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chrischambers86
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4,0
Publiée le 18 novembre 2007
Voici une comèdie destructrice en gags qui fait de sèrieux dègâts! Produite par Steven Spielberg, Richard Benjamin signe en 1986 un remake supèrieur au film d'Henry C. Potter, "Mr. Blandings builds his Dream House", classique des annèes 40 avec le duo Cary Grant-Mirna Loy! Tom Hanks et Shelley Long forment un couple irrèsistible qui casse la baraque mais la vraie vedette de "The Money Pit" est sans aucun doute cette maison qui tombe en ruine au fil des minutes qui passent, rèservant un florilège de catastrophes mènagères au pauvre couple (la sèquence de la dinde est à mourir de rire). Une comèdie dèlirante ou l'on passe un agrèable moment...
Une Baraque à tout casser témoigne de ce symptôme délirant qui s’emparait des comédies américaines dans les années 80, où toute idée loufoque débouchait sur la mise en chantier d’un film. Grand habitué de ce type de productions puisqu’il leur doit sa notoriété (The Burbs, Turner & Hooch, Joe Versus the Volcano), le jeune Tom Hanks joue ici un rôle de mari soi-disant routinier, en réalité survolté et insupportable qui passe son temps à courir, hurler, imiter le phoque (scène de la baignoire, assez drôle au passage). Face à lui, Shelley Long interprète une épouse fidèle et assez juste, dont la fonction dramatique s’avère néanmoins contestable : le scénario ne lui accorde qu’une place subalterne, faisant d’elle une femme-type américaine. Le dernier segment du film se voit ainsi miné par le dilemme ô combien éculé de l’adultère soupçonné – a-t-elle couché ou non ? – qui, curieusement, conduit l’ensemble à rentrer dans le droit chemin de la morale puritaine, délaissant par conséquent la folie burlesque jusqu’alors revendiquée. Si la construction de certaines scènes et l’abattage des comédiens s’avèrent plutôt distrayants, Une Baraque à tout casser ne demeure qu’une accumulation de scènes plus ou moins drôles, avec cette conviction erronée qu’entasser construira la comédie. Or, le film est à l’image de cette bâtisse : il suffit de gratter un peu le vernis comique pour apercevoir sa structure on ne peut plus fragile.
Film comique plutôt divertissant et charmant. On éprouve à la fois du rire et de l'énervement pour les deux personnages principaux dans certaines scènes.
Au début de sa carrière Tom Hanks a participé à de nombreuses comédies que l'on pourrait qualifier de délirantes, sans être du grand cinéma, ses films ont pourtant leur charme et restent très agréables à voir. Une baraque à tout casser fait partie de cette catégorie de films, Tom Hanks peu connu mais déjà talentueux doit s'occuper de la maison qu'il fait restaurer mais aussi de l'ex-petit ami de sa compagne qui espère récupérer sa belle. Vous ne verrez pas avec ce film un chef-d'oeuvre du cinéma mais vous rigolerez ce qui est déjà pas mal.
On rigole bien , on s'émerveille devant la préstation de Tom Hanks et on a eu le film qu'on a demandé . Que demander de plus ? Une fin un peu trop Happy End selon moi mais bon ou serait l'intérêt sinon ? Sympa .
Tout s'effondre, tout part en vrille pour ce jeune couple (Tom Hanks en moins de 30 ans est déjà bon) . Produit par Steven Spielberg, ce "Une baraque à tout casser" nous fait souvent rire avec des situations hilarantes dans la maison qui s'écroule (Tapis sable mouvant, porte d'entrée, baignoire, ..). Le film cependant s'essouffle et peine à durer avec cette idée de maison qui s'écroule pendant une heure 30.
Avant d’être la star que l’on connait, T.Hanks avait cumulé les films à petit budget comiques voire burlesques et c’est le cas avec ce film oscillant entre romance et comédie burlesque qui enchaine les gags. Le producteur n’est autre que S.Spielberg. Même si ça sonne bizarre c’est la réalité et au final un divertissement correct.
On dirait une maison hantée ! Les gags s'enchaînent après l'achat de la maison. C'est souvent horrible ! On a mal pour eux et on se demande comment ils ont pu acheter une telle maison. J'ai beaucoup aimé la plupart des dialogues avec les ouvriers, mais aussi avec "Benny", le jeune à qui Tom Hanks emprunte de l'argent pour acheter la maison. J'ai adoré le rire de Tom Hanks dans la baignoire, rire qui dure près de 30 secondes et est communicatif ! :D Il y a des passages vraiment délirant et des situations cocasses !
