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Votre avis sur Un château en Espagne ?
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Après nous avoir montré son mari dans un film qui nous a bien fait rire « Rire et châtiments », cette fois-ci, la réalisatrice décide de filmer 2 gamins qui sont constamment fourrés ensemble, en nous montrant leur histoire d’amitié un peu simpliste mais auquel nous attacherons (a souligner toutefois que l’histoire qui est racontée en parallèle : histoire de la mère de Maxime que la réalisatrice n’arrive pas à gérés. De plus, l’univers des deux garçons se trouve dans un quartier de Paris ultra-chic, ne laissant montrer aucun tracas de la vie.
Le jeu des 2 garçons est impeccables, on voit que leur complicité qu’ils nous montrent à l’écran est authentique, les plus grands pourront ainsi se remémorer (en les voyant) leurs souvenirs d’enfants. De plus, il faut admettre que le casting est plutôt bien réussi (cela devient rare), où les personnages nous sont présentés à l’écran de façon simpliste que le spectateur appréciera.
Ces acteurs (à l’image de Anne Brochet trop rare à l’écran) dégages une chaleur humaine authentique, sincères, les 2 garçons sont excellent et stupéfaite de réalité (Martin Jobert que l’on avait surtout découvert dans « Nos jours heureux »). Leur complicité traverse l’écran et le chant traditionnel qu’interprète Esteban est émouvant.
Le jeu des 2 garçons est impeccables, on voit que leur complicité qu’ils nous montrent à l’écran est authentique, les plus grands pourront ainsi se remémorer (en les voyant) leurs souvenirs d’enfants. De plus, il faut admettre que le casting est plutôt bien réussi (cela devient rare), où les personnages nous sont présentés à l’écran de façon simpliste que le spectateur appréciera.
Ces acteurs (à l’image de Anne Brochet trop rare à l’écran) dégages une chaleur humaine authentique, sincères, les 2 garçons sont excellent et stupéfaite de réalité (Martin Jobert que l’on avait surtout découvert dans « Nos jours heureux »). Leur complicité traverse l’écran et le chant traditionnel qu’interprète Esteban est émouvant.
la mise en scène de Isabelle Doval aurait pu tombé dans l'accumulation et le "trop" d'émotion mais il n'en est rien. L'amitié entre ces deux enfants est magnifiquement présentée et fait réfléchir le spectateur sur ce qu'est l'amitié chez les plus jeunes. je trouve Martin Jobert et Jean Senejoux très bons, et contrairement à d'autres critiques, ne pense pas qu'ils surjouent. La dernière scène avec Esteban qui chante est bouleversante et fait basculer le film dans un drame profond. J'adore !
Un film que j'ai regardé et enregistré en DVD et qu'on a toujours du plaisir à voir et à revoir. Le seul bémol est qu'Esteban joué avec beaucoup de spontanéité et de punch par Martin JOBERT s'en va à la fin. Jean SENEJOUX qui joue Maxime est lui aussi très convaincant dans son rôle tout comme Eyal HAMOU dans celui de Manolo et Thomas DOUCET dans celui d'Arsène et que malheureusement on ne voit pas assez longtemps. Quant aux adultes, ils sont eux aussi crédibles et passionnants dans leurs rôles notamment Anne BROCHET, Angela MOLINA et Lluis HOMAR. Tout ça pour dire que j'ai passé avec ce film et ses acteurs un bien agréable moment et qu'il a sa place dans toute bonne DVDthèque qui se respecte !
Un film basé sur une magnifique histoire d'amitié, avec d'excellent jeunes acteurs qui sont étonnant de justesse! A noter la performance de Martin Jobert (Esteban)sur la chanson "el adios". Un film simple et frais, qui donne la pêche, j'adore!
ce film est tout simplement génial !
il est drole plein d'émotion ect
aller le voir vous ne le regréterrez pas
il est drole plein d'émotion ect
aller le voir vous ne le regréterrez pas
Exelent comme film j'aimerer beaucoup que quelqu'un me dise le Titre de la chansson chanter par Martin Jobert dans le film et si possible ou la trouver version original et verssion martin jobert ?
Le cap du 2éme long est difficile a negocier. Isabelle Doval le confirme avec cette comedie, loin de l'efficace Rire et Chatiment. Elle compose ici avec un duo de jeunes comediens cabotins et vite insupportable. A force de surjouer, ils noient une intrigue qui aurait pu être touchante dans une carictature irritante.
Isabelle Doval nous offre là un petit film sans prétention, mais pour le moins attachant. En effet, elle nous raconte l’histoire de deux jeunes garçons inséparables jusqu’au jour où l’un deux risque de déménager vers l’Espagne, son pays natal. Le scénario est très bien exploité et parlera à tout le monde tellement les sujets abordés sont universels et bien traités. Par ailleurs, les acteurs sont très bons, mention spéciale au jeune Martin Jobert pour sa prestation. Vraiment sympathique…
Mignon mais sans plus. On apprécit cette histoire toute gentille grace au duo de jeune acteur en belle communion mais en dehors de quelques sourires, ce n'est pas le film ni la comédie de l'année... Simple et léger à la fois.
OLE! 2 jeunes acteurs qui manquent de maturité, sur une histoire trop sage et trop gentil. Heureusement Anne Brochet apporte de la fraicheur.
weihnachtsmann
C’est joli effectivement et la relation presque filiale qui les lie est profonde. Ici les adultes ne jouent que les empêcheurs de tourner en rond.
C’est gentillet mais ça reste moyen
C’est gentillet mais ça reste moyen
Scénar mauvais, humour à deux balles, acteurs non réalistes et ridicules, le film en lui même est ridicule et stupide. Une daube du septième art.
