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Un visiteur
2,5
Publiée le 18 janvier 2013
1941 il faut préparer l' enrôlement des soldats et pour ne oublier les plus bigots voilà le film idéal. un travail de bonne facture, tiré d'une histoire vrai et politiquement correct, un peu trop pour moi.
Le plus nul des films de propagande américains qui soit, Howars Hawks (45 ans) s'est déshonoré en le tournant et Gary Cooper ( 39 ans) n'a pas beaucoup plus d'excuses , il a du le regretter sur ses vieux jours lorsqu'il a fini par prendre conscience du rôle qu'il a accepté, fusse par amitié. ''Sergent York'' dégage une idéologie de niveau zéro et contient un ramassis d'âneries faisant perdre toute valeur à une morale réfléchie. Il est impossible de passer cette morale sous silence tant Hawks à utilisé toutes les ficelles de son métier pour nous mettre de son coté et nous faire perdre tout jugement. Le cinéma comme cela, c'est détestable puisque Hawks et Cooper sont par ailleurs des valeurs incontournables de l'art cinématographique, ce qui accrédite leurs actes. Rien dans ce film ne peut être sauvé en dehors de quelques plans sur les rapports amoureux entre Alvin et Gracie. Ce film qui est beaucoup plus un film de guerre raté qu'un western s'est dédouané de la guerre de 39/45 en transposant une tuerie de 1916 en Argonne, il fait même cautionner le tout en faisant même intervenir notre général Foch. Le pire de tout étant la séquence qui voit York tuer deux soldats allemands exactement comme lors du tir au dindon allant même jusqu'à imiter les cris de ces volailles.
Il est difficile de parler de Sergent York. D'un côté, on a un film de très bonne facture, qui prend le temps d'installer ses personnages, filmant avec talent le quotidien de Gary Cooper, un paysan un peu simplet qui va réussir sa vie à la sueur de son front, et les scènes de batailles dans la seconde partie du film. De l'autre, on a une morale beaucoup trop accentuée sur le patriotisme, l'importance de la religion et de faire son devoir d'Américain en s'engageant dans l'armée. Vu l'année de sortie du film (1941), on imagine très facilement qu' Howard Hawks réalise ici un film de propagande, sans âme.
J'ai découvert l'histoire du sergent York à travers une courte vidéo l'annonçant comme un héros de guerre malgré lui. Il aurait le compas dans l’œil et aurait tué de nombreux mitrailleur allemand dans la même journée, en plus d'avoir rapporté 132 prisonniers allemands dans la même journée... A peine croyable ! Surtout lors de la Première Guerre Mondiale où les américains sont entrés bien tard dans la guerre. Alvin C. York aurait même refusé que quiconque autre que Gary Cooper ne joue son propre rôle. Alors évidemment, le film ayant reçu de nombreux prix dont l'oscar du meilleur acteur en 1941, il faut le voir ! D'autant qu'il est très bien réalisé, que le personnage est attachant, travailleur et valeureux. Le film nous donne également quelques astuces de tirs... A la dinde !
Non dénuée d'humour voire de causticité, ce qui atténue le didactisme du drame, l'intrigue pose cependant des questions fort pertinentes sur le rapport à la foi, à la patrie, à son identité. Habile dans ses portraits psychologiques - tant pour illustrer les divergences entre les Amériques que la complexité des personnages ou l'évolution du protagoniste - le scénario évite détails superflus ou emphase (sauf dans la scène de conversion assez étrangement présentée) pour montrer la force de l'Amour (puisque c'est la future épouse d'abord et non Dieu qui enclenche la métamorphose). Exaltant la bravoure pacifique d'un héros national, ce cheminement personnel n'émeut guère mais convainc. Intéressant!
