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    Après Holy Motors, Leos Carax revisite le Penseur de Rodin
    Maximilien Pierrette
    Journaliste cinéma - Tombé dans le cinéma quand il était petit, et devenu accro aux séries, fait ses propres cascades et navigue entre époques et genres, de la SF à la comédie (musicale ou non) en passant par le fantastique et l’animation. Il décortique aussi l’actu geek et héroïque dans FanZone.

    A quoi peut bien songer le Penseur de Rodin une fois la nuit tombée ? La réponse grâce au court métrage "Gradiva", réalisé par Leos Carax à l'occasion de l'ouverture de la galerie du même nom à Paris.

    Galerie Gradiva / Alcatraz Films

    Que fait le célèbre Penseur de Rodin une fois la nuit tombée et les visiteurs rentrés chez eux ? Il se pose des questions et réfléchit notamment à son statut "d'amuseur de galerie" aux côtés d'une femme aussi peu vêtue que lui. Selon Leos Carax en tout cas. Deux ans après la sortie d'Holy Motors, le très rare metteur en scène refait parler de lui, mais côté court ce coup-ci.

    Ouverte à Paris depuis le 28 mai, la galerie Gradiva s'est donc offert les services de cet esthète français pour son inaguration, au même titre que certaines oeuvres, jusqu'ici inédites en France, de Picasso, Dali, Kandisky, Léger ou Picabia, afin d'entretenir une réflexion sur l'Histoire de l'Art. Et qui mieux que le Penseur pour symboliser cette réflexion ? Rendez-vous sur ce lien, pour découvrir le court métrage Gradiva et en savoir plus sur le lieu, situé face au Louvre.

    La bande-annonce de "Holy Motors" de Leos Carax :

     

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