Benito G
Un petit film sans prétention qui se laisse regarder à la TV, plutot qu'au cinéma. L'histoire pourra plaire tant aux grands qu'aux plus jeunes. Quelques moments de surjeux au niveau des enfants, mais globalement ; leur jeu est correct. Le scénario est basique, crédible et plus ou moins prévisible (enfin sur plusieurs directions, on va dire). Mais on ne visionne pas ce film pour cela. C'est plutot pour passer un petit moment sympa, sans prise de tête. Il n'y a pas spécialement de longueures, ce qui fait ; que l'on entre et reste dans l'ensemble dans le creux de l'histoire sans en sortir comme cela aurait été le cas si des moments longuets avez pointé leurs bouts du nez...^^. Puis pour le reste, de l'humour, de l'émotion, des "sentiments" (je me comprend) et un ensemble bon enfant. Bref, c'est pas fait pour faire la comparaison à un blockbuster ; c'est sur^^. Mais juste pour que les jeunes, et pourquoi pas les parents ; passent un petit moment sympa. Et pour le cas, c'est réussi.
Dik ap Prale
Sur une même idée que Moi César,... On prendra hélas peu de plaisir à suivre Maxime et Esteban, malgré leur mine sympathique. Leur aventure peu trépidante ne retiendra pas les plus jeunes, les parents, eux, eteindont le poste.
Pendant les longs moments d'ennui que j'ai traversés dans la première moitié du film, je me demandais ce qui faisait qu'on entre ou non dans un film, et combien les premières minutes sont déterminantes pour se faire une opinion. Est-ce le scénario, les dialogues, le jeu d'acteur ? Concernant "Un Château en Espagne", je n'avais que le choix de l'embarras, puisqu'il s'agissait d'un peu de tout ça.
Première scène : pique-nique champêtre d'une tribu espagnole en France avec, forcément, corrida pour les garçons, foot pour les hommes, et guitare flamenco pour tout le monde. Puis quelques scènes d'exposition pour comprendre la situation : Maxime souffre du deuil impossible du père et d'une mère absente, et a trouvé une famille de substitution chez ses ibériques voisins. Ajoutons à cela des dialogues qui sonne ultra-faux, et un jeu tout en cabotinage des deux garçons qui occupent l'écran les 75% du temps. La mise en scène ne relève pas l'ensemble, se limitant à un abus de la faible profondeur de champ et à des travelings latéraux en va-et-vient fatigants.
Déception donc par rapport à l'attente que je pouvais avoir suite au premier film plutôt réussi d'Isabelle Doval, "Rire et Châtiment", même si je commençais à me faire la remarque que les reproches que je peux faire à "Un Château en Espagne" (personnages outranciers, situations caricaturales, enfilage de clichés) étaient en germe dans le film précédent, simplement dissimulés sous l'abattage de José Garcia (Son imitation de Joe Dassin ou son histoire de l'ours bleu du Canada, ce n'était pas du Lubitsch, mais qu'est-ce qu'on se marrait !).
Et puis, imperceptiblement, les défauts s'estompent, à moins qu'on s'y habitue, et certaines scènes retrouvent l'efficacité de "Rire et Châtiment", comme la leçon de morale d'Emma qui s'emberlificote dans la dénomination des habitants du Burkina, ou la discussion de la même Emma avec les parents d'Esteban qui se termine en plaidoirie avec effets de manches et trémolos sous leurs yeux hallucinés. Le petit complot de Maxime donne enfin du rythme au récit, et la fin rompt avec les clichés, tant sur la forme que sur le fond. Oeuvre mineure digne d'un téléfilm de TF1, "Un Château en Espagne" se rachète tardivement en laissant entrevoir la comédie légèrement décalée qu'elle aurait pu être.
http://www.critiquesclunysiennes.com
Première scène : pique-nique champêtre d'une tribu espagnole en France avec, forcément, corrida pour les garçons, foot pour les hommes, et guitare flamenco pour tout le monde. Puis quelques scènes d'exposition pour comprendre la situation : Maxime souffre du deuil impossible du père et d'une mère absente, et a trouvé une famille de substitution chez ses ibériques voisins. Ajoutons à cela des dialogues qui sonne ultra-faux, et un jeu tout en cabotinage des deux garçons qui occupent l'écran les 75% du temps. La mise en scène ne relève pas l'ensemble, se limitant à un abus de la faible profondeur de champ et à des travelings latéraux en va-et-vient fatigants.
Déception donc par rapport à l'attente que je pouvais avoir suite au premier film plutôt réussi d'Isabelle Doval, "Rire et Châtiment", même si je commençais à me faire la remarque que les reproches que je peux faire à "Un Château en Espagne" (personnages outranciers, situations caricaturales, enfilage de clichés) étaient en germe dans le film précédent, simplement dissimulés sous l'abattage de José Garcia (Son imitation de Joe Dassin ou son histoire de l'ours bleu du Canada, ce n'était pas du Lubitsch, mais qu'est-ce qu'on se marrait !).
Et puis, imperceptiblement, les défauts s'estompent, à moins qu'on s'y habitue, et certaines scènes retrouvent l'efficacité de "Rire et Châtiment", comme la leçon de morale d'Emma qui s'emberlificote dans la dénomination des habitants du Burkina, ou la discussion de la même Emma avec les parents d'Esteban qui se termine en plaidoirie avec effets de manches et trémolos sous leurs yeux hallucinés. Le petit complot de Maxime donne enfin du rythme au récit, et la fin rompt avec les clichés, tant sur la forme que sur le fond. Oeuvre mineure digne d'un téléfilm de TF1, "Un Château en Espagne" se rachète tardivement en laissant entrevoir la comédie légèrement décalée qu'elle aurait pu être.
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