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    Mourir comme un homme
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    2,9
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    40 critiques spectateurs

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    kibruk
    kibruk

    144 abonnés 2 542 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 mai 2021
    Film insupportable à regarder et ce n'est pas faute d'avoir essayé de m'y accrocher. Tout ici est pénible et poussif, d'un début aberrant jusqu'à un final qui arrive comme un soulagement. L'image est laide, des scènes vides de sens s'étirent sur plus de deux heures interminables, le scénario n'a ni queue ni tête, les personnages sont tous désagréables. Le film est si mauvais qu'il en arrive même à ne pas parler de son sujet, l'identité de genre, mais vire à la carricature grotesque et misérabiliste dépressive.
    Anonyme M
    Anonyme M

    60 abonnés 1 655 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 septembre 2021
    nul nul a un point rarement atteint. déjà le titre POURQUOI ?? mourir comme un homme alors que l'histoire est censé parler d'une femme transgenre ??? une scène INCOMPREHENSSIBLE avec des militaire dans le noir, en infiltration sans aucune raison.........la scène d'après le film switch en monde des drag Queen BIEN POURRIE, des scènes en mode WTF ??? c'est quoi ce bordel ?? le père se prend la tête avec sont fil parce ELLE est une femme transgenre drag Queen la scène incompréhensible où les couleurs s'illumines en bleu et rouge comme un sapin de noël, la scène humiliantes où elle se met nue en plein milieux d'une auditons et que l'autre personne réplique " quoi ? ta jamais vu un homme nu ? " ho mais non !!! c'est une femme transgenre !!!, d'autres scènes assez banal où elle prend le thé, puis d'autre scènes où la couleur sature en rouge foncé (pour signifier la couleur du diable je suis pose........). soi c'est humiliant, soit c'est perçu comme étant diabolique avec la couleur rouge vif, soi c'est rendu en scène triste alors qu'elle est entrain de transitionner afin de devenir elle-même LE SUGET NEST PAS COMPRIS d'un bout a l'autre. nul nul a un point rarement vu.
    La_Mort_Dans_L_Oeil
    La_Mort_Dans_L_Oeil

    28 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mai 2010
    Mourir de ridicule plutôt... Après une ouverture fantastique, luisante comme une progression de soldats dans la jungle de nuit, avec la patte du Joao Pedro Rodrigues qu'on aime, le film se vautre pendant durant plus de 2 heures dans des atermoiements clichés sans fin, complaisants, pathétiques. Tend au sublime en matière de vacuité navrante, hypnotique. Du Pedro Almodovar sous lexomil. Le thème transgenre est confusément évacué très vite au début au profit du bon vieux travesti caricatural, pitoyable, créature de foire façon "Cage aux Folles" avec son toutou, offerte grassement au voyeurisme, et la salle glousse, comme quand on assiste à la dispute d'un couple qui se donne en spectacle dans les transports en commun. Le micheton toxico tout à coup est sevré d'un claquement de doigt ; le fils apparait pour disparaitre aussitôt, acteurs absents. Naufrage lénifiant dont il ne reste pas grand chose à sauver, qu'on laisse volontiers sombrer sans ciller
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 novembre 2013
    j'ai détester ce film. Je me suis ennuyer à mourir. Je crois qu'il n'y a pas de mot assez fort pour dire à quel point il est mauvais. Déjà je trouve qu'il est très mal filmer. Je ne comprend pas cette propension à ne vouloir filmer qu'une partie du visage ou les corps sans les têtes et encore moins cette manie de passer du coq à l'âne sans même donner un indice sur le pourquoi du comment. Ensuite ce film est censé et je dis bien censé traiter du problème d'identité de genre et à aucun moment j'ai vu le personnage réellement remettre en question son changement de sexe effectif ou non. Je ne me suis pas attaché à ce personnage que j'ai trouver caricatural au plus au point et même limite détestable tant il est chouignard et vide de sens. les scène sont longue et sans vraiment d’intérêt la profondeur du personnage n'est pas creuser et les silence ne veulent absolument rien dire pour le coup.
    MargoChanning
    MargoChanning

    6 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 mai 2010
    Non, non et non ! Passez votre chemin ! Ce film est d'une lenteur insuportable!
    Peut-être que la beauté de certains plans pourrait donné quelques "pimants" à ce film soporiphique mais rien n'y fait.
    On peut y retrouver des clins d'oeil almodovariens mais cela ne ressemble qu'à une copi ridicule. Les personnages sont laids et leurs profondeurs tellement peu sondées, le temps de réaction est celui d'un escargot, certains acteurs jouent mal! Ils sont fatigués, las, à bout de souffle... et nous aussi. Beaucoup de spectateurs sont sortis de la salle au bout d'une heure!
    ffred
    ffred

