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chrischambers86
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3,0
Publiée le 20 février 2016
Avec "Je suis timide mais je me soigne" qu'il signe en 1978, Pierre Richard passe pour la quatrième fois derrière la camèra où l'acteur populaire du cinèma français dèmontre une nouvelle fois son savoir-faire dans le comique! spoiler: Dans ce film, Pierre Richard est d'une timiditè maladive! Une star d'une grande beautè le fascine et l'entraîne dans toutes sortes de folies! L'intense passion qui anime cet amoureux lunaire a un nom : Agnès (Mimi Coutelier), une citadelle imprenable! L'histoire est sympathique et les gags efficaces abondent telle la partie de bowling! Aldo Maccione, reprèsentant amusant de la I.P.A (institut de psychologie avancèe), va l'aider dans sa quête du grand amour! Avec la participation de Catherine Lachens en routière nympho (il faut voir le chien qu'elle trimballe dans son camion), Jacques François (« je lave la porte, j'essuie la porte, je prends la porte ! ») et Robert Castel (on l'appelle Trinita) dans une partie de boules qui se joue uniquement dans le regard! Scènario (entre autres) de Jean-Jacques Annaud et musique de Vladimir Cosma! Un bon moment en perspective...
Pierre Renaud, trop timide pour être un grand séducteur, courtise depuis 10 ans Huguette Merle. Pour l'aider à remporter sa première victoire sur lui-même, il fait appel à Aldo Ferrari de l'IPA (Institut de Psychologie Avancée). Aldo le coach, joué par Aldo Maccione, lui vend des leçons sur cassettes magnéto. Il tombe amoureux d'Agnès (la belle et troublante Mimi Coutelier) qu'il poursuit à Nice. La distribution est complétée par Jacques François dans le rôle de Mr. Henri : le directeur du Negresco, avec la participation de Robert Castel en joueur de pétanque et Robert Dalban le chauffeur. Gags à gogo, des scènes burlesques (avec le chien et le sandwich), le char à voile... Le film est réellement porté par l'excellent Pierre Richard qui assure le rôle de Pierre Renaud.
Je suis timide mais je me soigne : Une comédie poilante et souvent drôle. Grace a un Pierre Richard en grande forme qui multiplie les gags a sa manière un peu maladroite et ça marche du tonner. Mais dans ce film, il est aussi bien aider par des personnages/acteurs secondaires très amusant : son coach en séduction, qui fait très italien, l’acteur qui joue le maitre hôtel a Nice… Et de ce fait du scénario très simple mais très efficace puisque c’est un homme très timide qui veut séduire une riche femme très classe mais ça va être dur dur, surtout qu’il faut la suive et avoir de l’argent pour être dans les mêmes hôtels ou alors improvisé… Non vraiment, l’humour est efficace et on a le droit a de très bonnes séquences avec des gags irrésistible (la partie de pétanques...). Donc voila, une comédie qui brille par son humour ravageur et ses acteurs très drôles.
C'est sympathique,certains gags fonctionnent,mais est ce que c'est une très bonne comédie non. Pierre Richard a un véritable talent comique mais il n'a pas celui de la réalisation.
les scénes avec robert castel et avec jacques fabbri sont exceptionnelles,à elles seules elles valent toutes les imperfections du film. on ne rit pas on meurt de rire tellement c'est hilarant. un trés grand film comique.