Très difficile à noter et à critiquer compte tenu de l'ancienneté du film et de son contexte. Le message patriotique qu'il fait passer ainsi que celui du sacrifice sont intéressant et pourraient être analysés et critiqués, mais ce qui est regrettable est que c'est un film qui a vieilli et qui traîne violemment en longueur, en particulier sur la première heure et demie. Il n'est donc pas particulièrement plaisant à regarder en dehors de certaines séquences et de l'histoire en générale si on devait la résumer. A connaître pour sa culture ciné, pour Gary Cooper, pour les films en lien avec 14-18.
"Sergent York", réalisé en 1941 par Howard Hawks, nous conte l'histoire vraie d'Alvin York, un fermier du Tennessee qui s'enrôla dans l'armée en 1917 pour finir par être l'un des soldats américains les plus décorés de la première guerre mondiale. Son fait d'arme ? Avoir capturé à lui tout seul un bataillon allemand (132 hommes !) dans la forêt d'Argonne en France en 1918. Pourtant Alvin York n'avait pas grand chose d'un héros lorsqu'il vivait au Tennessee, rêvant simplement d'avoir un lopin de terre à cultiver dans une vallée avec sa promise. D'abord buveur invétéré, Alvin finit par trouver la religion et devint objecteur de conscience à ses débuts dans l'armée, refusant de s'enrôler et de combattre. Réalisant qu'il pourrait sauver les vies de ses camarades en ôtant celles de l'ennemi, il changea son fusil d'épaule et se transforma donc en héros de guerre. Forcément cette histoire vraie ne pouvait qu'inspirer le cinéma qui dut attendre un moment avant d'avoir l'autorisation d'Alvin York en personne de pouvoir faire un film sur sa vie. Le résultat, à redécouvrir aujourd'hui, ne manque pas de charme. On y découvre l'histoire d'un homme simple qui se transforme en héros, une histoire typiquement américaine qu'Howard Hawks s'attache à décrire avec le plus de précisions possible, s'attardant allègrement sur la vie de York avant son départ pour l'armée. Le fait est qu'Alvin York est d'ailleurs un personnage complexe, tiraillé entre sa foi et son devoir militaire, un homme autrefois un peu bourru qui s'assagit face à la religion. Gary Cooper, récompensé au passage de l'Oscar du Meilleur Acteur, prête ses traits au personnage à merveille, jouant sur toutes ses nuances avec un charisme et un flegme qui lui va à merveille. C'est d'ailleurs beaucoup grâce à lui que le film fonctionne aujourd'hui car il ne manque pas de défauts. D'abord la réalisation. On a connu Hawks beaucoup plus inspiré et sa mise en scène a pris un léger coup de vieux. Ce qui est presque normal pour un film tourné en 1941 me direz-vous. Si la mise en scène fonctionne très bien sur toute la partie au Tennessee avec ses jolis décors, les scènes de bataille ont l'air trop sages, jusque dans les chutes qu'effectuent les figurants, pas toujours crédibles quand ils meurent. Mais ce qui gêne le plus finalement dans "Sergent York", c'est son propos mélangeant catholicisme et patriotisme. Deux termes toujours un peu fatigants au cinéma quand ils sont complètement pris au sérieux et qui se retrouvent ici réunis dans une espèce de tambouille parfois indigeste. En effet, le film n'échappe pas au prêchi-prêcha qu'il soit moralisateur ou patriotique, n'hésitant pas à montrer (au premier degré) un homme qui devient un héros en abattant quand même plusieurs de ses ennemis comme des lapins (ou comme des dindons, ceux qui ont vu le film comprendront). Alors certes c'est la guerre mais cet élan de patriotisme frise aujourd'hui le mauvais goût. Reconnaissons tout de même à l'ensemble de belles qualités, celles d'un grand film hollywoodien de l'époque, encore bourré de charme mais désormais un peu daté. Dans le genre intemporel, Hawks fera mieux.
Déçu par ce classique, vraiment trop moraliste et cul-bénit (il n'y a pas une phrase sans les mots dieu ou bible). Pendant une heure et demi cela ressemble à une sorte de conte et je suis heureux de voir les scènes de combats car ce sont les seules qui ne sont pas lourdingues. Dommage car la réalisation est dynamique et Gary Cooper excellent.
