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Un visiteur
0,5
Publiée le 20 août 2007
Je me demande encore pourquoi ce film a été crée??Sarah michelle Gellar devait etre en manque d'argent pour accepter de jouer dans ce navet!!!Il n'y a pas de forme ni de fond que des paroles...des longues repliques interminable, je n'ai pas pu regardé le film j'usqu'au bout pour tout vous dire j'ai meme casser le cd sur lequel je l'avais gravé!!!Le pire film qui existe. On pourrait meme croire que ce film a été filmé avec un portable bref passé votre chemin vous ne manquez rien
Mais qu'est ce que ce film est nul ! Décidément, sarah michelle gellar a fait 2 bons film et puis c'est tout ! Vraiment nul et je ne qualifiera pas ce film un thriller ! C'est totalement ennuyant.
Havard Story combine plusieurs genres et approche avec délicatesse différents sujets au fur et à mesure de l'évolution du film. Même si on peut avoir le ressenti d'un certain dispersement un peu partout à la fois, l'histoire tient la route, non sans s'accrocher aux branches, mais parvient tout de même à capter l'attention avec un suspense palpable. Mélange de quelques ingrédients de Sexecrimes pour le côté manipulations et coups de théâtre et d'un film policier/gangters-mafia pour le reste... Havard Story joue habilement avec les genres et cherche même à insérer une touche psychologique en s'intéressant au raisonnement intérieur de chacun sur soi même et sur les dessous de Havard. On retrouve d'ailleurs beaucoup ce côté psychologique durant le délire total d'Alan sous LSD, qui n'est pas sans rappeler l'esthétique des affreux bad trips de Requiem for a dream. Cette histoire de manipulation qui a pour but final... l'argent pour certains ou la gloire pour d'autres est intéressante, captive... notamment grâce à une excellente interprétation générale, surtout tenue par Adrian Grenier et Joey Lauren Adams (les deux personnages les plus captivants et mystérieux à la fois) suivis de très près par Sarah Michelle Gellar, Rebecca Gayheart et Eric Stolz. Donc malgré quelques maladresses scénaristiques, dues notamment à certains dispersements en tout genre, qui rend le film parfois un peu dur à suivre et une fin un peu décevante, l'ensemble reste extrêmement bon, allant du véritable ovni, esthétiquement et psychologiquement intéressant, au film de manipulations à suspense quasi-permanent. C'est bizarre, décalé mais tant mieux.
Après le plus ou moins réussi « Black & White », James Toback propose de nous révéler les dessous (scandaleux) d’Harvard... Pourquoi pas ? Le scénario, solide, mêle ingénieusement les intrigues et les genres, tandis qu’un montage saccadé et décomposé apporte à l’ensemble des longueurs conséquentes, s’identifiant d’avantage à une succession d’effets de style... Pareil pour la réalisation ‘sous-acide’ : la réussite du trip psychédélique à l’écran n’est pas totale, loin de là... Très dommage car HARVARD STORY avait tout pour réussir, en particulier du côté de son casting : Adrian Grenier et Joey Lauren Adams formant un couple attachant et Sarah Michelle Gellar, ultra-jouissive en garce ! Tant pis, on la retiendra en garce plus sulfureuse dans « Sexe Intentions »... Un bon moment ne se refusant pas, HARVARD STORY reste un bon film à voir.
L'affiche et la pub en général de harvard story présente le film comme pour divertissement pour ado prépubére à la american pie ou sexe intentions alors que le film fait preuve d'une réalisation déja exeptionnelle et d'un scénario peut étre revu mais digne des polars ou autres thrillers.La particularité de ce film c'est qu'il prend un tournant inédit et tente en vain de valoriser la philosophie.Le film est une grosse surprise méme si la fin est un peu baclé la faute à un happy end un peu ridicule.
Si l'originalité est là et que les comédiens savent insufler ce qu'il faut à leur personnage l'histoire elle reste un peu confuse et dénuée d'intérêt. 12/20
Alan Jensen passe un deal avec Andrew Bandolini , le père de sa copine Cindy, parrain de la mafia, pour truquer un match de basket-ball.
Mon Dieu que c'est mauvais! Rien que le synopsis, j'ai essayé de le résumer au plus possible mais on est très loin du synopsis entier du film. Je ne parle pas des deux agents du FBI, accros au sexe (comme tous les personnages d'ailleurs), ou même du LSD, que le personnage d'Adrian Grenier finit par consommer et qui nous offre 30 minutes totalement hors sujet de divagations et de déformations de visage (à tel point qu'Eric Stoltz ressemble à Michael J. Fox).
Passable au début, où les scènes de basket-ball (filmées par un myopathe, je ne comprends pas comment Ray Allen, pourtant excellent dans le film ait pu accepter de tourner des scènes aussi laides) s'enchaînent avec des dialogues hautement philosophiques (insupportables et prétentieux) qui sont dit lors d'une partie de ping-pong vocal, fatiguant du fait que les acteurs parlent vite et ne s'arrêtent jamais, entre Adrian Grenier (la cata, il arrive à être moins crédible que Zac Efron en basketteur) et Joey Lauren Adams (finalement, bonne actrice). Mais quand le film donne de l'importance à Sarah Michelle Gellar... C'est pire que mauvais, c'est exécrable, insupportable, prétentieux (à mort) et surtout futile à souhait. Déjà nul, le film n'est pas aidé par Rebecca Gayheart, par la musique signé Bach (souvent mélangé avec du rock ou du rap de très mauvaise qualité) avec chansons de Stomy Bugsy (sic), et donc la demi-heure de la honte.
