialogues à la con (mais vraiment y'a pas une phrase qui ne fasse pas rire). Le comble, c'est que Chuck, d'habitude très sérieux, joue à fond la carte de la déconne. Vas y qu'il nous fait pas des grimaces toutes les trentes secondes. Hallucinant !! En plus la bécasse qui l'accompagne est amoureuse de lui dès la première demi-heure mais il s'en branle totallement (et quand il la drague il y va avec des mouffles quoi). Un très très gros nanar, qui ferait passer les Allan Quatermain pour des chef-d'oeuvres du film d'aventure.
Un bon petit nanar avec Chuck. Ce film est un espèce de sous Indiana Jones qui nous fait passer un agréable moment. Certes le scénario ne vole pas haut ni la prestation des acteurs mais par je ne sais pas trop quel miracle sa reste plaisant à regarder. Cela est surement grâce à l'humour et au fait qu'il n'y ait pas de temps mort.
Bon petit film d'aventure avec pas mal d'action et d'humour. Un scénario simple mais efficace. C'est évidemment un sous "Indiana Jones" et il ne faut pas s'attendre à un chef-d'oeuvre mais on passe quand même un bon moment.