Top Courts-métrages - Page 195

Nouvel an 2010. Cela fait déjà neuf ans qu’elle n’a pas revu son fils. "Mon fils viendra vers cette Terre promise. Oui… Mon fils viendra vers cette Terre promise." Elle ne perd pas espoir.

Un regard intimiste sur l'évolution et l'impact des femmes MC et rappeuses, raconté par les pionnières qui ont contribué à créer un empire musical et culturel.

Dix-huit ans après sa mort (le 1er août 2003), ce poignant portrait, tendrement orchestré par sa mère Nadine, dévoile la formidable comédienne et la femme éperdument attachante que fut Marie Trintignant.

En un demi-siècle l’animation française s’est hissée au 3ème rang mondial. Inventeurs originels d’une technique qui s’est industrialisée outre-Atlantique, les artistes et les techniciens français ont su tirer leur épingle du jeu.

Le film propose une enquête historique, fruit de 7 ans de travail de l'historienne de l'art Emmanuelle Polack, sur le gigantesque transfert d'œuvres d'art organisé depuis Paris.

Marquée par une recrudescence des actes antisémites dans la région, l’Alsace redécouvre à quel point le judaïsme fait partie intégrante de son histoire. Il ne reste aujourd’hui que 80 des 176 synagogues qui existaient au début du XX siècle Une dizaine seulement sont encore en activité régulière. Westhoffen – à 23 kilomètres de Strasbourg – dernier symbole d’un monde qui semble disparaître. La synagogue est vide. Roger Cahn est mort et sa sœur Marcelle vit seule ses derniers jours dans une maison de retraite. Ils étaient les deux derniers juifs de la communauté la plus ancienne et longtemps la plus importante de Basse-Alsace. En décembre dernier – un mois après la mort de Roger Cahn – 107 tombes du cimetière juif de Westhoffen étaient profanées. Les habitants sont choqués et incrédules : ici trois religions cohabitent sereinement depuis des siècles. En Alsace, l’année se termine donc sur ce 35ème acte antisémite. Région marquée à la fois par une tradition très ancienne d’accueil des juifs mais aussi par leur rejet, l’Alsace est aussi « victime » d’un travail de mémoire inachevé.C’est pour, à sa manière, pallier cette carence que la réalisatrice Ondine Debré souhaite raconter l’histoire de Westhoffen, berceau de ses ancêtres – comme de ceux de Léon Blum.Sous l’apparence d’une quête personnelle et familiale, ce sont les notions complexes d’identité collective et d’identité individuelle qu’elle souhaite interroger en profondeur et, modestement, faire de son film un outil de lutte contre la haine de l’autre.

Cette famille a immortalisé son confinement avec une petite pointe d’humour afin d’en garder un très bon souvenir malgré le contexte de l’épidémie du Covid- 19. Une chose est sûre cette famille s’en souviendra longtemps !

La mutation d’un petit coin du Tarn en 40 ans d’histoire. D’exclusivement agricole, il est devenu le lieu d’élection de néo ruraux en tous genres.

Avec notamment l’interview de la jeune adolescente par qui tout a commencé, les coulisses de "Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée...", un film qui a bouleversé l’Allemagne des années 1980.

Éclipsée par l’aura de Vassily Kandinsky, qui fut son mentor et son amant, Gabriele Münter fait partie des pionnières de l’art moderne en Allemagne. Dans un portrait richement documenté, Florence Mauro la remet dans la lumière.

Né à Tunis, Azzedine Alaïa a su comme personne mettre en valeur le corps des femmes. Portrait d’un créateur emblématique des années 1980, doublé d’un orfèvre de la couture.

Comédienne à la voix cristalline et à la joie de vivre contagieuse, Julie Andrews a enchanté le cinéma et Broadway à travers une poignée de rôles iconiques. Portrait d’une artiste aux multiples facettes, experte dans l’art de se renouveler.

Grandeur et renaissance de la Hammer, compagnie phare du cinéma bis britannique, qui, entre horreur, érotisme et romantisme, a marqué les sixties.

Depuis des siècles, le portrait reste une inépuisable source d’inspiration. Plongée dans l’œuvre de femmes artistes qui, de Paula Modersohn-Becker à Frida Kahlo en passant par Lotte Laserstein, se sont brillamment illustrées dans l’exercice.

Karl Zéro et Daisy d'Errata passent au crible le mythe Delon, cherchant à comprendre pourquoi l'acteur d'exception a choisi, à un tournant de sa carrière, de se cacher derrière son propre rôle.

À travers une tragédie familiale, Faute d’amour épingle l’individualisme consumériste de la Russie de Poutine. Ce documentaire dévoile la genèse de ce brûlot et l'approche de son auteur, Andreï Zviaguintsev.

Un an parmi les étudiants et les professeurs de l’École centrale de musique de Tbilissi.

Historiens et scientifiques décryptent les origines du mythe du vampire, qui prospère sous le règne de Marie-Thérèse d’Autriche, grande pourfendeuse de superstitions…

La représentation artistique de la violence au cours de l'histoire bat en brèche les clichés de genre. Une exploration pleine de surprises.

Entre les premiers immigrants et leurs enfants nés en France, un écart se creuse.

Contre vents et marées, la musique pop s’est frayé un passage à travers le rideau de fer. Retour en images sur un phénomène subversif qui a bousculé les régimes communistes à l’Est.

À l’instar des Nénètses et de leurs troupeaux de rennes, l’Arctique russe subit de plein fouet les conséquences du réchauffement climatique. Un état des lieux aussi instructif qu’alarmant.

Portrait itinérant d’une grande figure de la littérature russe contemporaine dont le dernier roman en date, Le corps de l’âme, paraît en France au printemps.

Mondialement célèbre, l’hymne patriotique composé par Bedrich Smetana est indissociable de l’histoire tourmentée de la République tchèque.

L’histoire turbulente d’une île magnifique et singulière aux fins fonds de la Grèce.

Il y a un siècle, par le traité de Trianon, la Hongrie perdait les deux tiers de son territoire. Ravivée par les nationalistes, la plaie continue de diviser la société hongroise, et d'attiser les tensions en Europe centrale.

Au-delà des apparences, les eaux usées recèlent une quantité étonnante de renseignements précieux. Tour d’horizon de leurs utilisations.

Le portrait d'un Ernest Hemingway amoureux nous plonge dans l'intimité d'un homme infiniment plus complexe que l'image qu'il aimait donner et permet de relire son œuvre sous un angle inédit.

Avant de devenir animateur, Anatolii Surma a étudié pour devenir conducteur de tracteur, et a même travaillé dans un bureau régional des services routiers. Sa passion pour l'animation a débuté avec les séries : Les Simpsons et South Park. Les personnages reconnaissables entre tous viennent de la main d'un artiste amateur d'un village de Khmelnytskyi.