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Plume231
3 878 abonnés
4 639 critiques
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3,0
Publiée le 13 novembre 2015
Un John Waters qui a ici limé pas mal ses griffes, mais même des griffes limées peuvent parfois faire mal. Si le ton est ici résolument optimiste, notamment dans un dernier quart d'heure assez euphorique, si la famille présentée est très sympathique comme tout, même l'hilarante petite sœur qui n'arrête pas de se défoncer aux sucreries, les bobos new-yorkais à qui le cinéaste oppose les bas-quartiers de sa ville chérie Baltimore, qu'il n'épargne pas non plus évidemment, sont présentés d'une manière cinglante. Et en plus, s'il y a Christina Ricci, à laquelle je n'ai jamais pu résister, en propriétaire d'une laverie fine et cynique observatrice de ses clients, j'avoue que je n'ai pas eu trop envie de faire la fine bouche.
Pecker est une comédie très légère qui ne vaut pas grand chose. sans ambition ni démesure , l'un des grand personnages du superbe American history X, s'est perdu dans ce rôle de photographe idiot. Une rangée de personnages sans envergure agrémente cette petite histoire mais ils ne réussissent pas à relever quoi que ce spot tant le scénario patauge. Un petit conte de fée digne d'une bonne série Z, à jeter.
Une œuvre délurée, tout comme peut l’être son réalisateur John Waters. Avec Pecker (1999), il dresse le portrait d’une multitude de personnages, tous très différents les uns des autres, mais vivant tous à Baltimore (ville natale du réalisateur). On y fait la connaissance de Pecker, jeune adulte qui passe le plus clair de son temps à prendre en photo tout et n’importe quoi (des rats qui s’accouplent, des streep teaseuses, des danseurs gays, sa petite amie, etc). Un jour, il décide d’exposer ses clichés dans le fast food où il travaille, c’est alors qu’une jeune New Yorkaise découvre son travail et décide de l’exposé à N.Y. Répliques et situations loufoques, drôles et attendrissantes, Edward Furlong en impose aux côtés de Christina Ricci.
Un film qui a indéniablement son petit charme. Après tout, John Waters entend valoriser les œuvres pas forcément réussies techniquement mais sincères dans la démarche : c’est ce qu’il fait et pour moi ça marche. Il y a un aspect gentil et léger qui se dégage de ce film, sans qu’il ne soit pour autant nier. L’air de rien cet équilibre subtil n’est pas si évident à garantir. Et puis bon, ne serait-ce que pour le plaisir de voir Edward Furlong et Christina Ricci ensemble à l’écran, cela peut valoir la curiosité…
Un des plus gros regrets de ma vie de cinéphile a été de laisser ce film jusqu'au bout...j'aurais du mettre avance rapide sauter des passages ou tout simplement couper au bout de quinze minutes. J'ai rarement subi un film aussi navrant de toute ma vie et dorenavant je me mefierais plus des critiques presses que je pensais très crédibles. Navrant pathétique débile désolant il n'y a pas assez de qualificatif pour désigner cette m*rde. Une histoire sans interet des personnages secondaires stéréotypés, des situations embarassantes et surtout un personnage principal...on dirait un mongole, c'est grave là...surtout en vo le mec crie a sa représentation pr appeler les gens, la mère qui veut accueillir des sdfs dans une galerie d'art la grand mère qui joue (mal) les ventriloques l'agent pas du tout subtile avec des airs de tebeu qui tombe amoureuse d'edward furlon le truc a peine grillé bref. Il y aurait tellement à dire sur ce film qui est plutot une catastrophe cinématographique tant sur les situations les persos rien ne va c'est nul de chez nul
Waters nous fait une bonne critique du show biz américain mais aussi du snobisme des mileux culturel. On a un peu l'impression de le reconnaitre a travers son personnage de pecker (surtout avec la derniére réplique du film) et c'est bien sur ici l'ascension sociale et les dégats que celle ci provoque qui est critiqué.Pas aussi percutant qu'un Cecil B Demented Pecker reste tout de méme un bon moment de rigolade ou on reconnait bien la touche de John Waters.
Vous aimez la photographie ? vous aimez les films authentiques et qui ne se prennent pas au sérieux ? la positive attitude ne vous rebute pas et vous êtes capables de frémir devant la soudaine et nocturne beauté d'un car flamabant neuf arrivant à destination ? vous ne subissez aucun préjugé et avez l'esprit suffisamment ouvert pour croire à une vierge marionnette émue de la joie régnant dasn ce film sans préjugés, sans leçons, profondément humaniste dans la mesure où John waters a compris une chose fondamentale : c'est la joie, le regard qui ne juge pas , et la tendresse en marche qui unissent tous les fous (et les folles) adorablement humains qui sauvent le monde de l'art et l'art du monde. A Baltimore, comme ailleurs... Vive Pecker !!!
Un film sympathique avec des personnages loufoques et attachants. Linterprétation des acteurs est plutôt bonne (mention spéciale à Edward Furlong toujours aussi excellent !) et la mise en scène de John Waters toujours aussi kitsch !
un film drôle a regarder le soir entre potes,après s'etre fait peter le bide avec une bonne tartiflette! Ed furlong est tout simplement génial dans son rôle d'ado un peu fou pro-artiste comtemporain (de plus on a pas souvent l'occasion de le voir dans un film comique) c'est donc un film a voir, surtout pour lui et pour le côté "fresh".
Ce film est une merde. Je n'arrive vraiment pas à comprendre qui a bien pu passer un bon moment en voyant cette bouse. PS, on ne peut pas noter un film "0" ce qui explique le demi-point que j'ai offert à ce navet.