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justineg
59 abonnés
906 critiques
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4,0
Publiée le 29 septembre 2006
J'ai vraiment beaucoup apprécié ce film. Le personnage de Nick m'a beaucoup touché et la composition d'Ewan MacGregor est superbe, il est vraiment à l'aise dans ce rôle et très crédible. De plus, j'ai découvert Anna Friel qui est très fraîche. Au fond, une histoire assez triste sur un homme qui a joué avec le feu et qui s'est brûlé les doigts !!
Bon film, qui est agréable à suivre mais qui reste complexe à comprendre dans les détails. Un peu plus de pédagogie financière n'aurait pas fait de mal pour bien comprendre les failles du système de la Barings, et d'autres banques par la suite.
Trader est un film médiocre , inférieur à un long métrage comme "les initiés" de ben younger, beaucoup plus prenant. Réservé aux fans de Mc grégor , les autres...
Le scénario, adaptant un fait réel au cinéma, est très prennant. Une fois le film commencé, on suit les faits et gestes de Nick Leeson, interprêté par Ewan McGregor qui arrive à nous faire accrocher à ce thriller dans le monde de la finance. Mais le film est malgré tout déconseillé à ceux qui ne s'intéressent pas à la finance et qui ne veulent rien en savoir.
Film moyen d'un réalisateur médiocre et sans ambition. Prévisible et peu d'intérêt pour le spectateur, un documentaire sur Nick Leeson aurait été plus approprié. Assez bonne performance pour McGregor.
Déjà une chose "trader" n'est pas là pour expliquer au profane le fonctionnement des "margin call". On ressortira du film sans en savoir plus qu'en y entrant et là n'est pas l'important. "Trader" nous immerge à merveille dans l'effervescence boursière vécue par les traders entre attraction maladive et effroi total. On comprend mieux le pourcentage légendairement élevé des cocainomanes dans la profession et le fait qu'on voit très rarement (jamais pour ma part) de "vieux traders" (= > 40 / 50 ans). Ewan Mac Gregor est remarquable. 4 / 5
Perso, lorsque je regarde un film intitulé « Trader », j'espère avant tout que celui-ci va dénoncer ce milieu aussi antipathique que cynique, et cela de façon violente si possible. Et bien pas du tout ! En plus d'avoir droit à un mini-éloge sur la politique libérale de Margaret Thatcher (allô quoi !), nous devons subir un spectacle souvent ennuyeux sur des personnages dans le meilleur des cas inintéressants (à l'exception peut-être de Lisa, joliment interprété par Anna Friel), où les préoccupations de chacun sont à la limite de l'indécence. Je n'ai absolument rien contre les histoires d'escrocs, au contraire, mais encore faut-il qu'elles aient du panache, du rythme, des situations excitantes et pertinentes... là, c'est le calme plat pendant 97 minutes, James Dearden n'étant manifestement pas l'homme de la situation derrière la caméra. Pourtant je ne lui en veux presque pas tant le projet semblait d'emblée voué à l'échec avec une telle histoire et un tel parti pris pour un héros qui ne méritait certainement pas que l'on adapte ses mémoires sur grand écran. Bref, si l'on sauvera (quand même) quelques scènes bien senties, difficile pour autant d'être indulgent devant un spectacle aussi poussif et illégitime : à éviter.
Bon film qui ne se contente pas d'une critique stupide et caricaturale du mechant monde capitaliste comme a pu le faire le Loup de Wallstreet. On rentre ici un peu dans les details techniques et dans la vraie vie du trader (et non la caricature dressée par Scorcese). Les acteurs sont globalement assez bons et on rentre vite dans l'ambiance de la corbeille (où se faisaient autrefois les echanges) et de l'expatriation. La bande son , sans etre exceptionnelle, a le merite de bien coller a l'histoire.