L'histoire de ce soldat est si extraordinaire qu'elle ne pouvait pas manquer d'inspirer les scénaristes Hollywoodiens ,aujourd'hui ,avec le recul ,le résultat laisse la part belle a la propagande (nous sommes a la veille de l’entrée des USA dans la seconde guerre mondiale) et l'aspect religieux semble un brin demesuré mais Gary Cooper a tellement de classe a l’écran et le couple qu'il forme avec la sublime Joan Leslie est si séduisant qu'on pardonne bien volontier ces excès de bons sentiments.La 1ere heure s'attache a décrire sur un ton tragi-comique la rude existence agricole d'un homme dont l'unique rêve est de posséder et cultiver un bout de terre ,viens ensuite le temps de la révélation divine qui le transforme en precheur de bonne parole avant que le conflit mondial ne le rattrappe.Pris entre son devoir patriotique et ses convictions religieuses ,il choisira de sacrifier quelques Allemands pour sauver son camp et devenir ainsi un véritable heros national.
L'Amérique avait besoin d'un grand film de propagande alors qu'elle était sur le point de s'engager dans la Seconde Guerre Mondiale. Quoi de mieux que de décrire la vie de l'Américain le plus médaillé au cours de la Première guerre mondiale, Alvin York ? Malgré la mise en scène de Hawks, le film n'évite pas de tourner à l'apologie de la religion et justifie la guerre quand il s'agit de grandes causes. Cooper est certes touchant dans son rôle de naïf un peu rustaud qui devient un héros de guerre grâce à sa science de la chasse. Les seconds rôles (notamment dans toute la partie qui concerne son Tenessee natal) ont tendance à en rajouter pour accentuer la couleur locale, sauf peut être Joan Leslie, la fiancée de York. Pour toutes ces raisons, ce n'est sans doute pas ce que Hawks a fait de mieux, mais le film eut un succés retentissant et Cooper remporta l'Oscar.
Brillamment réalisé par le génial Howard Hawks, ce "Sergent York" permet à Gary Cooper de se confronter à l'excellent Walter Brennan, offrant ainsi à celui-ci un rôle à la hauteur de son talent. Cependant, malgré quelques fausses naïveté (l'Amérique s'apprêtait à entrer en guerre au moment de la réalisation...), l'intérêt de ce film réside avant tout dans le scénario et la mise en scène convaincante du grand Hawks. Certes, la guerre est là, l'héroïsme aussi, mais ne reste au final que la question du droit de tuer. Certes, Hawks donne ici un point de vue... Mais du bout des lèvres seulement, poussé sans nul doute par les studios américains pris dans la spirale de la guerre et de la propagande. Qu'importe, demeure avant tout un grand film dominé par une première heure de toute beauté.
Simple paysan du Tennessee , pieux et pacifiste dont le seul but est d'épouser une femme qu'il aime et aussi d'acquérir un bout de terrain. Les événements de la 1ère guerre mondiale le poussent à aller au front et devenir un héros de guerre . Histoire vraie et admirable.
sergent york et film exeptionel avec un acteur convincen les conbat son cenmeme reusi malgré lépoque je sui enormément fan de cette periode ce film rent un tré belle homage au poilu amériquin come koi sé se de 17 qui en fondé lamérique liberatrice ke lont coné mintenent
Une seule critique? et bien c'est grandement dommage que ce film absolument GENIALISSIIIIIIIIIIME ne soit pas plus connu. Mais comme il date, ça peut se comprendre. Ce qui m'a touchée, c'est l'inifinie naïveté du héros mais qui parvient néanmoins à épouser la jeune fille qu'il aime, et de surcroît, à décrocher d'importantes médailles de guerre pour avoir sauver ses camarades de combat. Un film profondément humain, et qui redonne espoir.