Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 3 février 2010
Malgré quelques idées honorables, dont le poste de police complètement fantasmé, on est ici devant un film qui veut nous perdre dans les méandres de l'esprit. Mais dommage que ces méandres soit celles de l'ennui et non celles de la folie provocatrice.
alor cet opus jle classe comme le numéro 3 aprés le 1er bien sur et le 8 exeko avec le 3 pour moi bien que le l'histoire sois différente car centrer sur un seul personnage!
Contre toute attente le film n'est pas mauvais. Plus rien à voir avec la série (pinhead est très peu présent, il aurait pu être remplacé par n'importe qu'elle "démon"). Mais ca reste un petit film d'horreur sympatique.
Un petit clin d'oeil à l'épisode 1, à la fin du film est également bien vu...
13 713 abonnés
12 426 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 14 septembre 2018
Soyez prêt (ou non) à vous abandonner dans ce sixième opus de la saga "Hellraiser". Sa femme vient de mourir dans un accident de voiture devant ses yeux! De plus, le pauvre Trevor a vu son èpouse noyèe dans la voiture! C'est la scène d'ouverture, la plus « palpitante » . Le grand retour de Ashley Laurence ne convainc qu'à moitiè, pour ne pas dire pas du tout! C'est regrettable car sa rèapparition dans la saga fait vraiment plaisir à voir! Sinon, on retrouve dans "Hellraiser : Hellseeker" les habituelles histoires de visions et de mèmoire incertaine, de cauchemars èveillès et de cènobites en tous genres! L'ombre de "Hidden" plane parfois sur cet opus avec une bestiole extraterrestre qui sort de la bouche de Dean Winters! il y a aussi par-ci par-là un soupçon de "Videodrome". Rien d'appètissant dans le distributeur automatique de boissons fraîches et confiseries! Encore moins avec le final où les cartes sont redistribuèes lors de la scène du crime! Mais rassurez-vous aficionado de la franchise et du père Pinhead, tous vos problèmes ici seront rèsolus et vous n'èchapperez pas à votre passè, à la voisine nympho, aux aiguilles d'acupuncture et au ridicule (la double tête)...
Je trouve que ça ressemble un peu au précédent opus qui redéfinissait le style de la franchise, un aspect thriller psychologique qui sonde l'inconscient, comme embourbé dans un mauvais rêve où les pièces du puzzle se rejoignent, sauf que là, c'est bien moins intéressant. Car déjà l'originalité est évidemment obsolète et l'intrigue plus écrite (avec les pieds), arrivé au twist final on se rend compte que tout n'était que sommaire, dans un but qui nous échappait jusque là mais où justement l'impact apparait comme minime. Enfin lorsqu'on voit spoiler: le flashback du pacte entre Kirsty et Pinhead c'est pas sérieux, typiquement le genre de dénouement qui se fout de la gueule du monde, impossible d'avaler ça, sans compter la dernière séquence complétement expédiée et irrationnelle. Après ce n'est pas excessivement chiant ou pénible (en plus c'est cool de revoir O'Reilly de Oz :-)) mais ce n'est pas un bon film, une perte de temps j'ai même envie de dire.
Étant toujours aussi fasciné par l'univers construit par l'écrivain britannique Clive Barker, je me suis fait un devoir de regarder la saga jusqu'au bout (je sais je suis fou). Comme on peut s'en douter, l'originalité ne prime pas ici, et c'est avec plaisir mais lassitude aussi que l'on retrouve toutes les ficelles utilisées dans les précédents volets, avec plus ou moins de réussite. Le résultat n'est pas désagréable mais l'ensemble reste quand même très moyen, avec des incohérences et des choix de mise en scène parfois risibles...
Une suite un peu trop prévisible pour être honnête, d’autant que l’intrigue ressemble pas mal à celle de l’opus précédent. Le coup du héros amnésique qui n’a aucune prise sur sa destinée et qui découvre au fur à mesure qu’il est un salaud finit ça a déjà été fait un million de fois.
