Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,5
Publiée le 14 décembre 2010
Un bon film où Sandra Bullock joue une accro. Le sujet est traité avec des pointes d'humour vraiment agréables, les persos secondaires sont tous très bons et l'ensemble est touchant. Intéressant !
Cette "comédie" réalisée par Betty Thomas et sortie en 2000 est assez mauvaise. "Comédie" entre guillemets car le film est plutôt une dramédie mais une dramédie bien à l'américaine, c'est-à-dire, lourde, puritaine et moralisatrice. En même temps, avec un sujet pareil, on était en droit de s'y attendre ! C'est effectivement l'histoire de Gwen qui se voit obligée de suivre une cure de désintox à la site d'un accident de voiture. Et, pour une fille qui a toujours grandi dans et avec l'alcool, c'est compliqué ! Si le film démarre comme une comédie mal réalisée et mal montée mais relativement sympathique, on vire ensuite très vite dans le côté moralisateur. Bah oui, parce-qu'on ne rigole pas avec l’alcoolisme quand même ! Ainsi, les rouages du film prévisible se mettent petit à petit en place en nous présentant toute une série de situations et de personnages clichés. Dès la présentation des personnages et dès l'entrée en désintox de l'héroïne, on connait le schéma narratif qui ne fait d'ailleurs jamais aucun effort pour sortir des poncifs du genre. Et, si le film n'est pas désagréable à suivre non plus, il est loin d'en être captivant ! Car en dehors de ce côté prévisible, on a du mal à s'attacher à des personnages interprétés plutôt platement (et pourtant, j'adore Sandra Bullock) et puis on s'ennuie beaucoup, tout simplement ! "28 jours en sursis" est donc un film lisse, plat et très oubliable.
Film honnete sur la rédemption d'une alcoolique, les acteurs s'en sortent bien et plus spécialement Mrs Bullock. Bien entendu, comme dans la plupart des films Américains, la morale est sauve et malgré la fin façon bisounours, on ne s'ennuie pas.
Malgré le sujet difficile, ce film est globalement agréable à regarder, les côtés gnangnans n'étant pas envahissants. La prestation de Bullock est fabuleuse, pour le reste du casting on est un ton en dessous, Mortensen étant en deçà de ses possibilités et Buscemi n'ayant pas assez d'espace pour exprimer son talent. La mise en scène est correcte mais parfois un peu pépère. Sur le fond certains diront que rien n'est traité en profondeur, mais le sujet n'est pas tant l'addiction, que l'addiction de Bullock. Le message était celui de l'espoir "genre vous voyez qu'on peut s'en sortir". Un peu naïf, mais si au moins ça pouvait servir à quelque chose…
Joli film que "28 jours en sursis". Il faut surtout en retenir le jeu d'actrice de Sandra Bullock et les personnages attachants qui l'entoure. Il est certain que les étapes de la cure de désintoxication sont survolées en 1h40 mais l'histoire suit surtout le chemin personnel que fait Gwen (Sandra Bullock) pour se sortir de ses addictions. Il faut donc prendre "28 jours en sursis" pour ce qu'il est : un film sympathique, pas prise de tête et pourtant abordant le chemin de la rédemption avec une certaine réflexion si on veut bien se donner la peine d'y mettre un peu du sien.
Traitement du thème très décevant avec des clichés outrageusement surexploités flirtant souvent dans le ridicule et rempli de scènes totalement inutiles. A éviter 0/5
"28 Days" aborde un sujet aussi intéressant que délicat : le passage en cure de désintoxication pour les alcooliques, ou les accrocs en général. On suit ainsi une journaliste citadine, condamnée à effectuer une cure en pleine campagne, après un accident en état d'ébriété prononcé. Le hic, c'est que le film se vautre sur presque tous les niveaux pour traiter ses thématiques. La mise en scène est à la fois laide, plate, et sans aucune subtilité (gros plans en qualité DV pour les flashbacks très alcoolisés, plans grossièrement débullés pour les séquences en état d'ébriété, photographie très terne...). De même, plusieurs acteurs en font des caisse. Sandra Bullock d'abord, qui passe de la fêtarde insupportable et insouciante d'admettant pas son problème, à la sobre sensible voulant tout changer. Et Dominic West, qui en rajoute des tonnes en petit ami qui la pousse à boire (certes, son personnage est censé être un c.., mais tout de même !). On aura tout de même le droit à quelques acteurs talentueux et beaucoup plus fins : Steve Buscemi et Viggo Mortensen... auxquels le scénario ne laisse malheureusement pas beaucoup de place. Car l'écriture apporte aussi son lot de problèmes : sous-intrigues peu développées, aspect régulièrement moraliste, et thématique de l'addiction totalement survolée (on a l'impression que les causes de l'alcoolisme se résument à une volonté de débauche...). Il y a tout de même quelques idées amusantes, avec des rôles secondaires attachants. Et ce soap opera volontairement ridicule qui revient plusieurs fois dans l'intrigue. Mais c'est une bien maigre consolation !