Au moins, le film se relève un peu à la fin avec John Neville mais bon, ça reste assez mauvais. N'oublions pas les faux raccords volontaires, pour finir de consacrer James Toback comme un des réalisateurs les plus prétentieux de sa génération (parce qu'en plus, quand il se décide de filmer correctement, ça va pas mal...). La fin moraliste à souhait finit de nous achever.
06 / 20 C'est vraiment naze ! c'est du n'importe quoi du début a la fin ça m'enerve que sarah michelle gellar joue la dedans ! ce film ce veut etre un drame alors qu'il n'est qu'un mini petit film psycologique pour debile :)
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1,5
Publiée le 15 mars 2024
Sexe, philosophie et drogues dans l'une des plus prestigieuses universitès des Etats-Unis! Comme toujours, James Toback ne tourne pas son film dans les règles de l'art et n'a pas eu peur d'exprimer sa vision des choses, simples et complexes! Malheureusement "Harvard Man" (2001) dèçoit et laisse planer le mystère malgrè la prèsence de la sexy Sarah Michelle Gellar! Le rèalisateur de "Fingers" (1978) rèunit une bande de timbrès, les balance dans un sac, remue le tout et regarde ce qu'il se passe! Le personnage principal est un ètudiant de Harvard qui cherche une èchappatoire à travers la drogue et l'orgasme! De l'audace au dèbut où Toback crèe un environnement particulier pour finalement pas grand chose à l'arrivèe! Dommage car il y avait matière à faire avec cette curieuse association (sexe, pensèes philosophiques, LSD dècuplant les facultès, fragilitè de l'esprit...). On a l'impression en suivant ce film que Toback envoie tout valser! L'interminable sèquence du trip sous-acide marque aussi quelque part sa limite...
J'apprécie beaucoup Sarah Michelle Gellar mais, malheureusement, la plupart des films dont elle est l'actrice principale sont soit complètement barrés, soit insipides. Et ici, j'ai eu la malchance de tomber sur un film qui combine les deux ! Réalisé par James Toback et sorti en 2001, ce teen movie pas comme les autres raconte l'histoire d'Alan qui accepte de perdre à un match de basket dans le but d'obtenir l'argent nécessaire pour reconstruire la maison de ses parents (en gros). Très rapidement, le jeune homme va tomber dans des problèmes de drogue et se retrouver confronté au FBI. Le synopsis m'intriguait, j'étais en effet curieux de découvrir ce teen movie qui sort des sentiers battus (et c'est rien de le dire), surtout qu'il a quand même des critiques pas catastrophiques non plus (et franchement, on se demande pourquoi un tel navet n'a pas plus attiré les foudres que ça). Mais alors, si le début du film est relativement accrocheur (si on omet le montage atroce et la mise en scène "spéciale" mais j'y reviendrai), le scénario s'éparpille ensuite dans des délires de plus en plus improbables, jusqu'à finalement perdre de vue le sujet principal (y en a t-il un d'ailleurs ?). C'est ainsi qu'on tombe dans des scènes complètement lunaires dans lesquelles Alan est dans son trip et raconte n'importe quoi à des inconnus et voit tout de manière déformée, ou encore toutes les scènes avec les deux agents du FBI qui ont des méthodes plus que particulières (et qui, surtout, ne sont absolument pas crédibles, j'ai rarement vu des personnages aussi mal écrits que ces deux-là). La toute fin remonte quant à elle un tout petit peu le niveau avec son très léger twist, même si le film tombe dans un morale des plus indigestes (autant écrire en filigrane "just say no" pendant tout le film). Concernant la mise en scène, faire n'importe quoi avec sa caméra n'est pas forcément synonyme de sophistication ! J'ai en effet lu dans de nombreuses critiques que la mise en scène était très originale, sophistiquée etc. alors qu'elle est en réalité juste ratée mais surtout prétentieuse. De même en ce qui concerne le montage avec ses nombreuses scènes en montage alterné et parallèle qui ne servent strictement à rien et perdent le spectateur plus qu'autre chose. Sans parler des nombreux mélanges de musique classique et pop à en donner mal au crane (je pensais même que la version du film que j'ai était juste buguée). Bref, un film bien mauvais donc dont on ne se demande plus pourquoi il est tombé dans un tel oubli !
"Harvard story" serait à classé dans la catégorie "Drame" puisque le fond du film est la drogue. Un peu comme "Requiem for a Dream" on a une leçon à la fin pour nous dire que la drogue c'est mal, bien sur on est loin de l'émotion de " Requiem For a dream" mais néanmoins l'histoire est assez prenante malgré que ça soit vraiment simple. La prestation des acteurs est médiocre surtout celle de S.M Gellar, quant à Adrian Grenier il est correct mais sans plus on est très loin de son personnage de "Entourage". Sans grande prétention le film peut s'avérer efficace comme parfois soporifique.