Aie ! Il faut croire que Pierre Richard a été frappé par un syndrome qui se rit d’Asclépios, qui le laisse baba et qui ne pardonne pas: celui de la page blanche. Sur ce coup là, l’ami Pierrot est en panne sèche d’inspiration. Du coup, ça se ressent sur la qualité de « Je suis timide, mais je me soigne », comédie poussive dans laquelle les longueurs sont plus présentes que les gags (qui ne sont pas des plus inspirés d'ailleurs). D’habitude, les films avec Pierre Richard me plaisent plus ou moins, mais arrivent toujours à un moment ou un autre à me faire marrer, mais là, ça n’est pas passé. Soyons pas vaches, il y a tout de même signaler quelques passages sympas (notamment la partie de pétanque avec Robert Castel), mais sur 1h25 de film, ça ne pèse pas bien lourd. Le reste du temps, on s’ennuie pas mal. On n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Pierre Richard, en tant que réalisateur, s’était montré beaucoup plus inspiré dans « Le Distrait ». Que voulez-vous, on peut pas réussir son coup à chaque fois. L’échec n’est pas complet, mais pas loin…
Je suis timide mais je me soigne est un des plus connus des films de Pierre Richard, et franchement je ne suis pas vraiment convaincu par ce métrage. Le souci c’est que si on peut rire de temps à autre, il n’y a pas véritablement de tenue dans ce métrage. L’histoire est en effet très ténue, voire inexistante par moment tant le film semble vouloir verser uniquement dans le gag de situation. L’idée de base est assez vite oubliée pour laisser place à une « course-poursuite » romantique entre Pierre Richard et Mimi Coutelier qu’il tente un peu désespérément de rejoindre. Le film amuse de temps à autre, notamment les passages avec l’excellent Jacques François, mais soyons franc, il n’y a pas vraiment d’histoire, le métrage ressemblant à une succession de sketchs, parfois heureux, parfois longuets (la pétanque), et parfois assez mous. En somme, ça peut se laisser voir une fois, surtout si on apprécie le style Pierre Richard, mais ça peine à réellement enthousiasmer. Le casting est bon, même si tous les acteurs ne sont pas très bien utilisés. Pierre Richard endosse un rôle qu’il apprécie, et comme assez souvent il le porte avec maitrise et enthousiasme, faisant de bonnes choses dès lors qu’un gag de situation se profile. Malgré cela, je regrette qu’Aldo Maccione soit un peu délaissé, principalement sous l’angle de son talent comique, et que la charmante Mimi Coutelier n’apparaisse pas davantage. En revanche, Jacques François est un second rôle excellent ici, et c’est clair que les morceaux les plus réussis sur le plan comique doivent beaucoup à sa confrontation avec Pierre Richard. Quant à la forme, on tient un film frais qui nous fait voir un peu de pays au gré des hôtels de luxe ! Plutôt sympathique, le film n’a rien d’exceptionnel, mais c’est un film frais et estival, autant par la photographie que le décor. Et puis Pierre Richard est tout de même assez bon comme metteur en scène pour emballer les gags visuels. Il en résulte un métrage correct mais pas plus enthousiasmants que cela, d’autant que la bande son m’a déçu. Clairement, Je suis timide mais je me soigne est une petite comédie sans grande envergure, qui peine à accrocher car il n’y a pas vraiment de liants entre les gags. Succession de situations comiques plus ou moins heureuses, ce film de Pierre Richard est un divertissement vite vu et assez oubliable. 2
Une bonne petite comédie bien sympathique signé Pierre Richard, bien que parfois un peu poussif, mais l'idée de départ est assez original, et la plupart des gags (visuels) sont assez drôles. On passe un bon moment.
Navrant, surtout quand on a vu des films comme "Le grand blond". Il y a trois ou quatre passages drôles, à tout casser, et encore. Il ne suffit pas de faire le pitre pour nous faire rire. Allez, aux oubliettes !
Première déception pour Pierre Richard en tant que réalisateur
Pour son quatrième film en tant que réalisateur, Pierre Richard nous déçoit relativement, cette fois. Bien que co-écrite par léminent Jean-Jacques Annaud (le futur réalisateur de Stalingrad, oui !), lhistoire, tout comme le rocambolesque duo Aldo Maccione P.Richard, manque cruellement de relief, et lon dénombre plus les longueurs que les bons gags. Sans parler de la crédibilité du récit, fuyant de scène en scène. Certes, à sa décharge, admettons-le, lon parvient à sourire le temps de ce fameux lavage dassiettes avec Jacques François, de ce jeu de regards aux boules avec Robert Castel (actuellement dans « Plus belle la vie ») où encore dun moment dimitation au resto routier avec Jacques Fabbri. Mais dans sa course inespérée à vaincre sa timidité, dont le but ultime est de déclarer sa flamme à lex Miss-France Mimi Coutelier, le fils -plus ou moins- spirituel de Jacques Tati semberlificote et lon regrette de ne pas rire autant que dans ses trois précémiers opus (pour rappel, « Le distrait », « Les malheurs dAlfred » et « Je sais rien mais je dirai tout »). Quant à Aldo Maccione, presquinutile ici, le début de la fin de sa belle époque semble être bel et bien entamé, et ce nest pas « Cest pas moi, cest lui », tourné par le même duo dacteur deux ans plus tard, qui démentira cette constatation. Mais globalement, le parfum dune certaine nostalgie et le rappel de ce style burlesque oublié, aidés par une énième plaisante musique de Vladimir Cosma, sauvent cette comédie dun échec total