Attention, comédie carton-pâte à prendre au énième degré ! Si vous ne regardez pas trop les effets spéciaux et les gags grand-guignolesques, vous trouverez une sympathique comédie avec un Tom Hanks en grande forme ! Cela sent le vécu, pour toute personne qui aura un jour fait construire une maison (bien sûr pas aussi catastrophique que celle du film, on l'espère !), et on en rigole d'autant plus. Les charlatans qui défilent pour réparer cette maison sont très cocasses, les péripéties hallucinantes amènent quelques répliques à mourir de rire ("On a des escaliers !!! Chérie ! On a des escaliers !!!") ou des comiques de situations qu'on n'avait pas vu venir (la femme qui ouvre sa pharmacie et prend les médicaments à l'ouvrier qui les lui apporte à travers le trou du mur...). Les cascades n'ont pas dû être très faciles à réaliser (la dégringolade en chaîne de Tom Hanks sur les échafaudages et la cheminée), alors chapeau ! La chute finale (apprendre que la petite vieille toute mignonne qui avait vendu sa soit-disant maison est en fait une escroc professionnelle) est bien amenée et nous laisse sur une bonne impression. Malgré l'aspect "bon marché et carton-pâte" du film, les acteurs et le scénario se donnent à fond pour nous faire rire, et c'est réussi !
Ce film, réalisé par Richard Benjamin et sorti en 1986, n'est pas mal mais sans plus. Découvert par hasard sur Netflix, je n'avais auparavant jamais entendu parler de cette comédie, pourtant produite par Steven Spielberg, ni d'ailleurs du précédent film "Un million clé en main" de 1948 dont ce film en est le remake. Je n'ai donc pas vu l'original, je ne pourrais ainsi pas le comparer à ce film mais c'est en tout cas ici l'histoire d'un couple qui cherche désespérément une maison et qui en achète une qui tombe de plus en plus en lambeau. Je trouve l'idée assez intéressante mais surtout le terrain est très bon pour faire une série de gags. C'est effectivement le cas mais je suis tout de même assez déçu car je pensais avoir affaire à quelque chose de plus drôle, tout simplement. D'ailleurs, les notes et critiques (en tout cas sur Allociné) sont assez bonnes, je m'attendais donc à quelque chose d'un peu mieux. Le film possède bien-sûr des scènes très drôles et assez marquantes mais on passe tout de même beaucoup de temps sur la relation de couple, chose qui est assez simpliste car nous n'avons pas tellement de rebondissements à ce niveau-là. Je pensais que le film allait plus se tourner vers de la comédie absurde, comme les américains savent si bien le faire (sans être du tout ironique), mais nous sommes presque finalement devant une comédie romantique à la fin prévisible, ce qui est un petit peu dommage. Néanmoins, on ne s'ennuie pas car le film possède un rythme assez soutenu. En ce qui concerne les acteurs, nous avons Tom Hanks alors encore ancré dans des comédies, la consécration grâce à des rôles dramatiques venant après, Shelley Long et puis Alexander Godunov qui jouent très bien. "Une baraque à tout casser" reste donc dans l'ensemble plutôt pas mal même s'il m'a personnellement un peu déçu.
Une baraque à tout casser est un film de Richard Benjamin sorti en 1986, ce qui en fait l'un des premiers avec Tom Hanks. Retrouvant Steven Spielberg à la barre des producteurs exécutifs, il n'est pas étonnant d'y retrouver une ambiance bon enfant, car c'est avant tout ce qui vous y attendra. Bien que le film soit franchement drôle par moment, le reste est trop cliché, trop plat, sans envergure. Dommage, car l'humour ressemble beaucoup à celui de Maman, j'ai raté l'avion. Mister Hanks se rattrapera sans problème plus tard. Pour les autres....
Sympathique surprise que cette comédie originale Une Baraque à tout casser. Sans se prendre au sérieux, elle nous dévoile un très bon jeu d'acteur de la part de Tom Hanks qui, même en terme de comédie, excelle dans le domaine. Sans paraître révolutonnaire, elle suit cependant le chemin à suivre pour véritablement percer, le problème étant que le film n'est que peu connu des spéctateurs.