Rendu célèbre grâce à son scénario du film Liaison fatale (1988), James Dearden adapte l’histoire vraie de Nick Leeson, jeune homme ambitieux et naïf, travaillant à la Baring's Bank, l’une des plus ancienne banque Londonienne, est LE trader qui fit sombrer la célèbre banque suite à d’innombrables erreurs commises et cachées à l’insu de ses responsables. Vénéré par ses hauts responsables pour les nombreuses sommes faramineuses qu’il fit gagner à la banque, alternant entre chances et malchances, il accumulait aussi pas mal de dettes dépassant le milliard de Yen. Mais une fois le pot aux roses découvert, il était trop tard pour reculer, la banque avait franchit le point de non retour, et lui, tentait de fuir ses responsabilités en quittant le pays. L’histoire incroyable de ce trader irresponsable n’a plus rien de choquant à l’heure d’aujourd’hui, après les nombreuses affaires relatées dans la presse (dont le plus médiatisé est Jérôme Kerviel qui a fait perdre plus de 4 milliards d’€uros à sa banque). Trader (1999) est un film qui nous captive avec aisance, l’intrigue étant particulièrement saisissante, on n’en décroche pas et ce, jusqu’au dénouement final. Ewan McGregor y est aussi pour beaucoup, en incarnant ce personnage central.
Partant d'un scénario original et interessant dans le sens ou c'est tiré d'une histoire vraie, on se dit que l'on va assister à une réalisation ou le réalisateur va plutot donner son point de vue (par rapport à l'histoire mais également implicitement vis à vis de ce que se passe actuellement dans la société) ; mais le réalisateur arrive à être assez objectif mais pas vraiment convainquant à mon gout. Ne voulant certainement pas ennuyer son public, le réal tente d'exploiter le coté plus "famille" de lhistoire... Mais malheureusement, on se rend vite compte qu'il s'agit du coté ou a proprement parlé , on apprend pas grand chose et ou ce qui est le moins interessant (par rapport au scénario et aux divers rebondissements possible) et le plus souvent mis à l'écran. Se centrer sur la trame générale tout le long aurait peut etre était plus interessant, mais surement plus ennuyeux donc à la limite... Mais cela rend le film un peu "sobre", paraissant moins travaillé mais également laissant apparaitre de nombreuses longueures... Pourtant à la base, le coté moins pro est plus ou moins là pour combler le "vide" et éviter l'ennuit du spectateur ; il y a en plus de ce coté sans interet pour l'avencement du film, des longueures palpables tout le long du film. Du coup, on en apprend peu ; sur un sujet qui à défaut d'être peu interessant pour un large public ; aurait pu quand même ; avec un minimum de travail et d'implication. Avoir un rendu nous donnant envie d'en savoir plus... Mais non, rien de tout ça. La prestation des acteurs est correct et montre bien là un film sans prétention qui ne se prend pas pour un blockbuster. Donc partant d'un scénario laissant une ouverture sur divers directions (tout en restant sur la réalité des faits), on se lasse donc tres vite et l'on comprend également que le film n'ira pas beaucoup plus loin que ce que l'on voit et apprend au cour de la 1er demi-heure. DOmmage, car même si ce sujet, peut paraitre "lourd" ; il y a pourtant matière à faire quelques choses de plus palpitant (sans pour autant enjoliver la réaliter ou alors c'est qu'il n'y avait pas assez de matière à faire un film). J'en ressort septique et plutot déçu m'attendant à un film qui sans avoir l'ame d'un "grand", se démarqueré par son sujet, sa vérité ; mais aussi par ses rebondissements (qui font généralement que cela devient un problème ou un sujet d'actualité) ; mais hélas rien de tout ça. Sa se laisse regarder, mais l'on s'ennuit assez vite ; dés lors que l'on a compris le fonctionnement du film et sa fin assez prévisible avec un minimum de reflexion, et encore. Bof
Moyennement convaincu. Le film n'est pas spécialement vieux mais il fait déjà très daté au niveau de sa mise en scène. Si cinématographiquement parlant ce n'est pas très intéressant, le scénario peut relever le niveau. On se perd parfois dans les explications boursières etc. mais le film a le mérite de parler d'un sujet contemporain, d'autant plus remis au gout du jour depuis quelques mois par la crise financière. A part ça le film se laisse regarder, mais rien de génial non plus. Deux étoiles sur cinq.
Entre la réalité et la fiction il y a une fine barrière ici, malgré un traitement de la mise en scène et du duspens assez facile et niais, l’histoire fascine par la véracité des faits. C’est regardable mais sans plus.