Une belle surprise que ce film Anglais au scénario répété de petites frappes de quartier ( La plupart des sujets des films Britannique , les petits truands , dont la moitié au QI inexistant , ça doit être une institution chez eux ) . Un scénario avec beaucoup d'humanisme et le petit plus qu'il fait parti des meilleurs du genre .
Un très très bon polar social... A l'époque Thatcher un ouvrier quitté par sa femme après l'avoir trompé rencontre des videurs auprès de qui il se révèle... Tout se passerai pour le mieux si l'un des videurs de s'était transformé en dealer dans leur propre boite. Au début le "héro" est lâche, misérable, esseulé mais au fur à mesure qu'il côtoie ses nouveaux copains il devient plus viril, plus courageux...etc... Et cette évolution va de pair avec les ennuies qui s'accumulent petit à petit avant d'atteindre le summum lors d'une scène d'une violence suggérée mais puissant comme un uppercut. La fin a sa morale mais est nuancée par le reste d'un film qui par moment rappelle "la voix de samourai" du "Ghost dog" de Jim Jarmush. La voix OFF n'est pas toujours utilisé à bon escient et d'ailleurs était-elle si utile ?! En tous cas le meilleur film depuis ce début d'année.
Premier film du réalisateur, premier scénario du scénariste, je dis "chapeau". Comme presque toujours, le cinéma britannique me surprend avec ce très bon film parfois violent et si bien joué par ces acteurs inconnus.
Une très bonne chronique sociale dans l'Angleterre des années 1980 d'après un récit autobiographique. L'évolution du personnage de Danny est intéressante à regarder, il affronte ses faiblesses en s'affirmant par la pratique de la boxe qui lui permet de devenir un bon videur de boîte de nuit dont la nature de la fonction est très bien rendue avec réalisme à l'image de l'acteur Colin Salmon très convaincant dans son rôle d'autant plus qu'il a vraiment exercé l'emploi tout comme le scénariste du film. Il est appréciable de voir aussi que la vengeance par la violence est montrée comme n'étant pas un bon recours puisqu'elle ne fait qu'empirer la situation dans le film.
Ce film noir et violent est extrêmement bien servi par des acteurs solides, crédibles et talentueux. De l'amitié, de l'amour aussi, un certain sens de l'honneur pour ce film noir et dur. Mais fort en même temps ! Ames sensibles s'abstenir.
Avec des thèmes comme le deal de drogues, une boîte de nuit et du banditisme le film ne semble pas très original mais du point de vue des videurs d'un club ça change. Pas de violence à outrance juste ce qu'il faut, la mise en scène est pas géniale juste correct. Un twist final surprenant mais pas incroyable.
The Club est un très bon film sur la confiance en soi, sur l’amitié. Si je devais en faire une analogie ciné, je dirai qu’il y a un peu de Scarface dans ce film avec cette lente montée en puissance de Danny qui prend confiance en soi, trop même, ce qui finira par lui nuire au final. The Club ou « l’ivresse du pouvoir et ses conséquences » est un très bon divertissement qui va un peu plus loin que le simple divertissement conventionnel et minimaliste qui se serait contenté de montrer des scènes de bastons médiocres et sans fondements. Non. Neil Thompson glisse ici et là des règles de vie philosophiques dans son bébé à l’image du livre de Sun Tzu, L’Art De La Guerre, pour ne citer que lui. (critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/2009/07/31/critique-the-club/)
Bien décevant ce film pourtant encensé par beaucoup d' autres critiques spectateurs. Une affreuse sensation de déja vu affaiblit considérablement le potentiel de ce long métrage. Dommage.
Le film retrace bien l'époque du début des années 80 en Angleterre avec son taux de chomâge record, ses rues délabrées et sa criminalité. Un trés bon thriller divertissant, servi par de trés bon acteurs.
j'ai pas été très emmenée par l'histoire, mais il est toutefois très bien réalisé, les personnages sont réalistes, plus vrais que nature. on se retrouve transporté dans l'angleterre des années 80. un mélange de plein de sentiments.
Un père de famille divorcé, timide, réservé et qui a peur d’affronter la vie de tout les jours, fait la rencontre d’un groupe de videurs d’une boîte de nuit qu’il rencontre au sein d’un club de boxe. Louis, Sparky & Rob l’intègre auprès d’eux en un rien de temps. La vie prend alors un tout autre sens et il se sent capable d’y faire face jusqu’au jour où il se retrouve face au parrain du milieu local, sa vie dérape alors à nouveau, mais Louis est là pour l’en sortir. Neil Thompson réalise ici son tout premier long-métrage en adaptant le best seller « Watch my Back » de Geoff Thompson (adapté de sa vie réelle). The Club est une plongée de plein fouet dans la dure réalité qu’était la Grande Bretagne des années 80, entre le chômage, la drogue et la violence. Neil Thompson nous dresse le portrait de multiples protagonistes, tous si différents les uns des autres, qu’ils soient attachants ou détestables. Mel Raido, qui interprète le personnage central de ce drame est saisissant, aux côtés de Colin Salmon, que l’on retrouve avec beaucoup de plaisir (un acteur talentueux que l’on voit rarement au cinéma). Mais les seconds rôles nous réservent aussi bien des surprises, tout comme la scène finale qui, sous forme de twist ending, conclut ce thriller sous les meilleurs auspices. Saisissant, percutant, ajoutez à cela, une B.O très « eighties » et des acteurs au fort potentiel, The Club est la révélation Britannique de ce début d’année 2009 !