    1 692 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2010
    Les deux premiers films de Joao Pedro Rodrigues O Fantasma et Odete sont, parait-il, très spéciaux, je ne les ai pas encore vu, mais celui-ci l'est apparemment tout autant. On passe tour à tour du bizarre au glauque au sordide et à la tragédie. Le tout est assez insaisissable mais possède quelque chose de fascinant. Comme un monde parallèle attirant par ses lumières et ses zones d'ombre mais ne donnant jamais la clef pour le comprendre ou y accéder. Un monde peuplé de créatures interlopes plus ou moins sympathiques emmenées par une Tonia tête à claque mais qui finit par être attachante. Le tout est mis en scène de façon irréelle voir fantasmagorique, très sombre ou très colorée. Mais on assiste avant tout à une belle histoire d'amour hors norme à la fois onirique et tragiquement réelle. Les acteurs sont tous formidables avec en tête Fernando Santos dans le rôle titre. Un film ovni dont on ressort dubitatif même si l'émotion nous étreint dans la dernière scène. Reste la question sans réponse : comment vivre comme une femme et mourir comme un homme...???
    Vareche
    Vareche

    41 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2010
    Je ne sais qui sont les Les Cubs 300 qui prennent un malin plaisir à castrer le film, mais ils ont au moins le goût aussi revêche que le verbe. Mourir Comme un homme affirme un cinéaste parfaitement au fait du sentiment. si Odete se permettait des ratages et des fautes terribles, si O Fantasma était une oeuvre de jeunesse trop rigide (mais avec quelles idées!!!) Mourir comme un homme est passionnant de bout en bout. Rare sont les films à l'exception notoire d'avant que je n'oublie de Nolot, à parler du sentiment homosexuel avec cette contenance et cette promiscuité, cette intégrité dans la forme et dans le fond. Pedro Rodrigués réunit son esthétique du porno straubien, la satyre et la verve de Cuckor, les digressions d'un Morrissey, au profit d'une forme romanesque, formidablement à propos. Le film s'éloigne en son milieu de l'intuition qu'on peut en avoir, d'abord film de confrontation amoureuse et de guerre filliale, le film s'avançait sur le pente difficile du déclin, de la mort qu'on vit seul, l'Homme du titre étant un double ironique d'une identité sans valeure. Les protagonistes se perdant dans une forêt croise le chemin d'une aristocrate les certitudes pourtant effleurés, vacillent, le drame purement matériel ne touche pas l'essentiel d'une vie (Pourrait-on y voir un tribut à Monteiro?). C'est à une fin melodramatique que le film se donne à l'espoir, un espoir qui voit la mort comme le meilleur chemin de l'amour. a ne pas rater, certainement le meilleur film présenté à cannes...
    elriad
    elriad

    430 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2015
    il y a des cinéastes âgés qui apportent un souffle furieusement jeune comme l'excellent réalisateur chilien Alejandro Jodorowsky, et puis il y a des réalisateurs jeunes qui font un cinéma vieillot comme c'est le cas de Joao Pedro Rodrigues.
    Là où l'un métaphorise, l'autre rame dans un premier degré glauque bourré de clichés.
    Là où le chilien poétise à chaque image, le portugais s'enlise dans un pathos glauque et narcissique.
    Là où Jodorowsky s'entoure de formidables acteurs, Rodrigues peine à diriger des acteurs qui n'en sont pas.
    Je n'étais déjà pas rentré dans "O fantasma", mais ce "mourir comme un homme" m'a définitivement fâché avec le réalisateur portugais. Dramaturgie paresseuse, image terne, manque de rythme, complaisance permanente... On a vu tellement d'excellentes choses sur le transsexualisme ( du réalisateur Xavier Dolan à l'excellente série qui passe actuellement " Transparent").
    Non, ce film qui n'en finit pas de finir nous offre poncif sur poncif jusqu'à la dernière image, avec un très lourd :
    "naitre larve pour mourir papillon".
    Sans intérêt.
    DarioFulci
    DarioFulci

    102 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2010
    L'errance affective d'un travesti à la vie chaotique. On sent les intentions du réalisateur qui aime ses personnages, ne les méprise jamais, les montre et en parle comme n'importe qui. L'ambiance est à lisière de l'onirisme, frôle parfois le sordide, mais l'évite grâce à l'émotion que dégage les protagonistes. Un beau film triste, long, et mélancolique.
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2010
    Ce film peut déranger. Soit. Des images remarquables. Des acteurs justes. Une histoire poignante, qui ne tombe jamais dans le vulgarité ou la facilité. Tout ça pour dire que j'ai aimé !
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2013
    Alors que, jusqu’alors, seul quelques chefs d’œuvre de Pedro Almodovar avait su traiter des problèmes existentiels des travestis et transsexuels sans sombrer dans l’étalage de clichés hauts en couleurs, cet étrange film réussit à nous faire suivre le drame psychologique de ce personnage androgyne qu’est Tonia. On sent que Joao Pedro Rodrigues a beaucoup appris du microcosme transgenre dans lequel il s’est plongé pour écrire son scénario puisqu’il rend ses personnages attachant et recréé ce Lisbonne nocturne à travers un univers visuel poétique assimilable à de l’expressionisme baroque. La descente aux enfers de Tonia va ainsi s’accompagner d’une tendance de la photographie à plonger vers une noirceur sordide et effrayante. La poésie qui émane de cette imagerie est pour beaucoup dans le charme que peut avoir ce film pourtant très simple dans sa structure narrative. Cette tentative de mélanger authenticité scénaristique et surréalisme visuel a largement de quoi déconcerter mais mérite d’être vue.
    tixou0
    tixou0