C'est étonnant de voir l'emprise du temps sur certains films comme celui-ci qui a eu un assez bon accueil vu les notes et pourtant de nos jours en 2014 si on enlève les "grands" acteurs ce film ressemble simplement à un vulgaire téléfilm où seul Sandra Bullock tire son épingle du jeu. Le thème n'est traité que d'une manière superficielle, ça manque de rythme et de consistance puis de toute façon des films sur l'addiction il y en a des biens meilleurs et ce film ne tient jamais la comparaison.
Jolie petite leçon de comme quoi on peut s'en sortir quand on prend en main sa vie et surtout de non pas la subir mais de la cogner et à pleines dents. Par contre, utilisation de flasbacks pas toujours primordiale mais bon, faut aussi se rendre compte de l'excellente prestation de Sandra Bullock et le film ne manque pas d'humour.
C'est vrai que le propos n'est pas antipathique et que Sandra Bullock s'en sort bien dans un rôle assez casse-gueule. Reste que nous sommes quand même dans le pur cinéma commercial Hollywoodien, avec leçon de morale bien lourdaude et une galerie de seconds rôles très inégales (si Steve Buscemi est bon, c'est moins le cas de Dominic West et surtout Viggo Mortensen), le tout mis en scène de façon plus que moyenne voire assez racoleuse. Un bon exemple de sujet généreux où le résultat est raté faute de talent et de subtilité : c'est dommage...
Un film qui met beaucoup trop de temps à démarrer et quand il démarre, ça retombe vite malheureusement. Pourtant, le sujet était intéressant, la myriade de personnages aussi mais la réalisation est moyenne, le rythme est trop saccadé, les dialogues ne sont pas assez tranchants et les situations manquent de violence. Je trouve ce film trop léger !!
Je n'avais jusqu'à présent jamais eu vent de ce film, et ce fut une belle surprise même si la fin tombe comme un cheveux sur la soupe. L'histoire est plaisante, on découvre l'évolution de Gwen quant à son mode de vie mais également celle de ses camarades, qui semblent tous être dans leur propre réalité. J'ai apprécié de retrouver Sandra Bullock dans ce ce film, tout comme bon nombre d'acteurs au casting. La réalisation et le scénario sont assez commun mais on se laisse vite entraîner par ce qui nous est proposé. Un beau film que je vous recommande.
On ne peut pas dire que "28 jours en sursis" m'aie réellement emballé, mais il faut bien avouer qu'il se laisse très bien regarder... si l'on est un fan de Sandra Bullock. Quelques scènes m'ont toutefois parues maladroites voire caricaturales. Disons que ce n'est pas le meilleur film dans lequel on aie pu voir Sandra Bullock ( niveau émotion, on est par exemple très loin du romantique "L'Amour à tout prix" ( "When you were sleeping" ) ).
Sandra Bullock joue l’alcoolique. Elle a foutu en l’air le mariage de sa sœur, et punie par la justice, va devoir faire une cure de 28jours dans un centre de désintox. Guère original, et la fin attendue, 28JOURS EN SURSIS n’est pas moins drôle. Pas de prise de tête, on suit les méandres psychiques de notre Sandra perturbée au possible par la non-absorption d’alcool. Un film avec la Bullock n’en serait pas sans une love-story, certes secondaire, qui au final prend tout son sens, avec un nouveau départ. Positif et dramatique, le film se laisse regardé d’une traite et quand le générique arrive, on est surpris d’avoir été touché et qu’1h40 soit passée aussi vite ! Que du bon.