Encore une fois, peu de moyens, donc un thriller, une enquête limite policière qui amène à entrevoir Pinhead et ses Cénobites. Comme d'habitude, c'est assez mal foutu mais de toutes les suites en téléfilms, c'est sûrement le plus captivant ou pour être plus franc, le moins chiant.
Et un de plus, cette fois c'est une sorte de thriller amnésique long et chiant. On comprends pas grand chose, et les cénobites sont très peut présent. La saga cool encore un peu plus au fur et à mesure.
Sans doute le plus mauvais de la saga, des scenes gore certe, une violence peu presente pour une interdiction aux moins de 16ans, une histoire encore differente mais moins interessante que Inferno et surtout compliquée qui nous retourne le cerveau à cause de tout ces illusion et vision qui nous perdent dans le film à force de ne souhaiter qu'une chose, qu'il soit finit et qu'on puisse enfin ranger le dvd dans la jaquette sans plus jamais la ressortir. Meme le final est très decevant et ne nous explique pas grand chose. A eviter si vous ne voulez pas plomber votre attirance pour la saga. 1/5 pour quelque petites scenes gores qui sont toutefois inutiles.
"Inferno" avait été une bonne surprise. Toutefois "Hellseeker" marque un engloutissement de la franchise Hellraiser dans les abîme sombres du direct-to-video de bas étage. Ce sixième opus tente de nous faire croire qu'il reprend la recette de nombreuses franchises d'horreur (Halloween, Nightmare on Elm Street), à savoir ressortir du placard l'actrice principale du premier film, faute de meilleure idée. Mais même pas. Ashley Laurence est ici un personnage très secondaire, et n'aura que quelques scènes. Idem pour Doug Bradley, que l'on verra furtivement en Pinhead. A la place, le film préfère nous raconter... rien du tout. On suit les pérégrinations de Trevor, le mari de Kirsty, après un accident de voiture où celle-ci a disparu. Notre homme a constamment des migraines et des hallucinations horrifiques. Et au bout de quelques minutes, deux constats s'imposent. Primo, ce qui est montré à l'écran n'a aucun intérêt, puisque l'on sait qu'il s'agit d'une hallucination et que notre homme va se réveiller dans la minute, jusqu'à la suivante. Secundo, il n'y a pas de récit ! A part enchaîner des hallucinations, le scénario n'offre rien. A la rigueur, la scène finale est un peu intéressante (encore qu'avec pas mal de mauvaise foi, on pourrait penser qu'il s'agit d'un repompage de "Inferno"). Mais tout le reste aurait pu être expédié avec un court-métrage. Sans compter une photographie quelconque, et une mise en scène clairement un peu cheap (le générique donne le ton...). Je soulignerai d'ailleurs le ridicule des scènes de sexe, où notre homme garde chemise & pantalon, alors que ses partenaires gardent systématiquement leurs sous-vêtements ! La protection ultime contre les MST dans l'univers du film ? Et dire que Rick Bota sera responsable (oserai-je dire coupable) de deux suites supplémentaires...
Si le début du film paraît honorable, Hellseeker ne propose bientôt plus rien non seulement au fan de la saga mais aussi au simple curieux. Le film est dénué d'idées, ne comporte aucune trace d'invention, et la réalisation est particulièrement fade, jusqu'à rendre la vision du film difficile en fin de partie. Le final est tout simplement nul à souhait. Et quand Rick Bota prend les choses en mains, ça fait mal : Deader, le fragment suivant, sera aussi médiocre. Après Inferno en demi-teinte (malgré la reconnaissance de la majeure partie des spectateurs), la saga semble s'éteindre ici, et le (timide) retour d'Ashley Laurence opportun pour boucler la boucle. L'ultime épisode relèvera quelque peu le niveau. En attendant, ce sixième épisode, le plus fade, est au côté du septième, le plus ridicule (plus encore qu'Hellraiser 3 qui n'était jamais plus que foireux) ; au bas du classement Hellraiser, très, très, très très loin derrière les excellents deux premiers opus (et Bloodline qui s'en tire très bien en osant, lui, innover et prendre des risques).