    696 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2010
    Travesti que seule une foi du charbonnier, intense et naïve, empêche de sauter le pas du transsexualisme alors que Rosario, son très jeune amant, l'en presse, "Tonia" n'avait comme choix de carrière que le trottoir ou le transformisme : elle a choisi la scène, et elle est la reine (sur le déclin) des nuits lisboètes. Son corps la trahit (ses prothèses mammaires s'infectent) et au terme d'un calvaire quotidien, elle entre à l'hôpital pour y mourir rapidement, "comme un homme", mais sans avoir revu son fils Zé Maria, à la dérive, assassin et déserteur, conçu pendant une brève liaison hétérosexuelle de jeunesse et qui le renie. Rosario ne lui survivra pas, s'infligeant un ultime "fixe" sur une plage solitaire, dans la seule compagnie de leurs chiens, la vieille Agustina et Vagabond, le bien-nommé.
    Comme cet autre Ibère, Pedro Almodovar, le Portugais Joao Pedro Rodrigues a un vrai style, personnel et affirmé, sachant mêler drame populaire et onirisme (le voyage à la campagne et l'étrange promenade en forêt avec la mystérieuse "Maria" Bakker qui s'en suit), et un talent singulier pour réussir un très beau film (qualités esthétiques et puissance de mise en scène) à partir d'un sujet particulièrement "casse-gueule". C'est un mélodrame, extravagant et émouvant, qui n'oublie pas la dimension musicale qui accompagne la progression dramatique - de grande détresse en brefs passage de bonheur - qui construit la tragédie, vers sa conclusion inexorable : d'intermède en intermède, toujours en situation, la conclusion est un fado poignant quand les deux Roméo et Juliette improbables sont réunis dans la même tombe. Magnifique.
    traversay1
    traversay1

    3 560 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2010
    Joao Pedro Rodrigues est un cinéaste rare : O Fantasma en 2000, Odete en 2005, Mourir comme un homme en 2009. Rodrigues est un cinéaste exigeant, dont les films sont des labyrinthes existentiels, qui excluent toute facilité et qu'il est confortable de rejeter en bloc du fait de leur construction en apparence chaotique. Mourir comme un homme possède un style indéfinissable entre l'opéra baroque et la telenovela avec une esthétique parfois sidérante (les scènes de forêt). Fassbinder est la référence la plus immédiate mais dans une version portugaise où la religion, la magie, le sexe et la trivialité se mélangent dans une tragédie allégée parfois de scènes de comédie populaire. Le héros est un travesti vieillissant qui pourrait être pathétique (intelligemment, jamais Rodrigues ne le montre sur scène), il n'est qu'un homme (une femme ?) faible et désemparé. S'il y a une chose que le réalisateur a réussi à capter dans ce film fascinant, irritant, languissant, mortifère, c'est bien que la vérité de notre condition humaine, elle, ne peut être travestie.
    Jumgeo
    Jumgeo

    28 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2016
    "Mourir comme un homme est un film faussement sulfureux. Bien des scènes qui relèvent d'un certain parfum de scandale (masturbation d'un homme par un autre filmé plein champ, par ex.), loin d'offusquer, tiennent plutôt de la représentation classique de l'univers homosexuel. On est moins dans le scandale que dans la citation - il n'y a rien de plus à représenter que ce qu'a déja fait Jean Genet dans "Un chant d'amour). Le propos de Rodrigues tire presque à l'auto-parodie lorsqu'au détour d'un plan, un homme cagoulé évoque son personnage principal à la fin de "O fantasma". En installant (peut-être un peu trop longuement) des postures attendues de l'univers homosexuel, Rodrigues court le risque de ne pas avoir grand chose à dire. Mais le film, par l'humanité touchante de ses personnages, finit par acquérir une réelle épaisseur, grace à des acteurs convaincants sans jamais être excessifs; grace aussi aux trouées poétiques, comme cette belle séquence dans la forêt où tout le monde, dans une chasse au dahut loufoque, s'arrête et s'assoit pour écouter un morceau de musique. La rencontre avec la figure homosexuelle distinguée qui récite du Paul Celan, apporte un apaisement salutaire dans les tourments de Tonia et de Rosario. Mais la normalisation n'est pas vraiment la voie empruntée par ce film qui, derrière son allure de mélodrame, emmène ses personnages au bout de l'enfer.
    Brady20
    Brady20

    6 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mai 2010
    Comme on peut le constater, Mourir comme un Homme est un film qui divise. Ok, le film a peut-être quelques petites longueurs ... et alors ? Il suffit de se laisser emporter par cette histoire ... pourtant très bien maitrisée, une mise en scène extraordinaire .... les comédien(ne)s sont formidables ... et s'en dégage un film très original qui ne tombe jamais dans le "déjà vu". Qu'on le veuille ou non Joao-Pedro Rodrigues nous conforte bien dans la renaissance d'une nouvelle génération du cinéma portugais.
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